Captain Harlock
Démocratie Participative
02 février 2019
Ce dont les gamins blancs ont désormais besoin, c’est d’un Mickey qui encule Donald après s’être mariés.
Têtu :
Le 1er juin prochain se tiendra la « Magical Pride » à Disneyland Paris, un évènement qui entend « célébrer la diversité », tout en couleurs. Pas sûr que ça suffise à contenter les fans du studio d’animation pour autant.
Disneyland Paris va se parer aux couleurs de l’arc-en-ciel. Samedi 1er juin 2019, le célèbre parc d’attractions parisien va célébrer sa première « Magical Pride ». Le parc à thèmes promet une parade LGBT+ festive et inoubliable, avec un défilé unique célébrant la diversité dans toute sa splendeur.
Un choix d’attractions sera ouvert de 20h à 2h du matin et les mythiques personnages de Disney se promèneront dans le parc pour faire des photos avec les visiteurs. Une grande soirée sera aussi organisée avec des DJs et des performances live.
J’ai envie de vomir.
Ces sales fiottes veulent tout souiller pour atteindre notre âme et surtout celle des enfants que ces damnés convoitent le plus.
La question n’est pas vraiment de savoir si vous aimez ou non l’univers de Walt Disney. D’ailleurs, pour l’essentiel, son créateur, un national-socialiste convaincu, a modernisé le folklore européen avec un succès populaire indéniable.
Le Führer adorait les productions de Walt Disney. Et tout spécialement Blanche Neige.
La prouesse technique, pour l’époque (1938), est réelle.
Mais c’était avant que ces sales juifs ne mettent la main sur l’empire de Disney et ne fassent, comme de juste avec ces destructeurs de culture, l’exact inverse de ce que voulait son fondateur aryen : transmettre à un jeune public blanc la tradition européenne.
La mélanisation à marche forcée a commencé.
Tout cela pour poser les jalons de sa traduction dans la réalité.
Ce n’est pas le fruit du hasard si c’est une youpine de New York qui a arrangé le mariage de ce Harry avec la mulâtresse Markle.
Façonner les représentations collectives de l’humanité blanche en s’emparant des centres de production de ces représentations était bien évidemment une priorité absolue du juif. Lequel, immédiatement, s’est mis distiller son venin cosmopolite dans les jeunes cervelles aryennes.
Pour en revenir à Disney, les meilleurs sont les anciens.
Peu importe le raffinement technique actuel et quelques rares productions, c’est un fait, rien n’égale ce que produisait jadis ces studios.
Et même, plus tardivement, dans les années 60.
Toutes ces productions en 3D ne dégagent rien en termes de sensibilité, contrairement à la touche artisanale de jadis.
Maintenant, Disney est condamné à devenir le vecteur de la dégénérescence voulue par les juifs.
C’est une redoutable machine de guerre qui inocule toujours plus de monothéisme radical qu’est cette mentalité d’esclaves fanatiques portée par tous les ratés que le juif peut recruter : nègres, mahométans, pédés, etc..
Nous voici donc arrivés à la nouvelle étape : la marche des sodomites et des travelos, en plein Disneyland.
Un événement qui était organisé par les touristes depuis 28 ans en Floride, lors du mois des fiertés, mais qui devient aujourd’hui officiel en France. Il sera en effet, et pour la première fois, orchestré par le parc lui-même (qui y voit une passage l’occasion de faire une belle opération de communication).
Et le cinéma va s’y mettre.
Les Indiana Jones de Spielberg auront l’air de vestiges d’un monde disparu à côté de ce que la nouvelle génération de juifs hollywoodiens préparent depuis les studios Disney.
Doucement, Disney essaye de satisfaire ses fans LGBT+. Il introduira notamment en 2020 un personnage ouvertement gay dans son film « Jungle Cruise ». Mais McGregor, joué par Jack Whitewall, devrait faire un coming-out on ne peut plus discret, en notifiant simplement dans une scène « ne pas s’intéresser aux femmes » . Le mot « gay » ne sera ainsi jamais employé. « En fait, il dit simplement qu’il ne veut épouser aucune femme », résume une source, interrogée par TMZ, qui a assisté à la « projection test » du film. Plutôt décevant.
Montrer un personnage ouvertement LGBT+ semble encore bien compliqué pour le studio d’animation. En mars 2017, il s’était d’ailleurs retrouvé au cœur d’une vive polémique après une (très) courte scène « gay » dans l’adaptation de « La Belle et la bête », avec Emma Watson et Luke Evans. Le personnage de Lefou, un pitre qui accompagne partout son maître Gaston, aurait dû être le premier personnage ouvertement gay dans un film Disney. Encore raté.
Et pourtant, Dieu sait que Spielberg se démenait pour véhiculer la haine hébraïque du monde blanc dans ses films.
Mais c’est vraiment la très vieille école anti-blanche.
C’était l’école où les juifs s’efforçaient de faire semblant de distinguer entre les gentils et les méchants blancs. Les gentils étant les Yankees dociles semant la mort et la destruction sur l’Europe.
Mais maintenant que les Blancs sont en passe de devenir une minorité aux USA, il n’y a plus lieu de faire de compromis. Disney devient donc, entre leurs mains, une arme de guerre psychologique et raciale.
Mais si ce « moment gay » a été jugé beaucoup trop furtif aux yeux des spectateurs queer, il a quand même valu au film d’être censuré dans plusieurs pays.
Bref, on a le sentiment que Disney hésite encore entre satisfaire les personnes LGBT+ ou ne pas froisser les homophobes. Et même si on n’y croit pas trop encore, on espère voir un jour voir une princesse lesbienne ou un couple de princes. On a le droit de rêver.
C’est effectivement la seule limite au projet des juifs.
Un film est produit pour la terre entière et les milliards de nègres, de musulmans et de Chinois ne sont pas prêts à faire avaler ce poison sémitique à leurs populations.
C’est la seule chose qui freine encore ce Disney judaïsé de se révéler pour ce qu’il est : la haine sourde que ressentent les gens marrons envers les pédales sidaïques.