Captain Harlock
Démocratie Participative
07 octobre 2019
Les algériens sont scandalisés. On ose baptiser des rues en l’honneur de généraux français dans les villes de France.
L’Union franco-algérienne s’est opposée à baptiser une rue au nom de Marcel Bigeard. En effet, quelques dizaines de personnes ont écrit au maire de Dreux, une ville située à l’ouest de Paris, en France, pour lui demander de revenir sur sa décision d’attribuer le nom du général Marcel Bigeard à une rue.
Sacré Marcel, une rue c’est bien peu de chose pour tous les sacrifices consentis en pure perte.
A l’époque de Bigeard, l’armée française était encore tenue par des officiers avec une paire de burnes qui savaient comment parler aux baiseurs de chèvre un peu trop nerveux du couteau.
Maintenant, la France est dirigée par un homosexuel cocaïnomane à genoux devant le FLN.
Les maghrébins l’ont bien compris.
De plus en plus insolents, ils poussent leur avantage.
Ainsi, et d’après le journal français L’Echo républicain, cette décision a été prise suite à un conseil municipal, le 27 juin 2019. L’Union franco-algérienne a, d’ailleurs, réagi à cette décision, qu’elle a jugée de provocatrice. Le maire de Dreux craignait que cette contestation ne vienne du conseil municipal, et finalement la contestation est venue du monde associatif, d’après le quotidien, qui précise que « lorsque Gérard Hamel a proposé de baptiser une rue du nom du général Marcel Bigeard, personne n’a bronché. La délibération n’a suscité aucun débat. Elle avait même été votée à l’unanimité ».
Voilà où nous a mené cette république : au fond du déshonneur.
L’envahisseur mahométan, toujours plus arrogant à mesure que les politiciens désertent, trahissent et rampent, se sent à ce point en terrain conquis qu’il qualifie de « provocation » la moindre marque de fierté guerrière française.
L’association de l’Union franco-algérienne a fait un écrit pour demander au maire de Dreux de changer le nom de cette rue, « ce choix ne va pas dans le sens de l’apaisement des mémoires surtout dans une ville avec une composante importante impactée par la guerre d’Algérie et le passé colonial de la France », avait écrit le président de l’union franco-algérienne, Ali Tadjerouni. Il est à rappeler que le général Marcel Bigeard est un militaire qui a fait la guerre d’Algérie. Il est connu pour avoir ordonné l’exécution d’un bon nombre de martyres algériens. Mais aussi pour ses pratiques atroces de tortures infligées aux moudjahidine.
La « composante impactée par la Guerre d’Algérie » a visiblement oublié d’y rester, en Algérie. Au point de venir dicter leur conduite aux Français, en France.
Voilà la sale gueule de ce maghrébin puant.
Appréciez les « Françaises » en arrière-fond.
On retrouve sans difficulté cet Ali Tadjerouni dans les pages blanches.
Malgré le fait que l’Union franco-algérienne s’oppose à baptiser une rue au nom de Marcel Bigeard, le maire semble bien décidé à maintenir cette décision. Selon le journal l’Echo, la demande a été faite par les parachutistes. Un corps de l’armée française, que dirigeait le général Bigeard après la guerre d’Algérie. Marcel Bigeard prend les commandements de la 25e brigade parachutiste à Pau le 31 août 1964, puis de la 20e Brigade parachutiste à Toulouse.
Ce que l’on peut reprocher à Bigeard, c’est sa naïveté à l’égard de De Gaulle et, finalement, son légalisme républicain. A sa décharge, il n’était pas le seul, loin s’en faut, à adhérer à ces conceptions.
Cela vaut tout de même la peine de citer ce que Bigeard disait de la situation française dans son livre paru en 2006.
Sur l’islam radical :
Oui c’est sérieux ! Très sérieux même, car le voile n’est qu’une étape, la première, pour imposer à la France, comme à tous les pays occidentaux, des conceptions qui sont radicalement étrangères à notre identité, à notre histoire et à notre culture.
On commence par le voile puis on risque de finir par accepter que certaines femmes adultères soient lapidées. À ce rythme on tolérera un jour la polygamie et, pourquoi pas, l’excision ! Eh bien, je prends le pari qu’en France, d’ici quelques années, les idolâtres du politiquement correct feront passer pour un acte de racisme insupportable le fait de refuser à des musulmans français ou vivant en France de s’adresser à des tribunaux religieux, appliquant un droit à la fois moyenâgeux et inhumain.
Sur l’immigration :
Si un immigré a, bien entendu, des droits, il a aussi des devoirs et l’immigré qui ne veut pas s’intégrer à la culture de son pays d’accueil ne fait que scier la branche sur laquelle, pourtant, il veut s’asseoir. Je reviens sur ma consternation le soir du deuxième tour de l’élection présidentielle de 2002, lorsque j’ai vu une cohorte de jeunes des banlieues, issus de l’immigration maghrébine, brandir et agiter fièrement, place de la République, devant le couple Chirac, des drapeaux algérien et marocain.
Je reviens sur cet événement car cette image, en quelque sorte, résume tout. L’oubli du patriotisme et la disparition de l’identité française. Le danger que fait peser sur l’avenir de notre pays le refus de s’intégrer de millions d’immigrés, ou de leur progéniture. La perte de prestige moral d’une fonction dont le titulaire devrait pourtant être au dessus de tout soupçon. Et aussi, bien sûr, la confusion des valeurs dans un pays qui va à vau l’eau, que plus rien ne structure de manière cohérente, qui semble ne plus avoir d’avenir en tant que nation.
Je reviens également sur l’ascendant que prend, chaque jour un peu plus, l’islam dans notre pays, mais surtout l’islamisme. Qui aurait pu prévoir cela dans ma jeunesse ? Qui aurait imaginé le bouleversement de notre nation ? La nation est, pour moi, une idée essentielle, fondatrice dans la vie en commun d’un pays. On bâtit un État à partir d’un sentiment national, partagé par les habitants du pays considéré.
Sur le djihadisme, après les récents événements de la Préfecture de Paris, Bigeard voyait clair, du haut de ses 90 berges :
Arrêtons-nous encore sur le problème du terrorisme islamiste : L’Europe, l’Europe des 25, croit être une forteresse imprenable, tellement bien défendue qu’aucun danger ne peut la menacer. Elle est fière de sa puissance économique, de sa richesse, du niveau de vie de ses habitants, de ses institutions politiques, des démocraties qui fonctionnent plutôt bien, même si évidemment beaucoup de choses sont perfectibles.
Eh bien l’Europe, ce colosse aux pieds d’argile, ce « tigre de papier » comme diraient les Chinois, se trompe. Elle est en guerre, déjà, mais elle ne veut pas le voir, elle ne veut pas le savoir. Elle se croit protégée, prémunie contre toute attaque et refuse de se confronter à la réalité des faits.
Or cette réalité, c’est qu’elle est encerclée, infiltrée. Une guerre sournoise de subversion souterraine s’insinue un peu plus chaque jour. Pour ne pas en être conscient, il faudrait être aveugle ou stupide. Faut il rappeler le nombre de réseaux islamistes qui trouvent en Europe des bases arrière accueillantes et complaisantes ? J’en ai déjà parlé dans certains chapitres précédents. Et si j’aborde à nouveau ce thème en fin de livre, c’est pour bien insister sur l’ampleur de ce danger car j’ai souvent l’impression que les Français ne veulent pas y prêter attention. Un peu la politique de l’autruche : on ne veut pas regarder en face, la menace qui plane.
Sur la repentance imposée par la juiverie à la faveur des procès Papon, Bousquet ou Barbie :
La France est la risée du monde entier. Et parmi nos attitudes, pour le moins discutables, parmi les nombreuses « repentances » , comme on jargonne aujourd’hui, la plus récente vaut le détour.
C’était à Madagascar, un pays que je connais bien pour y avoir vécu lorsque je commandais les forces françaises de l’océan Indien. En visite officielle dans ce pays, en juillet 2005, Chirac a présenté les excuses de la France pour la répression musclée de l’insurrection de 1947, répression que je me refuse à qualifier de « massacres ». Cela donnait, dans le texte : « Il faut évoquer les pages sombres de notre histoire commune et avoir conscience du caractère inacceptable des répressions engendrées par les dérives du système colonial. »
Mais pourquoi aller se coucher comme ça, alors que tout le monde sait qu’il s’agissait d’une autre époque ? Pourquoi éprouver le besoin de se repentir, quand les autres ne le font pas, quand les autres, de plus, ne l’exigent pas et comprennent mieux la situation que nous ne la comprenons nous mêmes ?
La réponse du président malgache Ravalomanana en est la meilleure preuve : « C’est du passé. Je suis né en 1949, et non en 1947. Je pense à l’avenir. Ce n’est pas une source de blocage pour travailler ensemble. »
Bigeard se pose ensuite cette question : « Alors, la France est elle prête à l’affrontement ? »
J’ai bien peur que non. Et cela pour plusieurs raisons. La toute première, c’est que la France n’est plus une société homogène et structurée. Le corps social du pays n’est plus sain. Qu’est ce qu’un corps social sain ? Une population qui sait conserver la mémoire du passé et des combats collectifs qui ont été menés. Ce n’est plus le cas de notre pays. La transmission ne se fait plus et les commémorations les plus solennelles font plutôt rire qu’autre chose.
Qu’il s’agisse de la fête nationale, le 14 Juillet, ou du souvenir des deux guerres mondiales, le 11 novembre et le 8 mai, de la guerre d’Indochine, ou de celle d’Algérie, de moins en moins de Français se sentent concernés.
Je souhaite vivre encore dans une société française fière de ses racines et de sa spécificité. Et ce n’est pas une question de couleur de peau. C’est une question d’état d’esprit, d’attitude. Aujourd’hui, défendre l’identité française vous fait souvent suspecter d’être un suppôt du Front national, ce qui n’est absolument pas le cas en ce qui me concerne. J’ai du respect pour un Le Pen, tout comme pour Arlette Laguillier parce que tous deux sont adeptes de ma devise » Être et durer » !
La seule protection réellement efficace qui vaille, c’est de sortir la France de son inertie, de sa surdité et de son aveuglement.
Je ne cesse de l’écrire tout au long de ces pages, la France est entrée dans un processus de déliquescence. J’ai l’impression tenace que, si le cours des choses ne change pas radicalement, le pays va à sa perte. Qu’il est en voie de désagrégation et que ce n’est pas son identité seule qui est menacée, mais bel et bien jusqu’à son existence. Et je le répète, sans craindre de lasser le lecteur, la France va traverser une crise très profonde, à la fois politique, économique et surtout, morale.
C’est donc à un réarmement moral du pays que je veux appeler en rédigeant ces pages, afin de conjurer la menace qui risque de nous engloutir corps et biens. Je pourrais, sur les affaires, rédiger des livres entiers. Mais en résumé, que faut il retenir de ce constat ? Tout simplement que, pour sortir la France de sa torpeur, l’une des toutes premières conditions est de restaurer la morale publique dans le pays.
Morale publique sans laquelle rien ne peut être fait de durable, car les Français n’ont plus confiance dans les hommes qui les gouvernent actuellement. Ils les prennent pour des margoulins et croient que ces responsables politiques pensent d’abord à eux, avant de se soucier du bien commun et du sort de leurs concitoyens.
Nos dirigeants doivent être des gens propres, irréprochables, ce ne sera qu’à cette seule condition qu’on pourra au moins les écouter et les prendre au sérieux.
La démission est allée trop loin, dans tous les domaines, pour que la France n’ait pas besoin d’un choc salvateur, susceptible de lui permettre de retrouver sa vraie vocation.
Bigeard n’était pas raciste au sens où nous l’entendons ici, habituellement. C’est toute la contradiction des anciens tenants de cet empire multiracial qu’était l’empire français où la prééminence blanche était implicitement raciste avant de devenir honteuse, sous l’action des communistes et de la culpabilité infondée véhiculée par l’humanitarisme chrétien.
Cependant, ce serait une erreur de croire qu’après des décennies de guerres coloniales partout dans le monde, Bigeard ne comprenait pas les réalités raciales, culturelles, religieuses agissantes à travers l’histoire. Sans quoi, il ne parlerait pas de sa stupeur face aux hordes de racailles de banlieue venues acclamer la victoire de Chirac contre Le Pen.
Le vieux para était à la jonction de deux époques et sans le formuler théoriquement, le « volontarisme » psychologisant propre au nationalisme civique qu’il professe butte sur ses propres constats à propos d’une France – déjà – biologiquement submergée par le tiers-monde, notamment islamique.
Comme il le dit, rien, dans sa jeunesse, ne l’avait préparé à affronter pareille situation, pareil spectacle que celle d’une France passée du rang de puissance mondiale à celui d’excroissance de la banlieue d’Alger et d’Abidjan avec l’aval des plus hautes sphères dirigeantes de l’État Français.
C’est probablement là que l’on voit, encore une fois, toute la force du national-socialisme qui avait parfaitement identifié les germes de pourriture qui bourgeonnait dans une France ne se possédant déjà plus avant-guerre, totalement livrée au juif et à sa finance, à une époque où des gens comme Bigeard évoluait mentalement au 19ème siècle.
Je rappelle la vue d’Adolf Hitler sur le sujet :
C’est uniquement en France que l’on remarque aujourd’hui un accord secret, plus parfait qu’il n’a jamais été, entre les intentions des boursiers, intentions dont les Juifs sont les représentants, et les vœux d’une politique nationale inspirée par le chauvinisme. Et c’est précisément cette identité de vues qui constitue un immense danger pour l’Allemagne.
C’est pour cette raison que la France est, et reste, l’ennemi que nous avons le plus à craindre. Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qui il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe. Car la contamination provoquée par l’afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu’au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d’une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.
Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd’hui en Europe, est un péché contre l’existence de l’humanité blanche et déchaînera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d’une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l’humanité.
Un Français à l’égo froissé peut faire la grimace devant ce constat implacable mais il n’en demeure pas moins vrai, à ce détail près que le poison juif a depuis lors atteint la totalité de l’Europe occidentale, Allemagne incluse.
C’est ce pari du pourrissement qu’a fait De Gaulle depuis Londres, juché sur la juiverie new-yorkaise et les crochus de Moscou.
En France cependant, la haine de la race blanche excitée par le juif a atteint une intégration si parfaite qu’elle tient aujourd’hui lieu d’identité « nationale » au pays. Même l’Amérique, putréfiée de judaïsme, est paradoxalement moins psychologiquement conquise, au plan de la conscience raciale, que la France.
L’amour pour le nègre et la haine de soi, donc de la haine du Blanc, y sont devenus un véritable réflexe naturel qui pousse les masses à réagir et à ressentir d’instinct en ennemies déclarées de la race blanche, tel un singe domestiqué par le juif.
Dans un tel bain psychique, émerger victorieux de l’empoisonnement juif n’est pas un mince exploit sur soi-même.
Le cerveau d’un Bigeard, on le voit, est souple et les citations susmentionnées démontrent qu’en dépit d’une formation intellectuelle ancienne, située à mille lieues de ce qui nous préoccupe, le général pouvait voir en face ce que nous voyons nous-mêmes : la désintégration raciale, culturelle, morale de la France et en fait, des états blancs.
Ce qu’un jeune Français en questionnement peut faire, c’est de sortir de l’oubli des types comme Bigeard et d’étudier leur vie et leur combat, tout spécialement la guerre révolutionnaire – ou subversive – car nous y sommes, jusqu’au cou, et ce ne sont pas les partis ou les élections qui nous la feront gagner.
On ne gagne pas une guerre révolutionnaire comme on gagne des tournois de chevalerie, ce que les curés de la démocratie juive ne comprendront jamais, même morts.
Il y a des fosses communes entières remplies de gens avec des « principes moraux » sur lesquels leurs vainqueurs ont édifié leurs états.
L’Europe est assiégée et une force subversive est en train de s’emparer d’elle par le bas – les masses non-blanches hypnotisées par la secte du Bédouin – avec l’aide du destructeur des nations qu’est le juif, le sémite mondain. Les deux finissent toujours par se donner la main quand le travailleur aryen doit être dépouillé du fruit de son labeur. Cette loi ne changera jamais.
L’arabe n’est que la version frustre du juif. Aussi menteur, aussi voleur, aussi sournois, il n’attend qu’une chose : que le Blanc lui tourne le dos pour y planter sa plus belle lame.
Déniaiser nos jeunes gens et les affranchir sur la guerre en cours, l’impitoyable guerre raciale actuellement présentée en guerre religieuse, Israël et Ismaël se donnant la main contre le Nord aryen, va prendre du temps.
Foutre aux chiottes l’empathie pathologique des Blancs de 30 millions d’amis est la précondition. Dans une guerre, il n’y a qu’une chose qui importe : gagner. On ne demande jamais de comptes au vainqueur, seulement au vaincu.
Bigeard le dit textuellement : la guerre révolutionnaire est là et la France est atomisée, divisée en partis, lobbys, intérêts financiers, abrutie par les médias juifs, la cervelle pourrie par les séfarades Hanouna et consorts.
On ne sort pas d’un tel marais en étant gentil. Il va falloir réapprendre à être méchant, très méchant.