Captain Harlock
Démocratie Participative
23 août 2018
Ces nègres racistes sont nos idiots utiles
Une des tâches collectives que nous devons nous fixer, nous révolutionnaires racistes, consiste à hâter la liquidation de la droite et de la gauche sémitisées, héritières du résultat temporaire de 1945.
Il est nécessaire de le rappeler après les tentatives désespérées de stopper la haine raciale nègre de la part d’un autiste probablement engendré dans l’inceste, le journaliste du journal La Croix Laurent de Boissieu.
Rokhaya Diallo est combattue par les humanistes car – comme l’extrême droite racialiste – elle voit sa couleur de peau comme un marqueur identitaire.
L’identité, c’est la culture, pas le taux de mélanine. https://t.co/ag4LDBStMv— Laurent de Boissieu (@ldeboissieu) 22 août 2018
Non. Il existe des cultures africaines, pas une culture africaine. Et il n’existe pas de culture noire, jaune ou blanche: la couleur de peau n’est pas une appartenance cultuelle (ça c’est la vision de l’extrême droite racialiste).
— Laurent de Boissieu (@ldeboissieu) 22 août 2018
Heureusement que pour 99,99% des antiracistes (le 0,01%, c’est Mme Diallo) l’identité est la culture et non la couleur de peau.
— Laurent de Boissieu (@ldeboissieu) 22 août 2018
Bien sûr, de Boissieu est insignifiant en lui-même et sa feuille de chou judéo-papiste ne dit rien de plus que ce dit le communiste inféodé aux juifs Bergoglio.
Mais il incarne assez bien cette république judéo-mulâtre en guerre contre la race blanche en Europe.
?? L’esprit français doit rentrer en résistance contre ce racialisme importé des États-Unis d’Amérique pic.twitter.com/CWnS3ZoVo9
— Laurent de Boissieu (@ldeboissieu) 18 juillet 2018
Il résume parfaitement le chauvinisme créole de cette France sous domination des loges et de la juiverie. Cette pathologie de la grandeur séculaire mutée en son négatif après avoir été soumise par les juifs et les faibles, communistes en tête, à coup de campagne de culpabilisation et de honte.
Comme échappatoire, les élites impérialistes françaises dégénérées veulent désormais devenir le porte étendard de la revanche raciale des peuples de couleur contre l’Europe aryenne, mais à la condition hypocrite et sournoise d’en être la tête.
C’est ce qui me fait dire, au risque de se mettre à dos les habituels exaltés du chauvinisme cocardier, que le souverainisme franco-français ne peut, à ce stade de l’histoire, que hâter la négrification de la France comme de l’Europe pour des raisons « gravitationnelles » d’ordre démographique, de passif géopolitique et de prédisposition psychologique.
C’est presque par la manche qu’il faut retenir les Français empressés de se livrer au chibre négroïde.
Dans cette tâche, nos alliés objectifs sont d’abord les nègres puis les arabes.
L’islam est la forme du suprémacisme racial sémite d’origine arabe
Je souligne une distinction importante car l’arabe conçoit son groupe à l’aune de la superstructure mentale sémitique collective qu’est l’islam et s’accommode généralement de l’assimilation de masses non-arabes qui ont été sémitisées psychologiquement à la faveur de leur conversion.
L’arabe se satisfait d’une soumission formelle à ses catégories élémentaires. Les sémites sont essentiellement soucieux de leur capacité à dominer et n’associent pas instinctivement une telle domination avec une stricte appartenance à la race arabe, surtout lorsque les races conquises sont relativement sophistiquées.
Les Blancs convertis à l’islam exercent ainsi, très rapidement, un véritable ascendant sur les orientaux qui acceptent là une domination dont l’énergie renforce leur propre expansion.
C’est d’ailleurs pourquoi le prophète de l’islam a, avec habilité, permis aux hommes musulmans, à l’intérieur du califat, de marier jusqu’à 4 femmes. Les meilleurs éléments – c’est-à-dire durant l’époque de mahomet et selon l’éthique islamique, ceux qui se sont érigés en seigneurs de guerre au risque de leur vie -, se voient autorisés à transmettre extensivement leur génétique.
Cette tactique permet aux arabes de transmettre leurs traits masculins à leur descendance, donc de laisser intacte la structure ethnopsychologique sémite qui forme le soubassement du domaine politique islamique.
En parallèle, les éléments faibles de la communauté lésés par cette politique eugéniste, rongés par une frustration sexuelle intense, se voient offrir toutes les femmes qu’ils se montreront capables de conquérir à la faveur du djihad, de l’expansion de l’empire islamique. Ce qui, pour le monde musulman, est naturellement un bénéfice net et une garantie de son expansion territoriale.
Il ne faut pas chercher ailleurs ce vaste mouvement actuel d’assaut racial sur l’Europe par de jeunes musulmans, nègres ou arabes.
Pour l’arabe comme pour son frère hébraïque, la domination est la clef qui lui permet de se livrer à son goût pour l’indolence et le vice sans avoir à fournir le moindre effort en échange.
Mahomet est indéniablement un génie sémite, en ce sens qu’il a créé un système conçu par et pour le sémitisme là où, avant lui, n’existaient que des tribus disparates sans organisation et ni conscience collective.
Le racisme aryen est l’expression de la force de la volonté
Par comparaison, le nègre, avec ses quelques 65 points de QI, ne peut bien sûr rien opposer en terme de représentation collective qui puisse former une culture capable de concurrencer celle des Aryens ou des sémites. Il se borne au racisme tribal le plus primitif, c’est-à-dire à une simple réalité sensitive qu’il peut percevoir sans avoir à recourir à l’intelligence ou à un quelconque exercice philosophique.
Je dois m’arrêter pour insister sur la différence qui existe entre le racisme européen d’une part et celui des nègres de l’autre car, à me lire, certains pourraient être naturellement amenés à protester en arguant du fait que nous nous amusons du racisme des nègres quand nous défendons pour nous un racisme propre.
La différence majeure entre le racisme européen et le racisme des nègres tient dans le fait que le racisme des Blancs est un effort conscient là où, chez le nègre, il relève de la réaction épidermique animale.
Le racisme des nègres est inconscient, impulsif, grégaire et ne produit rien au plan culturel. Il n’est qu’une réaction instinctive.. Il est la manifestation même de l’absence d’une culture valant pour elle-même face aux autres races. Le racisme noir est toujours l’expression d’un profond sentiment d’infériorité que vient compenser un esprit infantile de bravade confinant au grotesque.
Il est attesté historiquement que partout où le racisme noir s’est affirmé, il l’a été contre les Blancs au détriment objectif des nègres, l’homme blanc ayant apporté avec lui une culture dont le nègre retirait directement les fruits. Le Zimbabwe et l’Afrique du Sud offrent des exemples récents de cette réalité.
A contrario, le racisme aryen est un véritable effort intellectuel en ce sens qu’il s’agit d’une prise de conscience qui amène l’homme blanc à rompre avec sa tendance individualiste qui le porte à justifier les formes les plus destructrices d’anarchisme.
Si chez les Blancs la xénophobie est épidermique dans un contexte hostile donné, le racisme est toujours pour eux une prise de conscience complète qui bouleverse leur vie en replaçant l’homme blanc au coeur de sa propre psychée en lieu et place des abstractions sémitiques qu’il tenait pour ses dieux.
Mais cette rébellion contre le colonialisme sémitique mental a un coût social énorme avec son lot de persécutions qui intimident et découragent de nombreux Aryens qui, placés dans un contexte favorable, embrasseraient le racisme avec enthousiasme.
C’est pourquoi le racisme sera toujours, au plan politique, le fait d’une minorité révolutionnaire particulièrement agressive qui sait cependant tenir compte de la faiblesse des Blancs exposés à un siècle de démocratie et de marxisme juifs.
L’hypocrisie intrinsèque de l’antiracisme blanc
En outre, par leur tendance psychologique à l’individualisme, les Blancs préfèrent souvent ignorer volontairement les déterminismes raciaux qui pourraient les obliger vis-à-vis de leur propre groupe face aux races hostiles. Pour conforter cette tendance, ils affirment volontiers que toutes les races peuvent devenir à terme des « Blancs de synthèse », c’est-à-dire des populations de couleur occidentalisées partageant des « valeurs identiques ».
Il s’agit d’une manoeuvre d’esprit typiquement petit-bourgeois visant à délégitimer préventivement tout appel à la solidarité avec les autres hommes de race blanche.
L’occidentalisation des populations de couleur en Europe est à cet égard la seule chose qui puisse pousser un communiste de race blanche à chanter les louanges de la méritocratie individualiste là où d’ordinaire il place le succès d’un individu de son propre groupe sur l’exploitation perfide des masses.
Les antiracistes blancs, à l’exception des femmes, ne sont jamais d’authentiques antiracistes, des partisans sincères des populations de couleur. Leur motivation est exclusivement indivualiste et petite-bourgeoise, ne vise qu’à conforter une situation favorable créée au détriment des autres membres masculins de son groupe racial.
L’antiraciste blanc n’existe qu’en niant les droits et la légitimité de sa race, c’est-à-dire en sabotant l’instinct de survie de celle-ci. C’est le pacte parasitaire qui le lie aux sémites ou négroïdes : il ne peut exister que par l’affaiblissement et la dévitalisation des éléments forts de son groupe.
Le racisme blanc n’offre, contrairement à ce que disent les marxistes ou les races inférieures, aucune espèce d’avantage en soi mais une série d’obligations et de responsabilités particulièrement difficiles à tenir dans la mesure où il suppose un dépassement collectif et individuel permanent.
Ceci pour ne rien dire du fait que le racisme blanc place ipso facto n’importe qui s’en revendique dans une position sécessionniste vis-à-vis de la démocratie juive et des groupes raciaux hostiles.
Le raciste blanc n’a pas pour programme la destruction des races étrangères : c’est là une simple conséquence d’un empêchement hostile de leur part. Le raciste blanc veut se dépasser, bâtir, créer pour que l’humanité blanche, en tant que tout, progresse dans l’histoire.
La haine raciale n’est qu’une conséquence légitime face à l’agressivité génocidaire éternelle des peuples inférieurs.
C’est ce qui explique pourquoi, dans l’ère de la démocratie sémitique que nous traversons, le racisme haineux des races parasitaires est célébré et fanatisé là où le racisme des Blancs, c’est-à-dire leur volonté de vivre, est systématiquement combattue dans leurs propres pays.
L’idéologie antiblanche qu’est l’antiracisme ne consiste qu’à justifier une jalousie compulsive par la destruction des manifestations naturelles de la supériorité de l’homme blanc.
L’affirmation raciste blanche vaut pour elle-même et impose un dépassement permanent. Il n’amène pas à la culture du moindre effort mais à raffermir les tendances qui fondent la supériorité intrinsèque des Blancs par l’effort, le sacrifice, le travail, la lutte. Les ratés et les faibles qui forment le gros des rangs des cadres du socialo-marxisme en ont parfaitement conscience et le redoutent d’autant.
Le rôle destructeur du juif
Laisser à lui-même, l’homme blanc oublie trop souvent le bien de son peuple voire, en vient à faire passer celui d’autres groupes raciaux pourtant hostiles avant celui de sa propre communauté d’appartenance.
Le juif est particulièrement habile dans l’utilisation de cette faiblesse. En judaïsant le virus démocratique, le juif a militarisé la démocratie contre la race blanche. Il a plaqué son fanatisme millénariste sur un ensemble politico-étatique dont le coeur est la race blanche mais dont l’expansion suppose l’annexion des races de la planète entière.
C’est, en somme, le pendant judéo-maçonnique du judéo-bolchevisme soviétique.
La démocratie occidentale actuelle n’est pas autre chose que la version juive du sémitisme là où l’islam en est sa version arabe.
Pour en revenir à ce qui nous intéressait en début d’article, à savoir le cas de ce rejeton du dysgénisme incestueux qu’est de Boissieu, les Blancs qui ont acquis le syndrome de l’émasculation juive après 1945 veulent se dispenser de la lutte pour la vie en neutralisant racialement les différentes races en les convertissant à la religion du judaïsme démocratique.
C’est un modus vivendi qui ne s’assume pas.
Celui qui mendie sa survie moyennant sa réduction en esclavage rejette les devoirs que la Providence lui a confié et se damne devant Dieu.
Ce qu’a parfaitement résumé le héros Rudolf Hess en 1946 face au tribunal rabbinique de Nuremberg.
C’est pourquoi les dégénérés comme de Boissieu redoutent d’instinct la force vitale primitive des nègres et des arabes.
Ou plus exactement leur potentiel de déstabilisation des Blancs et le réveil raciste qui en découle dialectiquement.
De Boissieu sait que son espérance de vie sous le joug arabo-nègre n’excéderait pas quelques jours.
On peut même affirmer, avec une certitude quasi mathématique, que ce de Boissieu est un homosexuel plus ou moins assumé dont les réactions antiracistes hystériques s’expliquent par un goût prononcé pour le sexe anal avec des mâles de couleur.
La destruction de la droite et de la gauche sémitisées
Pour parvenir à l’anéantissement de la droite sémitisée acquise à l’antiracisme, le développement de forces centrifuges est nécessaire et implique l’émancipation des arabes et des nègres de la gauche blanche.
Par contrecoup, cette émancipation libérera le racisme au sein des masses blanches.
Mais comme je l’ai expliqué tout au long de ce texte, les tendances destructrices de l’individualisme appelle une réaction communautaire, populaire, sociale. Réaction rendue impossible par la sémitisation de la gauche, qu’il s’agisse de sa judaïsation sous la direction du Parti Socialiste et du Parti Communiste, ou de son arabisation sous l’impulsion des nouveaux démagogues du mélenchonisme.
Le racisme européen offre la solution à ces deux problèmes socio-politiques de notre époque. C’est aussi pourquoi se revendiquer exclusivement de la droite suscite de sérieuses incompréhensions.
Face au sémitisme oriental, seul l’appel du sang, l’ancre éternelle du génie aryen, peut offrir une solution actuelle.