Dialogue interculturel entre le secrétaire national du Parti de la France et Jean-Benoît Diallo

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
02 mai 2017

 

Voilà qui nous change de l’habituelle eau de vaisselle à laquelle nous astreignent les formations bourgeoises. Le secrétaire national du Parti de la France, Thomas Joly, a échangé brièvement avec un mulâtre à l’occasion de la fête du 1er mai à laquelle participait Jean-Marie Le Pen à Paris.

Il s’agit bien sûr d’une provocation. Le scénario prévu : la bête fasciste face au demi-nègre nonchalant disposé à offrir « des embrassades ». D’un côté la haine, de l’autre l’amour.

Ce genre de propagande est conçu pour un public essentiellement féminin même s’il peut fonctionner à merveille chez des mâles efféminés. A cet effet, l’argumentaire généralement utilisé tourne autour de notions abstraites et recourt au pathos primitif, à l’émotion.

« Ce sont des êtres humains » relève de ce schéma rhétorique.

Il faut donc, face à ce type de public et de méthodes, renverser la situation et créer de l’empathie pour son camp tout en diabolisant l’ennemi.

Pour cela, il est souhaitable de contraindre nos ennemis à répondre sur le terrain de réalités concrètes. Par exemple : « Les Français sont aussi des êtres humains et ils ont des droits, droits que violent les clandestins dont une partie a d’ailleurs partie liée avec les djihadistes ». On ajoute ensuite une dose émotionnelle sur la souffrance de la population française, volée, violée et tuée par la pourriture immigrée. Ou en évoquant les attentats de Nice, par exemple.

Les foules ne connaissent qu’un seul sentiment : la haine. Ce mulâtre utilise son argumentaire humanitaire pour convaincre les masses qu’il est nécessaire de haïr l’ennemi désigné.

La propagande ennemie utilise toujours pour cela le principal point faible de la psychologie blanche : l’empathie. Il faut donc réactiver au sein des masses blanches l’empathie envers leur propre peuple et souligner à quel point il est honteux de défendre l’envahisseur. Et donc démontrer à quel point l’ennemi est haïssable.

Arguments contextualisés pour neutraliser le bavardage humanitaire dans un premier temps, excitation émotionnelle dans un second temps. Cette règle est indépassable.

Ceci dit, cet échange à chaud a été bien mené par Thomas Joly et la vidéo a eu un large succès.