Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 août 2017
J’ai du mal à vous cacher ma joie.
Donald Trump, après s’être justement insurgé contre la sauvagerie de l’extrême-gauche à Charlottesville et ailleurs, est revenu sur le sujet lors de son meeting de Phoenix, dans l’Arizona. Et il a dénoncé à la vindicte populaire la vermine rouge : les antifas.
Pour la première fois depuis Adolf Hitler, un chef d’état occidental dénonce ce fléau agité par les communistes et la (((presse))).
La lèpre antifasciste est un rassemblement hétéroclite de marginaux de divers horizons parmi lesquels on retrouve une part non-négligeables de drogués ou criminels de droit commun. Elle a été fondée historiquement par les communistes allemands pro-staliniens du KPD, en 1932, et a depuis essaimé avec l’appui de la finance juive trotskiste.
JUST NOW: TRUMP CALLS OUT ANTIFA BY NAME! #Phoenix pic.twitter.com/NDRTzGT6id
— Newt-Trump Fan Club (@NewtTrump) 23 août 2017
Jamais aucun chef d’état, surtout en France, n’a jamais jugé utile de dénoncer cette vermine par son nom. Précisément parce que ce fléau est l’arme du système pour ce qui touche à la terreur de rue.
C’est désormais chose faite. Le vent a tourné.
Trump supporters in Phoenix blocked from leaving rally before being assaulted by left-wing rioterspic.twitter.com/GxnrI2FZYL
— Breaking911 (@Breaking911) 23 août 2017
Compte tenu de la violence rouge aux USA, y compris à Phoenix hier, la probabilité d’une puissante réaction gouvernementale contre ces forces terroristes est plus forte que jamais.