Des boomeuses bretonnes organisent un vaste réseau de gigolos clandestins

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mars 2019

« Par charité chrétienne, j’ai voulu aider le jeune Abdul »

Pourrait-on commencer à parler de l’holocauste des boomers ?

Ouest-France :

Dans les Côtes-d’Armor, un collectif de bénévoles, Cajma 22, héberge les mineurs étrangers isolés, afin qu’ils ne se retrouvent pas à la rue.

Cajma 22, le Collectif d’aide aux jeunes migrants et leurs accompagnants des Côtes-d’Armor, a été créé début 2017, afin d’héberger les jeunes non accompagnés, que le Département ne prend pas en charge, parce qu’ils sont reconnus comme majeurs et non comme mineurs.

Au départ il y avait les migrants clandestins mineurs, pudiquement appelés par le système « mineurs non accompagnés ».

Désormais il y a les migrants clandestins majeurs, pudiquement appelés « jeunes non accompagnés ».

Je suppose que le qualificatif de « jeunes » peut s’appliquer jusqu’à 40 ans.

Depuis 2017, 70 jeunes ont ainsi été logés, dans 150 familles, dont ils partagent la vie. Les jeunes sont hébergés dans deux ou trois foyers, qui opèrent entre eux un roulement. Cajma 22 recherche toujours de nouvelles familles susceptibles de recevoir régulièrement, et bénévolement, un jeune.

« Les familles qui nous ont rejoints sont très diverses, par leurs métiers, leurs revenus, leurs opinions politiques, relève Françoise Valy, présidente. Ce sont elles qui prennent en charge le logement et la nourriture des jeunes, une semaine ou deux par mois. Cela ne pèse pas trop sur un budget familial. » L’association finance, elle, les frais de transport du jeune pour aller à son établissement scolaire ou à son centre de formation, le self ou l’internant en semaine.

Parce qu’évidemment, ces nègres sont intégralement pris en charge, comme de juste, aux frais des Blancs.

Sur l’ensemble des jeunes accueillis, une vingtaine vole désormais de leurs propres ailes. « La vie en famille facilite l’intégration de ces adolescents et leur apprentissage de la langue, insiste aussi le collectif. Et pour les hébergeants, c’est un véritable enrichissement culturel. »

Cajma 22 fonctionne grâce à la mobilisation d’une soixantaine de bénévoles actifs, qui aident les jeunes dans leurs démarches, assurent du soutien scolaire, etc.

« Bénévoles actifs ».

Voyons voir.

Ces vieilles empoisonneuses ménopausées passent leur retraite payée par les actifs blancs à importer des gigolos avec l’aide des préfectures et de leurs mâles betas soumis.

Cette sale race donne même les coordonnées de son association pour maximaliser l’infiltration des migrants clandestins :

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