Sigmar Polaris
Démocratie Participative
14 septembre 2023
Les personnes qui se soucient du bien des femmes se demanderont pourquoi le patriarcat est encore si dominant en France qu’un homme peut violer une femme dans la rue.
Les racistes eux préféreront parler de l’origine du violeur alors que ça n’a rien à voir.
Ce dimanche, au niveau du boulevard de l’Ouest à Dijon, une femme d’une vingtaine d’années a été victime de viol en pleine rue.
Selon nos informations, la scène s’est déroulée en extérieur aux alentours de 23 heures. Alors que la jeune femme marchait le long du boulevard elle a été prise à partie, agressée et violée par un inconnu d’origine érythréenne, lui aussi dans la vingtaine.
La vérité c’est qu’il n’avait pas les codes culturels.
Ce sont des passants, toujours selon nos sources, qui ont interpellé le suspect et l’ont maintenu sur place en attendant l’arrivée de la police.
Le procureur de la République Olivier Caracotch, nous confirme le viol et nous précise qu’une information judiciaire a été ouverte ce mardi « pour viol et agression sexuelle par personne en état d’ivresse manifeste. La détention provisoire a été requise (mais n’avait pas encore été communiquée mardi soir, ndlr). »
Ce n’est pas un problème d’immigration, mais de racisme. Les érythréens ont toujours vécu en Europe depuis que l’Europe existe, parce que nous venons tous d’Afrique.