DOM-TOM : le réunionnais Ludovic Bertin a bien essayé de violer Victorine avant de la tuer à mains nues

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 octobre 2020

Confirmant les conclusions développées ici même, l’évidence est enfin admise : quoique Français avant les Niçois, Ludovic Bertin a bien essayé de violer Victorine Dartois, 18 ans.

Oui, Monsieur Négro conteste. C’est pour aider la victime à bronzer à 19h qu’il l’a dessapée à l’abri des regards avant de l’étrangler près du ruisseau. Quand il l’a crue morte, il l’a balancée dans 40 centimètres d’eau. C’est là qu’inconsciente elle s’est noyée.

Bertin voulait goûter de la Blanche depuis très longtemps mais pas n’importe comment. Son trip c’était d’attraper une petite caille et de la violer avec une débauche de sauvagerie avant de la tuer. Cela faisait des années que cette idée enflammait sa cervelle chauffée à blanc par les médias juifs. Tout comme celle de son frère, Samuel le réalisateur.

 

Ceci dit, je n’en veux pas spécialement à ce sale nègre des DOM-TOM qui a agi comme tous ces macaques haineux réagissent vis-à-vis des Blancs et surtout des Blanches. N’importe quel Européen qui a vécu à la Réunion sait que ces mulâtres réunionnais haïssent tout particulièrement les Blancs qu’ils appellent les « Zoreilles ». Si vous mettez des petites Blanches à proximité de telles créatures, l’issue est aussi prévisible qu’inévitable.

En toute franchise, je ne sais pas comment on peut être le père d’une gamine blanche dans une ville française racialement balkanisée et laisser sa fille sortir seule, peu importe l’heure. Dans cette affaire, les parents sont responsables à 90% de ce qui s’est passé. Si on mettait le père et la mère en détention au même titre que ce Domien sadique, le message serait entendu haut et clair dans les familles françaises. Cette tentative de viol et ce meurtre n’auront donc servi à rien et ce n’est qu’une question de jours avant qu’une autre Blanche se fasse violer par un algérien, un antillais ou un soudanais.

Les Blanches doivent être éduquées dès leur petite enfance à non seulement haïr les races étrangères mais aussi et surtout à se tenir à distance des mâles basanés. Pas plus qu’on ne laisse les femmes sortir librement dans les zones de guerre on ne doit laisser les femmes blanches sortir librement dans les zones ethniquement diversifiées.

C’est pour ça qu’idéalement, il faut fuir les villes grandes et moyennes où se concentre cette vermine non-blanche.

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