Amnésie coranique.
Au premier jour du procès de l’homme accusé d’avoir violé une jeune femme, le 28 octobre 2015 à Douai, la douleur des proches se heurte aux dénégations et l’amnésie de l’accusé. L’audience se poursuit jeudi.
C’est une soirée entre jeunes. Où l’on parle de tout et de rien et où on boit de l’alcool aussi. Gwendoline, 20 ans, est chez sa copine Océane avec deux copains, dans la nuit du 27 au 28 octobre 2015, quand les deux jeunes femmes se disputent « pour un motif futile, selon Océane. Un verre de trop, une remarque, voilà… ». Fâchée, Gwendoline quitte la résidence de la Porte d’Arras, boulevard Jeanne-d’Arc, vers 2 h 45 du matin. Une bière à la main et 1,30 g d’alcool dans le sang…
La Voix du Nord :
Elle rentrait chez elle à pied. Dans la nuit du 27 au 28 octobre 2015, une jeune femme d’une vingtaine d’années a été suivie, agressée et violée par un homme sur un parking du centre-ville de Douai. Si les services de police ont très vite été alertés par la plainte déposée, la nuit-même, par la jeune femme, l’enquête a pris beaucoup de temps car il a fallu identifier le suspect, connu sous diverses identités, mais surtout le localiser.
Considéré comme sans domicile fixe, cet homme se disant El Habib Mokeddem a été identifié car son ADN.
Désolé Gwendoline, boire de l’alcool et sortir sans voile, c’est haram.