Captain Harlock
Démocratie Participative
02 avril 2019
A faire tourner aux naïfs pro-migrants.
THREAD. C’est le deuxième jour du procès de Jean-Claude Nsengumukiza, jugé pour le double meurtre d’Elise Fauvel et de Julien Tesquet. Aujourd’hui, l’audience va être consacrée au déroulé de la nuit du drame et à l’audition des experts. #Rouen #procès ⬇️https://t.co/MUaScJxf8J
— paris_normandie (@paris_normandie) 2 avril 2019
L’audience reprend avec l’audition de Maxime G. chef de la brigade criminelle au moment des faits.
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À l’aide de notes, il détaille précisément les résultats de l’autopsie des corps d’Elise Fauvel et de Julien Tesquet. « Les deux corps ont fait l’objet d’une mise en scène. L’autopsie a permis de conclure à une mort par strangulation des deux victimes. »
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Julien Tesquet était, selon ses proches, un individu sympathique aimant faire la fête. Aucun ennemi ne lui était connu. Élise Fauvel est décrite comme pétillante et appréciée de tout le monde.
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Les deux amis ont quitté le bar XXL vers 4h le dimanche 20 décembre 2015. Julien était ivre, titubant. Ils ont pris le chemin de l’appartement d’Elise, place de la Pucelle. Sur le chemin ils ont rencontré Jean-Claude Nsengumukiza.
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Les enquêteurs ont retracé le parcours grâce aux caméras de vidéo surveillance. À 4h29, Elise envoie un dernier sms à l’un de ses amis : « Bon, la situation n’est pas très rassurante. »
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C’est un des amis d’Elise qui a découvert les deux corps dans l’appartement de cette dernière le dimanche 20 décembre 2015 vers 18h.
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Jean-Claude Nsengumukiza est interpellé le 24 décembre 2015 près du bar XXL lors d’un contrôle d’identité. Il est détenteur de résine de cannabis et est en infraction pour ne pas avoir signalé de domicile après sa sortie de prison.
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Les enquêteurs font le rapprochement entre le suspect aperçu sur les caméras de vidéo surveillance et l’individu qu’ils viennent d’interpeller. Son ADN est celui retrouvé sur la scène du crime et sur les corps des deux victimes.
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Les questions du président portent sur la disposition de l’appartement d’Elise Fauvel.
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Lors de la découverte des corps, la porte d’entrée était fermée à clef. Seule une fenêtre entrouverte a permis de pénétrer dans l’appartement.
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Lors de l’enquête de voisinage, un témoin affirme avoir entendu des bruits de talons vers 4h30 et un cri vers 5h.
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À 16h09, un individu sort de l’appartement d’Elise. Il est aperçu sur des caméras de vidéo surveillance.
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« C’est difficile d’établir une chronologie des faits mais on peut déduire qu’il a dormi sur place, qu’il a nettoyé des objets et a été réveillé par des amis qui ont sonné à l’interphone de l’appartement. »
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Lors de son examen médico-légal, des traces sont visibles sur les avant-bras de Jean-Claude Nsengumukiza. Il affirme s’être brûlé avec de l’huile de friture.
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« On pense que Elise Fauvel a fait entrer volontairement Jean-Claude Nsengumukiza dans son appartement. »
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« On pense que l’individu est ressorti par la porte en la refermant à clé. »
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Le téléphone de l’accusé a été coupé à 3h37 puis rallumé à 16h20. « On peut penser qu’il ne voulait pas être dérangé, affirme l’ancien chef de la brigade criminelle. C’est un élément à charge dans ce dossier. »
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Le président lit désormais l’examen médico-légal de l’accusé.
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Il met en évidence des lésions récentes sur les avant-bras, causées par une projection accidentelle d’huile chaude selon l’accusé. Une hypothèse qui n’est pas à exclure. Mais également d’autres lésions sur les avant-bras qui ne sont pas incompatibles avec des griffures.
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L’analyse du téléphone d’Elise fait état d’un envoi de plusieurs textos lors du trajet retour à un ami, l’informant de l’état de Julien « qui n’est vraiment pas bien ».
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L’audience reprend avec la diffusion d’éléments photographiques et de vidéos.
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Un plan de l’appartement avec la disposition des objets tels qu’ils ont été retrouvés est diffusé.
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Les photos prises à l intérieur de l’appartement au moment de la découverte des corps sont diffusées.
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Lors de la diffusion des images des corps, l’accusé reste impassible et fixe les écrans. Certains membres des parties civiles préfèrent ne pas regarder.
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De nombreuses photos de l’intérieur et de l’extérieur de l’appartement sont diffusées.
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Ce sont maintenant les vidéos des caméras de vidéo surveillance qui vont être visionnées.
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Sur les extraits de la vidéo du restaurant situé à côté de l’immeuble, on distingue l’arrivée de trois individus à 4h21 et la sortie d’un individu à 16h09. L’audience est suspendue.
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Le procès va reprendre avec les auditions de Sophie T. et Anne-Claire L. deux médecins légistes de Rouen qui ont réalisé les autopsies des deux corps.
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Le corps d’Elise comportait de nombreuses lésions et ecchymoses au niveau des jambes, des cuisses, des bras, des paupières, de la cavité buccale, des cervicales et de la cage thoracique.
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Le 1er examen du corps d’Elise a été réalisé le 20 décembre 2015 vers 21h.
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« C’était un décès datant de quelques heures », précise l’expert
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« Les lésions les plus importantes sont au niveau de la face, toutes de la même coloration violacée. »
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« Il faut une certaine force pour créer un hématome. J’aurais tendance à dire qu’il y a eu plus d’un coup. »
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Les commentaires de l’expert sont accompagnés par la diffusion de photographies des lésions du corps d’Elise.
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Moment de silence et forte tension dans la salle après la diffusion de ces images.
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Me Lemiegre interroge l’expert sur l’heure et la cause précises du décès d’Elise.
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« Les lésions sont en lien avec l’intervention d’un tiers. On a le temps de se rendre compte de ce qu’il se passe », concède l’expert.
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Sur le corps de Julien Tesquet, il y avait un aspect très bleu au niveau de la peau du visage, caractéristique d’un syndrome asphyxique. Des lésions et ecchymoses ont également été retrouvées au niveau des paupières, du visage, du cou, des bras et des avant-bras.
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« On ne peut pas affirmer que l’un est mort avant l’autre. »
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La diffusion des photos du corps de Julien Tesquet provoque des réactions choquées parmi certaines personnes venues assister au procès.
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L’avocat général soulève l’absence de mention du poids des victimes dans les rapports d’autopsie. « Notre table d’autopsie ne nous permet pas de peser les corps », répond l’expert.
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L’audience est suspendue pour quelques minutes.
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Reprise de l’audience. Le médecin légiste Emmanuel T. est appelé à la barre.
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« Julien Tesquet n’avait pas de maladies antérieures ayant joué un rôle dans le mécanisme de décès. »
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« La phase d’agonie peut être estimée à une dizaine de minutes. »
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« Pour moi, le décès est certainement survenu après la strangulation. Il faut une force importante pour pouvoir fracturer le cartilage. Il n’est pas habituel de voir plusieurs cartilages fracturés en même temps.»
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Selon l’expert, deux lésions sur le corps d’Elise Fauvel, au niveau de l’épaule et de l’hymen, ont été produites plusieurs heures avant le décès.
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Selon l’expert, deux lésions sur le corps d’Elise Fauvel, au niveau de l’épaule et de l’hymen, ont été produites plusieurs heures avant le décès.
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Il affirme que Julien Tesquet est décédé avant Elise Fauvel et que les lésions au niveau de l’hymen datent de 2 ou 3 heures avant les autres lésions au périnée. Sans pour autant confirmer formellement que les relations sexuelles se sont espacées sur plusieurs heures.
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Une visioconférence est désormais organisée avec Aude D. experte à l’institut national de police scientifique basé à Lille et responsable de missions d’empreintes génétiques.
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Elle liste tous les prélèvements relevés sur les corps et retrouvés dans l’appartement.
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Elle confirme que des traces de sperme de l’accusé se trouvaient dans la zone anale, buccale, rectale et vaginale d’Elise Fauvel.
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Du sperme appartenant à l’accusé a également été retrouvé au niveau des narines de Julien Tesquet.
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Et également sur le blouson porté par Julien Tesquet.
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L’audience reprend avec l’audition du témoin Florian D. un ami d’Elise. Il a passé la première partie de la soirée avec elle et a déposé Élise au bar XXL. C’est lui qui a découvert les corps avec Kevin M. le dimanche 20 décembre.
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Il était proche d’Elise. « On se connaissait depuis 8 ans on se disait tout. »
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« Elle n’avait pris qu’un seul verre d’alcool lors de la soirée à La Haye-Malherbe. » Elise devait rentrer chez elle mais elle a reçu plusieurs sms d’amis présents au XXL et à décidé de s’y rendre.
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« Je connaissais très peu Julien Tesquet je ne l’avais vu qu’une fois. »
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Le témoin et Kevin M. inquiets de ne pas avoir de nouvelles d’Elise le dimanche 20 décembre, se sont rendus en fin d’après-midi au logement de leur amie. Ils entrent dans l’immeuble en même temps qu’un voisin et pénètrent dans l’appartement grâce à une fenêtre entrouverte.
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C’est Kevin M. qui est entré dans l’appartement. « Il a cherché la lumière, on a vu quelque chose de blanc comme un drap il l’a soulevé et a crié « Oh putain ». J’ai vu les deux corps. »
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« J’étais choqué. J’ai appelé Anthony G. pour le prévenir. »
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« Elise faisait confiance aux personnes sans être naïve. »
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« Elle était toujours là pour aider les autres. »
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C’est maintenant Anthony G. qui est appelé à la barre. C’est lui qu’Elise a rejoint au bar XXL la nuit du drame.
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« C’était ma meilleure amie, on se connaissait depuis 3 ans et demi. On s’écrivait tous les jours. J’étais à Tours mais je revenais à Rouen. On avait prévu de faire une colocation ensemble. »
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Anthony G. est ému lors de son témoignage, sa voix tremble à plusieurs reprises. « Élise était quelqu’un qui croquait la vie à pleines dents. On vivait chaque jour comme si c’était le dernier. Elle était passionnée et aimait être entourée. »
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« 15 jours avant son décès elle avait essayé l’ecstasy lors d’une soirée à Paris. C’était la première fois qu’elle en prenait. »
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« Elle m’a fait la surprise de me rejoindre à l’XXL. On a ri, on a dansé, on a chanté. Une soirée habituelle. »
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« En partant, elle était prête à rentrer. Julien, lui, était plus mal en point. »
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« Je lui ai dit de rentrer avant de se faire agresser. On s’est dit qu’on s’aimait. »
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Le témoin a reçu le dernier sms d’Elise à 4h29 qui lui disait « Bon, la situation n’est pas très rassurante ». Un texto qu’il n’a vu que plus tard dans la journée.
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Il s’est ensuite rendu au domicile d’Elise à deux reprises. La première fois il a tapé au carreau sans voir de réactions. La seconde, il n’a pas pu pénétrer dans l’immeuble et a sonné à plusieurs reprises à l’interphone sans succès.
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Il a ensuite été prévenu par Florian D. par téléphone de la découverte des deux corps.
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« Elle n’aurait pas fait monter quelqu’un comme ça. Elle devait être embêtée de l’état de Julien. On restait prudents. On sait qu’il y a des malades un peu partout. »
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« Julien et Elise étaient des connaissances de soirées un peu améliorées. »
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« J’ai pas de souvenirs particuliers de la soirée. C’était un bon moment où on prend un verre ensemble, on danse. »
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« Je me rappelle que Julien avait un peu bu. Il n’était pas en mesure de rentrer chez lui. Elise était en mesure de ramener Julien. »
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Le président lit ensuite la déposition de Dominique V. une collègue et amie de Julien Tesquet. Ils ont passé le début de soirée ensemble le samedi 19 décembre 2015 au domicile de Julien puis au bar Le Milk. Elle est ensuite rentrée chez elle pendant que Julien se rendait au XXL.
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Le lendemain elle a envoyé un texto à Julien vers 13h30. Son absence de réponse ne l’a pas inquiétée car elle le pensait en train de travailler au CHU de Rouen. Elle décrit Julien comme quelqu’un qui aimait la vie et qui faisait souvent la fête.
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Cette deuxième journée de procès a été éprouvante pour les familles des victimes avec la diffusion des photos de la scène du crime. Les experts médicaux ont détaillé avec précision l’état des corps de Julien et d’Elise lors de leur découverte.
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L’accusé n’a pas eu la parole lors de cette audience. Demain les auditions de témoins se poursuivront. Bonne soirée et rendez-vous demain à partir de 9h.
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Avant de conclure, n’oubliez pas la priorité : lutter contre le racisme afrophobe des sales Blancs.
Afrophobie : le vote historique du Parlement européen contre le racisme anti-Noirs en Europe | via @saphirnews https://t.co/msY9tFKP7W pic.twitter.com/YqaEDUJk6U
— Saphirnews.com (@saphirnews) 28 mars 2019
Et l’accueil des réfugiés africains, comme dit le juif homosexuel communiste Ian Brossat.
Le gouvernement est donc incapable d’ouvrir un port pour accueillir les 58 réfugiés de l’#Aquarius.
Quelle crédibilité aura #Macron lorsqu’il fera la leçon à Salvini ?
Oui, il fait ouvrir nos ports, accueillir, il en va de notre honneur.— Ian Brossat (@IanBrossat) 24 septembre 2018