Dordogne : une action éclair d’une cinquantaine de personnes refusant de porter le masque fait trembler le gouvernement d’occupation

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 Janvier 2021

 

J’approuve à 100% cette action et j’aimerais en voir beaucoup plus dans les jours et semaines à venir.

L’insurrection populaire doit se généraliser.

Sud-Ouest :

Une cinquantaine de personnes ont défilé, dimanche, sur le marché de Rouffignac.

Dimanche 24 janvier, le marché de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac, en Périgord noir, a été perturbé.

Vers 11 h 30, quatre ou cinq personnes ne portant pas de masque ont commencé à perturber les accès au site. Elles ont été rejointes cinq minutes plus tard par une cinquantaine de personnes, également non masquées. Accusant les porteurs de masque de « moutons du gouvernement », elles ont créé un climat d’insécurité parmi les vendeurs et clients qui ont rapidement fui le site.

Alertée, la gendarmerie n’a pas eu le temps d’intervenir.

Les bleus en sont restés pour leurs frais.

Le gouvernement central, déterminé à imposer le Great Reset par l’arme de la terreur sanitaire, est sidéré par cette action éclair.

Sud-Ouest :

Selon des témoins, une cinquantaine de personnes sans masque auraient perturbé le marché de Rouffignac, dimanche matin, raillant les porteurs de masque.

« Nous étions un peu tous consternés », reconnaît Raymond Marty. Le maire de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac (Dordogne) n’a pas goûté l’ambiance qui régnait dimanche 24 janvier sur le marché hebdomadaire. Selon des témoins, quatre ou cinq individus auraient débarqué sans masque par une entrée du marché alors qu’il est bien sûr obligatoire de porter cette protection entre les étals.

Le petit groupe aurait alors commencé à interpeller les commerçants et les badauds. « Quelques minutes après, ils se sont retrouvés à 50, relate le maire. Cela s’est déclenché rapidement, comme une opération, après qu’ils ont vu qu’il n’y avait pas de résistance. »

Il n’y a pas eu de violences, ni de pancartes ou de prises de bec. « Ils parlaient entre eux, chantaient. Ils se sont moqués des personnes masquées disant qu’elles étaient des moutons à la botte du gouvernement« , poursuit l’élu. Petit à petit, les badauds auraient préféré quitter le site, le marché se retrouvant vide vers 12 heures.

Le maire a immédiatement appelé la gendarmerie. Mais, dimanche matin, une équipe était déjà en patrouille sur le marché de Saint-Cyprien et une autre engagée par ailleurs. Lundi 25 janvier, Raymond Marty a pris contact avec le sous-préfet de Sarlat, Sébastien Lepetit.

« Il a été remarqué, d’autres dimanches, quelques personnes venant sans masque sur le marché, précise l’édile. J’ai informé le sous-préfet de l’affaire et demandé comment cela pouvait s’éviter. Nous ne sommes pas à l’abri que ces personnes recommencent. Cela pose deux problèmes. Premièrement, sanitairement parlant, cela pose soucis. Puis, le marché est économiquement important. Il ne faut pas casser cette activité. »

« C’est de la provocation et surtout de la mise en danger d’autrui », estime Frédéric Perissat, le préfet de la Dordogne, qui affirme qu’il n’y aura pas de troisième fois. Et d’ajouter : « Je ne crois pas que cela relève d’un mouvement de fonds en Dordogne contre les mesures sanitaires ».

Le laquais Perissat devrait se raviser.

Il n’a pas les cartes en main.

La digue ne demande qu’à céder.

La terreur sanitaire fait face à un puissant mouvement d’opinion qui ne demande qu’à s’enflammer, après quoi la tornade détruira tout sur son passage.

Je souhaite l’arrivée de cette tornade.

Il suffit de répéter ce type d’actions éclair, d’harceler le gouvernement d’occupation en frappant là où il ne s’y attend pas.

*Merci à Saucisse d’Auschwitz

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