Leutnant
Démocratie Participative
30 octobre 2018
L’Empereur Trump n’a pas l’air décidé à faire des concessions aux partisans du sans-frontiérisme.
Et cela malgré la pression après l’incident de Pittsburgh.
BFMTV :
A une semaine des élections de mi-mandat, le président américain a fait savoir dans une interview qu’il songe à mettre un terme, par décret, au droit du sol, inscrit dans le 14e amendement de la Constitution.
Le président des Etats-Unis Donald Trump souhaite mettre fin, par décret, au droit du sol, qui stipule que tout enfant né sur le territoire américain a la nationalité américaine. Cette proposition, formulée dans la dernière semaine d’une campagne électorale dans laquelle Donald Trump tente de placer l’immigration au coeur des débats, pourrait cependant se heurter à de sérieux obstacles.
« Nous sommes le seul pays au monde où, si une personne arrive et a un bébé, le bébé est citoyen des Etats-Unis… avec tous les avantages », affirme-t-il dans cet entretien télévisé. « C’est ridicule, c’est ridicule, il faut que cela cesse ».
Au-delà de la levée de boucliers qu’elle devrait susciter, la possibilité même pour le président de pouvoir remettre en cause, par décret, ce principe inscrit dans le 14e amendement de la Constitution, est vivement contestée par nombre de juristes.
« On m’avait toujours dit que vous aviez besoin d’un amendement constitutionnel. Vous savez quoi? Ce n’est pas le cas », avance le président au cours de l’entretien. « C’est en cours. Cela va se faire, avec un décret », ajoute-t-il.
En fait, il y a un autre pays.
La France islamo-négrifiée.