Des Boomers gauchistes en Gilets Jaunes font le procès imaginaire de Macron

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 mai 2019

 

Le mouvement des Gilets a pris fin depuis un bon moment déjà.

A la place, un autre mouvement lui a succédé : le mouvement des Boomers communistes retombant en enfance à l’approche de leurs 70 printemps.

Ils font actuellement des procès imaginaires de Macron.

C’est un jeu de rôle pour vieux soixante-huitards atteints d’Alzheimer.

Il y a même le pépito rouge d’Andalousie Branco pour animer la kermesse.

Je ne me sens pas l’envie de diffuser toutes les vidéos disponibles pour évoquer cet inexorable et inévitable pourrissement à mesure que tous ces vieux parasites, retraités de la fonction publique, sont sortis de leurs trous pour squatter, alléchés par l’odeur du pognon gratuit.

Ces vieux se coaliseront jusqu’au bout avec les nègres et les arabes pour sucer le sang des jeunes Blancs qui bossent. Macron n’est qu’un masque pour eux. Le masque de celui qui ne lâche pas la tune assez vite.

C’est-à-dire votre tune.

Le pouvoir de nuisance de Macron, au point où nous en sommes, se résume à censurer le net pour le compte des juifs. Pour le reste, c’est une poule qui court sans tête.

Les juifs l’avaient placé là où il est pour imposer une austérité de masse afin de garantir la dette souveraine de la France. Il a abandonné l’idée en décembre dernier sous la presse des Gilets Jaunes.

Maintenant, il veut simplement être réélu. Il distribue le blé du contribuable sans compter.

Fatalement, tous ses concurrents sont désarçonnés. Un parti, en France, ne peut exister qu’en promettant plus de fric aux Boomers et aux métèques.

La populace est totalement ignorante des réalités budgétaires les plus élémentaires et Macron entend bien en jouer à fond. Quand il dit que les impôts vont baisser à court terme, cela signifie que la dette va augmenter à moyen terme pour financer cette même baisse ponctuelle.

Bref, c’est de la cavalerie pré 2022.

Macron devient forcément un problème pour la banque juive car ce n’était pas le programme.

Mais que voulez-vous ? Les Français ne sont pas des goyim aussi disciplinés que les Allemands ou les Britanniques. La menace de la faillite brandie par ces banquiers juifs les laissent totalement indifférents. Ils sont invariablement aimantés par leur Sécu, leurs retraites, leurs congés-payés, leur trois semaines à la mer.

Macron les garantit. Il se permet même de courtiser les Boomers de manière franchement pornographique.

Macron va probablement commencer à faire du chantage aux juifs en leur disant qu’aussi mauvais recouvreur de dettes qu’il soit, il est encore leur meilleur garant face aux travailleurs blancs saignés par les parasites qu’il dirige.

Le vieil hébreu Sarközy a senti l’opportunité. Il est déjà candidat pour 2022.

Il a lancé sa campagne sur le thème, « Oh c’est horrible, Madame Dupont, tous ces vilains musulmans qui veulent empêcher nos filles de porter la jupe ! Je suis l’homme de la situation ».

Pour rappel, ce type a arrêté « définitivement » et « solennellement » la politique en 2012 et en 2017. Il devrait normalement arrêter une nouvelle fois en 2022.

Comme vous savez, un juif n’est pas tenu par sa parole. Seul le goy l’est.

Sarközy sent que le point faible de Macron se trouve dans son incapacité à parler d’identité, de métèques, d’islamisme. De fait, Macron ne parle jamais de ses amis les barbus. Sarközy n’a pas ces préventions.

Le juif n’a aucun problème éthique à cracher à la gueule des arabes auprès desquels il se finance. Je vous rappelle qu’il a fait exécuter Kadhafi après lui avoir emprunté du blé pour sa campagne électorale.

Donc Sarközy se positionne.

Hollande aussi se positionne, en sens exactement inverse. Il parle au peuple arabe de France.

En résumé, Macron est un quarantenaire otage des Boomers et des juifs.

Et il fait face à deux boomers serviteurs des juifs.

Lol.

Pendant ce temps-là, le Boomer Mélenchon continue de mettre en coupe réglée la gauche radicale pour la sainte cause des retraites.

Et le Boomer Asselineau lutte contre l’extrême-droite.

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