Depuis Weimar, l’agitateur juif Robert Menasse appelle à créer une république bolchevique européenne pour finaliser l’abâtardissement racial du continent

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 novembre 2018

Le conspirateur juif Robert Menasse

Les juifs sont de plus en plus nerveux. Ils multiplient les initiatives pour mettre définitivement hors du jeu tout ce qui pourrait les gêner.

S’inspirant de la révolution socialiste et marxiste juive de 1918 en Allemagne, un groupe de socialistes allemands dirigés par le juif autrichien Robert Menasse a annoncé une sorte de « manifeste » pour une (((république européenne))).

La presse juive s’en fait un large écho.

Libération :

Tandis que la France commémore le souvenir de la Grande Guerre en grande pompe, une initiative européenne virtuellement inconnue en France, le «European Balcony Project», célèbre le centenaire de la fin des hostilités en esquissant l’Europe de demain. Cette action, initiée par la politologue allemande Ulrike Guérot et l’écrivain autrichien Robert Menasse, appelle les Européen·ne·s à proclamer – symboliquement – la République européenne le 10 novembre à 16 h depuis une multitude de balcons et d’autres lieux publics dans toute l’Europe. De la Lituanie au Portugal, de la Grande-Bretagne à la Grèce, plus de 120 théâtres et institutions culturelles ainsi que de simples citoyen·ne·s participeront à l’événement qui culminera dans la lecture publique d’un manifeste spécialement écrit pour l’occasion.

Par cette action, les initiateurs entendent rééditer la proclamation de la République de Weimar – qui fut en réalité proclamée deux fois : par le social-démocrate Philipp Scheidemann depuis un balcon du palais du Reichstag puis, deux heures plus tard, par le communiste Karl Liebknecht depuis le balcon du château de Berlin. Au-delà du geste révolutionnaire, l’intention du «European Balcony Project» ne saurait être toutefois plus éloignée de l’avènement, au nom du principe des nationalités, de la kyrielle de républiques indépendantes fondées sur les ruines des empires multinationaux (allemand, austro-hongrois, turc) vaincus à l’automne 1918.

Par-delà la rhétorique révolutionnaire – «Le Conseil européen est démis de ses fonctions !» «Les pouvoirs législatifs sont confiés au Parlement européen !» – et le clin d’œil historique, le «European Balcony Project» soulève la question des fondements et de la finalité du projet européen à un moment critique de son histoire. A l’heure où le champ politique tend à se réduire à l’affrontement entre Europe des nation(alisme)s et Europe néolibérale, la République européenne incarne une alternative pour toutes celles et ceux qui refusent l’une autant que l’autre.

La République européenne reconnaît les limites de la souveraineté nationale (et la vanité du nationalisme) dans un monde «globalisé» dominé par les grandes puissances. Il n’est de démocratie réelle que là où les gouvernants sont effectivement capables de mettre en œuvre les choix collectifs des citoyen·ne·s. Or, à l’échelon européen, cette capacité est aujourd’hui soit inexistante (par exemple en matière de politique étrangère et de défense) soit confisquée par les gouvernements nationaux, soucieux avant tout – mais comment leur reprocher ? – de défendre les intérêts de leur électorat. La solution : fonder une République européenne souveraine et démocratique au service du bien commun européen. On objectera qu’il n’existe pas de nation européenne. Mais précisément, rien dans le concept de République – à la différence de l’anachronique Etat-nation – n’exige ni ne suppose de coïncidence entre nationalité et citoyenneté. Au contraire : depuis la République romaine, la République a toujours été, notamment en France et aux États-Unis, un modèle politique privilégié pour unir une société multiethnique et multiconfessionnelle.

Un état autoritaire européen pour imposer la bolchevisation raciale du continent voulue par les juifs.

L’organisation qui à l’origine de cette campagne de propagande est le « Laboratoire Démocratique Européen » financé par le spéculateur juif Soros.

Cette proclamation a été d’ailleurs faite à Weimar.

Et effectivement, il n’est pas exagéré de dire que l’Europe est devenue une république de Weimar géante où le projet dystopique juif avance à marche forcée.

Quitte à se référer à l’Allemagne de novembre 1918, je préfère de loin soutenir l’idée d’un nouveau NSDAP européen en lieu et place de ce parti juif unifié qui veut s’emparer du continent entier.

Libération :

Le parti du président français Emmanuel Macron et les libéraux européens ont dit samedi, lors du congrès de la formation européenne à Madrid, leur intention de faire front commun aux élections européennes de mai 2019.

L’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) a adopté samedi un manifeste visant à «construire une alliance large pour lutter contre le nationalisme et le populisme», selon le vice-président de la formation, l’Espagnol Luis Garicano.

Cette alliance doit notamment intégrer le mouvement du président français, La République en Marche (LREM), qui n’est pas membre de l’ALDE.

Ce terme de « libéraux » est incompris en France : ce sont en réalité des socialistes internationalistes.

Je ne sais si d’autres le disent mais il est évident que nous allons vers une révolution en Europe. Parce que cette montagne de dettes et la démographie du continent rendent intenable la situation actuelle. Donc la question n’est pas de savoir si l’arbre va tomber mais s’il va tomber à gauche ou à droite, chez les juifs ou chez nous.

La finance juive le sait et ne va attendre de se retrouver devant des mouvements racistes de masse pour agir. Elle est donc occupée à créer de toutes pièces un front unifié dont l’objectif est de finaliser un état cosmopolite en Europe chargé de prévenir toute libération du continent.