Leutnant
Démocratie Participative
28 décembre 2018
Quand tu es retraité de la fonction publique et que pour passer le temps, tu fais du jeu de rôle humanitaire dont le coût sera payé par tes petits-enfants.
Mercy Okotie, 23 ans, c’est le visage de la traite humaine et de la prostitution forcée sur les trottoirs de Poitiers. Cette jeune femme d’origine nigériane, qui avait décidé de sortir du réseau de la prostitution grâce à l’association Les Madeleines, avait été arrêtée en Dordogne, le 9 novembre 2018.
Elle était sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF). Après quarante cinq jours passés dans un centre de rétention de Toulouse, elle a finalement été libérée dimanche 23 décembre 2018, annonce France bleu Périgord.
La mobilisation de ses amis et des associations rassemblés dans un comité n’est pas étrangère à cette issue. Une pétition forte de plus de 6.000 signatures avait réclamé sa libération auprès des préfètes de la Vienne et de Dordogne. Une manifestation avait été organisée le 4 décembre 2018, devant la préfecture de la Vienne. Le comité de soutien à Mercy Okotie avait alors estimé que « la renvoyer au Nigéria, c’était la livrer aux mains de ceux qui l’ont réduite à l’esclavage. »
Moralité : 10 boomers communistes suffisent à faire plier un préfet dès lors qu’il s’agit de sauver une négresse de la négritude aux frais du contribuable.
Les Gilets Jaunes attendront.