La rédaction
Démocratie Participative
24 juillet 2022
Un camarade, Kryptorius, sait parler aux femmes.
Il a compris les mécanismes élémentaires de l’offre et de la demande qui régissent les rapports entre le sexe masculin et le sexe féminin.
Mais cela a un coût en France : se faire traiter de musulman.
EELB.su :
Je devais aller acheter des matériaux de construction avec ma copine (on a entre 25 et 30 ans) pour retaper un bien qui m’appartient.
J’étais chez ma mère avec ma mère et ma copine au moment des faits.
Au moment de partir je m’aperçois qu’elle a un short tellement court qu’on peut voir son cul. Alors je lui demande de se changer.
Ma mère s’est mise à m’incendier comme une sorcière accompagnée de ma copine. Puis les deux se sont barrées.
Je n’ai pas cédé, malgré les hurlements et l’hystérie que j’ai pris dans la gueule, et au final j’ai gagné cette petite bataille. Ma copine est revenu se changer. Mais c’est toujours la même chose : ces putains de famblanches n’iront pas faire preuve de pudeur par elles-mêmes, et quand on leur demande d’obéir : c’est crise d’hystérie instantanée. Alors je ne cède pas et ça fonctionne mais c’est vraiment épuisant.
J’ai l’avantage pour moi de ne pas être tenu par les couilles : quand elle me menace de me quitter je lui dis « ok tire toi j’en prendrai une plus jeune et moins casse couille » et ça la calme rapidement. Je n’ai aucune dépendance affective ou quoi. Une femme n’est qu’une femme.
En attendant, je suis un islamiste aux yeux de tout le monde et c’est assez épuisant. A chaque fois qu’un membre de ma famille me regarde il y a de la méfiance dans ses yeux.
Je précise que je travaille, que je gagne ma vie correctement, que j’ai un esprit sain et un corps sain, je ne suis pas un déséquilibré tatoué de partout ou ultra looké, j’ai vraiment l’air d’un gars normal au premier abord, loins du cliché du national socialiste en puissance. Et pourtant je suis un véritable paria haha
Vous le gérez comment ce problème là chez vous les amis ?
La dynamique de la situation est la suivante : par défaut, les femmes sont hypergames. C’est une tâche élémentaire qui tourne toujours en arrière-plan. Cela veut dire qu’elles sont toujours ouvertes à une proposition sexuelle alternative si cette proposition est le fait d’un partenaire potentiel qui paraît meilleur. Pour le savoir, elles doivent le signaler aux hommes de leur environnement.
Le coup du short est un shit test pour voir si l’homme affirme ses droits de propriété ou non. S’il ne le fait pas, la femme en conclut qu’il a déjà capitulé face à un autre partenaire potentiel. Ce qui amène en retour cette femme à conclure que sa propre valeur sexuelle sera dégradée si elle reste avec cet homme.
Ce shit test s’accompagne du shit test de confirmation : la menace de rupture. C’est contre-intuitif pour un mâle beta qui s’empresse de céder. Mais céder, c’est au contraire convaincre la femme qu’elle doit trouver un autre partenaire parce que le rapport de force s’est inversé.
Les femmes détestent les hommes auxquels il faut dire d’être dominateurs. Cela les éteint instantanément.
La règle est de créer les conditions de la dépendance matérielle et psychologique de la femme vis-à-vis de l’homme. Quand une femme parvient à créer la dépendance inverse, cela suscite en elle un dégoût inconscient pour l’homme demandeur. Pour créer cette dépendance, une femme doit être dans un état d’esprit où elle pense être avec un homme dont la valeur sur le marché sexuel est supérieure d’un à deux points de plus qu’elle.
Une 6/10 veut un 8/10. Une 8/10 veut un 9/10 ou un 10/10.
D’où ce phénomène, incompris de beaucoup d’hommes, de la 5/10 qui a les attentes objectives d’une 7 ou d’une 8/10.
En faisant comprendre à sa copine que le stock de femmes se renouvelle constamment, notre camarade active les mécanismes psychologiques que la femme redoutent au niveau animal : la tendance biologique qui la fait irréversiblement perdre en valeur sexuelle sur le marché au fil du temps, avec à terme la sanction : vieillir et finir seule.
Notre camarade s’y prend bien, mais la pression des mâles beta soumis aux femmes s’exerce sur lui et lui rend la vie socialement plus complexe. Pourtant, c’est lui qui réussit et c’est pour cette réussite qu’il est précisément dévisagé par les mâles perdants comme le problème. Ce qui est le plus révélateur, c’est à quel point la polarité masculine est désormais associée à l’image de l’homme musulman, du barbu qui tient ses femmes d’une poigne de fer. Cette association « infâmante » ne l’est pas : il sert aux femelles castratrices pour menacer de mort sociale et de marginalisation l’homme blanc insoumis.
C’est du bluff.
Notre ami n’a pas besoin de conseils, il doit simplement faire ce qu’il fait déjà, mais de manière encore plus systématique, catégorique, sans appel ni possibilité de négociations. Il doit constamment rappeler que c’est lui qui a toutes les options ouvertes.
Les femmes se plient toujours à la volonté inflexible d’un homme.
Être un homme est difficile, car il s’agit de lutter perpétuellement contre les forces que Dieu a mis sur sa route pour se réaliser dans l’effort. L’homme doit se battre pour tout, tout le temps, toute sa vie. C’est cela qui est épuisant et c’est cette endurance à la fatigue qui en fait un homme.