Capitaine Harlock
Démocratie Participative
17 mars 2017
Il y a quelque chose qui dérange particulièrement les doctrinaires du progressisme, c’est l’univers du jeu vidéo.
J’ai trouvé cette article dans la feuille de chou Ouest-France :
Des expérimentations ont montré que la pratique de quelques minutes de certains jeux vidéo augmentait les stéréotypes de genre et le sexisme, mais jusqu’à présent, il n’existait pas d’enquête de grande envergure auprès d’adolescents sur le sujet.
Avec ses co-auteurs, Elisa Sarda, Sebastian Roché et Clémentine Bry (Université Grenoble Alpes, Université de Savoie) et Douglas A. Gentile (Iowa State University), Laurent Bègue a mené une enquête auprès de 13 520 jeunes français de Grenoble et Lyon, âgés de 11 à 19 ans, issus de 127 établissements scolaires.
Quatre choses.
Tout d’abord, ils se servent des écoliers comme de cobayes pour leurs saloperies.
Ensuite, »il n’existait pas d’enquête de grande envergure ». Cette façon d’oser prétendre qu’un besoin quasi-compulsif se faisait sentir.
On enchaîne avec l’inévitable « étude » menée « par une université américaine ». L’idée est de donner au lectorat l’impression que le propos tenu a une substance scientifique. Le fond importe peu au plan scientifique, ce qui compte c’est de donner un semblant d’autorité au contenu idéologique. Ici la fiottisation des hommes et la promotion de la connasse universelle à la tête de la civilisation blanche.
Donc, « l’université de l’état de », évidemment.
Enfin, le ton est totalement biaisé. « Stéréotypes de genre ». Ce truc sous-entend que rien ne découle a priori du sexe d’une personne. Par exemple : penser qu’une femme puisse avoir des règles chaque mois est évidemment un « stéréotype » de genre. Après tout, tant qu’on est pas le mois suivant, il s’agit d’une supposition basée sur le seul fait qu’une gonzesse est une gonzesse.
Vous saisissez le concept ?
« Sexisme ». Du genre, l’homme exploite la femme. En 2017. En Occident. C’est-à-dire que l’homme baise quatre femmes en même temps, les tabasse, n’assume pas sa paternité et les laisse bosser à sa place.
Ah ben non, ce sont les nègres et les bougnoules qui font ce genre de trucs.
En 2017, à l’heure où une nana peut absolument détruire la vie d’un homme – blanc – lors d’un divorce au tribunal où 80% des juges sont des femmes, ce qui menace la jeune génération de gamers c’est : LE SEXISME.
Vous avez le choix sur le profit de l’auteur :
- Une connasse mal baisée de 38 ans qui ne pige pas pourquoi les mecs n’ont pas voulu lui faire un gosse.
- Une mère isolée à la con qui touche 4000 euros par mois et qui croit encore avoir de la valeur sur le marché sexuel parce qu’elle a 32 ans.
- Une vieille tabagique ménopausée, passablement lesbienne, qui tape son verre de rosé à 7h30 du matin.
- Une sale pédale dégarnie approchant la soixantaine et votant Bayrou.
Vous choisissez.
Revenons à l’étude :
Plus le temps de jeu augmente, plus l’attitude sexiste s’accroît
L’étude a mis en relation le temps hebdomadaire de jeu et l’adhésion à une vision sexiste selon laquelle « le rôle de la femme est essentiellement de faire et d’élever des enfants ».
Les résultats ont montré que plus le temps de jeu augmentait, plus l’attitude sexiste était prononcée. Selon Laurent Bègue, « le lien est statistiquement significatif, mais son poids reste limité ».
Le rôle de la femme « faire et élever des enfants ».
On en revient toujours au même problème central.
Elles fuient absolument toute forme d’autorité et d’ordre, donc le mâle blanc. 90% de l’antifascisme féminin vient de là.
Les analyses ont confirmé par ailleurs que « l’adhésion religieuse, était également prédictive d’attitudes sexistes chez les adolescents, et ce dans une plus grande mesure », ajoute le psychologue social. « Le poids de la télévision était en revanche inférieur à celui du jeu vidéo ».
Ok, Mahommed est encore un peu trop rustre pour accepter de devenir une tanche totale. Formulé par ces fiottes marxistes, ça donne : « adhésion religieuse ».
Pour les auteurs, l’univers numérique reflète, et peut-être cultive, les stéréotypes de genre de manière évidente. « La modernité du support n’est pas un gage de sa modernité en termes d’égalité homme-femme ! », souligne M. Bègue.
Certes, il serait « injuste de limiter le monde du jeu vidéo, d’une grande diversité, à ceux qui ont le plus de succès et qui versent dans la caricature des genres ». Mais « l’industrie des jeux vidéo pourrait s’efforcer de ne pas enfermer les individus dans des rôles stéréotypés. Et c’est vrai aussi pour les hommes ! », estime le chercheur, selon qui « ces rôles rigides ne facilitent pas l’innovation sociale ».
Le summum : être à la pointe de l’innovation, c’est de laisser les bonnes femmes foutre en l’air la civilisation. « La modernité ».
Conclusion de la bonne doctoresse : il faut foutre des pédés, des transsexuels, des dégénérés et autres vieilles lesbiennes dans les jeux vidéos pour laver le cerveau des 11-19 ans.