La rédaction
Démocratie Participative
28 juillet 2022
Plus de peur que de mal au Mans.
Un traducteur afghan a poignardé plusieurs infidèles en hurlant des mots en arabe. Une femme blanche de la magistrature a conclu que ce n’est pas l’acte d’un islamiste, mais simplement d’un musulman.
Le Mans: un homme interpellé après avoir blessé des passants avec un couteau pic.twitter.com/xiWBaXGjWe
— BFMTV (@BFMTV) July 28, 2022
La population respire.
Le suspect, se disant né en Afghanistan, a été interpellé par la police et fait désormais l’objet d’un examen psychiatrique. Le pronostic vital des deux victimes n’est pas engagé.
Un homme a agressé au couteau plusieurs passants dans les rues du Mans (Sarthe) ce mercredi 27 juillet, a appris Le Figaro de source policière, confirmant une information de Ouest-France . L’individu, d’une trentaine d’années, est suspecté d’avoir poignardé deux personnes aux abords du pont du Greffier, aux alentours de 14 heures.
L’homme «a agressé des passants en leur portant des coups de couteau, tout en proférant à plusieurs reprises des mots en langue arabe», a détaillé la procureure Delphine Dewailly, dans un communiqué de presse. Quelques minutes après les faits, l’individu, «qui n’avait a priori pas toute sa tête» nous indique-t-on, a été interpellé par la police, et placé en garde à vue du chef de tentatives d’assassinat. L’un des policiers mobilisés a été légèrement blessé lors de l’intervention.
Les faits ont eu lieu en début d’après-midi aux abords du Pont du Greffier, aussi appelé Pont de Fer, au Mans.
Selon nos informations, l’agresseur présumé est originaire d’Afghanistan, et aurait obtenu son arme blanche dans un supermarché environnant, juste avant l’attaque. «De nationalité étrangère» et «récemment installé au Mans», l’homme interpellé «bénéficie d’un titre de séjour en règle sur le territoire national», selon le parquet.
Les deux victimes, dont le pronostic vital n’est pas engagé, ont été transportées au centre hospitalier du Mans. Le suspect fait lui l’objet d’un examen psychiatrique. Le Service Régional de la Police Judiciaire d’Angers est chargé de l’enquête. «Les premiers éléments recueillis n’établissent pas de dimension terroriste», a souligné la procureure.
C’est donc le soulagement qui prévaut à présent.
Comme le rappelait Moussa Darmanin, les égorgeurs d’Afghanistan ne peuvent pas être expulsés parce que les droits de l’homme. Cela tombe bien, l’État français n’expulse personne.
En plus, les femmes blanches qui font du « journalisme » continuent de se mobiliser pour importer beaucoup plus de traducteurs afghans en France.
A. a 34 ans. Ancien interprète pour l’armée française, il vit caché dans la province de Kaboul avec sa mère, sa femme et ses 5 enfants.
Aujourd’hui il vient de m’envoyer son dossier complet : fiches de paie, contrats de travail, demandes de visa, photos avec les militaires.
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— Lucie DT (@lducostaulou) July 4, 2022
Sur les photos avec son bataillon, il est en treillis, gilet par balles et casque de militaire. Il sourit aux côtés des soldats français.
« Ils doivent me rapatrier. C’est mon droit d’être mis à l’abri » me dit-il.
— Lucie DT (@lducostaulou) July 4, 2022
Une bonne cure d’antidépresseurs et notre traducteur pourra reprendre sa tâche, bientôt rejoints par de nouveau collègues pour bâtir notre république diversitaire islamique.