Donald Trump anéantit la narration de la gauche, soutient les Blancs qui luttent pour leur survie

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
16 août 2017

 

Trump est revenu à la charge. Encore plus fort que d’habitude.

Trump a donné une conférence de presse particulièrement brillante aujourd’hui et il a littéralement détruit la narration imposée depuis deux jours par les (((médias))).

La gauche est habituée à avoir l’initiative parce qu’elle a, depuis plus de 70 ans, imposé ses présupposés idéologiques et moraux à la droite bourgeoise. Non pas par la séduction, mais par la censure, l’intolérance et la violence. Face à la terreur rouge, la droite conservatrice préfère se taire et l’interpréter comme a priori légitime ou, au mieux, inévitable. Ce à quoi elle ajoute en conséquence une obséquiosité de tous les instants à l’endroit des gauches, pour les apaiser.

En fait, comme avec les musulmans ou les nègres.

L’affaire de Charlottesville a précisément consisté en un traquenard organisé par les Démocrates visant à la fois à faire passer Trump pour le principal responsable d’une « violence néo-nazie » supposée et à le forcer ensuite à se désolidariser des nationalistes – au sens très large – qui sont en train de pousser à la formation de ce que l’on pourrait qualifier de « néo-républicanisme », national-populiste.

L’exercice était d’autant difficile qu’un membre de « American Vanguard » – les types en T-shirt blancs avec des boucliers à faisceaux fascistes et des bâtons – a tué une gauchiste à Charlottesville et que les terroristes rouges ont parallèlement été opportunément présentés en combattants de la liberté. Vous imaginez, pour l’avoir vu, le torrent de haine unanime des (((médias))) déversé depuis des jours sur tout ce qui peut ressembler à une forme de nationalisme ou de simple défense des populations blanches.

Or, c’est l’évidence, nous avions à faire à un déséquilibré et cet amalgame est clairement motivé par la haine anti-blanche.

Un politicien de centre-droit classique aurait logiquement célébré le front rouge comme la plus belle expression de la démocratie face à la haine raciste et fasciste et, par extension, à toute forme de volonté de survie des Blancs.

La (((presse))) K.O.

Sauf que ce chantage moral imposé par la gauche a été totalement brisé par Trump qui a réussi, parallèlement, à se démarquer des éléments interlopes habituellement agités par qui l’on sait pour nous discréditer. Trump a dénoncé « l’Alt-Left » – les Antifas donc – au même titre que les Hollywood Nazis présents. En utilisant le terme « Alt-Left », il a fait un équivalent sémantique avec l’Alt-Right et ce qu’y associe la presse juive d’émotions négatives.

Cette presse a littéralement explosé, croyant en avoir fini avec Trump 24 heures auparavant.

Cette simple équivalence permet remet en cause l’état du rapport de force qui prévalait jusqu’à présent et que valide justement la droite réactionnaire menée par Paul Ryan ou John McCain, lesquels se sont indignés de concert sur Twitter au profit de la vermine communiste.

Trump a été jusqu’à dire qu’il y avait « des gens très bien » dans la manifestation en faveur du maintien de la statue de Robert E. Lee. En fait, il a défendu la mémoire de Lee. A un moment de sa conférence, il prend les journalistes en défaut en disant, « George Washington était un propriétaire d’esclaves, où est-ce que ça s’arrête ? », avant d’enchaîner en demandant à un journaliste, « Vous aimez Thomas Jefferson ? », « oui » répond ce dernier, « Thomas Jefferson était un grand marchand d’esclaves » renchérit Trump.

Trump a réussi le tour de force de parvenir à dénoncer le meurtre de la gauchiste – évidemment – mais aussi à dénoncer la violence des Antifas qui ont attaqué la marche, à apporter son soutien moral aux Blancs et a même sous-entendu que la marche aux flambeaux de la veille des événements n’était pas si mal, affirmant qu’elle était « pacifique ».

Il est allé aussi loin vers nous – le mouvement blanc global – qu’un président américain en fonction peut aller.

Se faisant, Trump a mécaniquement repoussé les assauts des marxistes et des juifs, mais a aussi, en termes relatifs, déplacé le curseur à moyen « à droite » puisque d’évidente, la narration gauchiste est désormais devenue une simple version parmi d’autres.

« Il y a toujours deux versions », a martelé Trump.

Les médias sont en rage puisque sa position « neutre » remet en cause le lavage de cerveau qu’impose la gauche diversitaire depuis des décennies.

Trump pulvérise Démocrates et Républicains

Mais il tente autre chose : la destruction du bipartisme et l’intensification de sa démarche indépendante et populiste. En cassant la narration des médias, il signale que la fracture ne se situe pas entre « républicains » et « démocrates », mais entre deux grands courants idéologiques – globalistes contre nationalistes -, les deux partis appartenant aux premiers.

Il a même attaqué McCain dans sa conférence pour sa dernière déclaration antifasciste.

McCain a tranquillement pris fait et cause pour la vermine communiste et les nègres ultra-violents qui se trouvaient sur place, les présentant comme de juste comme les dignes représentants du « Bien ».

Ha !

Le fait est que c’est Trump qui a rétabli la situation malgré le sabotage orchestré, y compris au sein de nos milieux, par les agents que nous connaissons. C’est pratiquement en dépit des abrutis déjà cités que Trump est revenu vers la base blanche et a mitigé le désastre de samedi. Car je suis bien obligé de le dire : c’est comme si tout avait été fait, par certains, pour que cette relation tacite entre la Maison Blanche et la base blanche soit rompue. Définitivement.

Il a simplement signifié que les cagoules blanches du KKK et les croix gammées étaient hors limites dans les rassemblements. Après quoi, il étendrait son bras protecteur sur les autres. Ce qui paraîtra, même aux meilleurs amis d’Adolf Hitler, comme du simple bon sens politique compte tenu du contexte.

Je suis vraiment satisfait de la façon dont il a réussi à s’extraire de ce piège. Non seulement la presse juive n’a pas réussi à l’encager mais il a mis en échec l’ennemi, y compris ceux de son soi-disant « camp ».

Maintenant, il est temps de jeter un œil sur les activités des éléments troubles de toute cette affaire et de savoir pourquoi et comment des « organisateurs » comme l’antiraciste et agent démocrate Jason Kessler ont pu se hisser à la tête du mouvement de Charlottesville avec l’aval de Spencer.