Captain Harlock
Démocratie Participative
26 août 2020
Quoi de plus normal pour le navire amiral de la culture bourgeoise judéo-américaine que de mettre à l’ordre du jour le sous-impérialisme pédo-LGBT ?
Les garçons aussi espèrent que « Un jour mon prince viendra » du côté de Disneyland Paris. Fermé depuis le 13 mars dernier, le parc d’attractions a réalisé un petit clip promotionnel pour les réseaux sociaux afin d’annoncer sa réouverture le 15 juillet. On y découvre des vues aériennes du château enchanté, sur la musique de Blanche-Neige, entonnée non pas par la princesse, mais par une voix masculine.
Une jolie manière de clore le mois des fiertés, durant lequel Disneyland Paris aurait dû organiser pour la deuxième fois consécutive sa « Magical Pride », sa fête des fiertés LGBT lancée l’an dernier. A la place, le parc propose aux internautes d’en célébrer l’anniversaire virtuellement, en postant des photos des festivités 2019.
Si Disney fait de plus en plus de pas vers la communauté LGBT, le groupe essuie régulièrement des critiques sur la faiblesse de son engagement. Par exemple, si un personnage lesbien est bien apparu dans le film d’animation En avant, sa présence et son importance dans le récit ont été jugées bien trop légères. Tout comme le furtif baiser entre deux femmes dans le dernier Star Wars.
Nous assistons à une nouvelle phase de la mise au pas idéologique des masses, décrétée pyramidalement, du haut vers le bas, par la bourgeoisie occidentale. La saturation homosexualiste de l’espace public et privé est qualifiée de « progrès », « progrès » signifiant ici, pour ceux qui emploient ce terme, la faible opposition culturelle des classes moyennes et populaires à cette mise au pas.
L’idée derrière ces campagnes de propagande et de rééducation, très simple, est de structurer et de sanctifier une des fractions de la bourgeoisie occidentale au titre de son goût pour le sexe anal intermasculin. Tout comme une autre composante essentielle de cette bourgeoisie est sanctifiée au titre de sa judéité.
Grâce à ce matraquage, le dominant peut parler publiquement comme un opprimé, célébrer sa « résistance » aux « discriminations », tout en renforçant continuellement sa position sociale dominante au détriment des classes moyennes ou des classes populaires. Ces « progrès » politiques du sous-impérialisme LGBT est ainsi parallèle à l’amélioration très nette du niveau de vie des homosexuels, lesquels gagnent un salaire en moyenne 10% plus élevé que les hommes normaux.
Jusqu’à présent, les opposants au LGBTisme se limitaient à utiliser l’antique rhétorique moraliste chrétienne, s’associant de fait avec les vestiges de l’ancienne bourgeoisie catholique. Dans un monde sécularisé, ces références sont ipso facto discréditées ou inconnues. Pour un grand nombre de gens du peuple déjà soumis au matraquage médiatique homosexualiste, ces opposants réactionnaires utilisant des catégories catholiques corroboraient l’idée que combattre la syphilis du LGBTisme relevait non seulement du refus du « progrès », mais surtout que ce refus était voué, comme la bourgeoisie catholique et à son système de valeurs, à la défaite et à la disparition.
Il faut repenser la lèpre homosexualiste en termes politiques, sociaux, économiques et biologiques et démontrer, en l’attaquant frontalement, que sa « sanctification » n’a aucun effet sur nous. Pas plus que n’en a la « sanctification » de la juiverie avec la religion bourgeoise de substitution qu’est l’Holocauste.
Outre la toxicité sanitaire et culturelle des cliques sodomites organisées et de leur étroite association politique avec la coterie juive, il faut y ajouter leur fonction dans le système oligarchique actuel. Quand on désigne la faction LGBT pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une des bandes dominantes du système oligarchique, on dévoile la mascarade « progressiste » du libéralisme sexuel.
Il faut traiter cette faction comme Philippe Le Bel traitait les Templiers ou Louis XIV traitait les Protestants : en cinquième colonne financière conspirant pour le compte de la bourgeoisie transnationale.
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