La rédaction
Démocratie Participative
16 avril 2023
La créature négroïde Ndiaye n’a pas d’âme, il n’est que la bête dont la nécromancienne juive Jeanne Lazarus se sert pour faire l’oeuvre du démon hébraïque éternel
Le mulâtre diabolique Ndiaye lance l’offensive finale contre les dernières écoles de la bourgeoisie blanche qui, accessoirement, vote massivement pour Macron.
Obéissant à sa femme juive, Jeanne Lazarus-Mangin, il prépare un assaut en règle de tirailleurs Sénégalais contre les dernières positions aryennes qui résistent à la diversité.
Les embusqués du Figaro s’étouffent d’effroi à l’idée de voir leurs gamines prochainement pelotées dans les toilettes par Mamadou et Abdul. Lisa Kamen a rédigé un long article sur ce drame.
Dans une interview accordée au Figaro le 13 avril dernier, Pap Ndiaye dit attendre un engagement des écoles privées en termes de mixité sociale. Mais qu’attend-il exactement et pourquoi cette urgence ? La publication, en octobre dernier, à la demande du tribunal administratif de Paris de l’indice de position sociale (IPS) a rendu fous les fonctionnaires de l’Éducation nationale. C’est pourtant à leur demande que la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) a créé cet outil en 2016. Mais il a longtemps été tenu secret et ne servait qu’à décider du montant des aides accordées à chaque école. Calculé sur la base de critères tels que les professions et les catégories sociales (PCS) des parents, le type de loisirs auxquels s’adonne l’enfant, le nombre de livres dans son foyer etc. Il a révélé – Quelle surprise ! – que les enfants dont l’environnement était «favorable à l’apprentissage» se dirigeaient préférentiellement vers les bons établissements, souvent privés. Dingue, non ?
Fallait-il un indice pour réaliser cela ? Un indice d’autant moins fiable qu’il est calculé en fonction d’éléments discutables et d’un système de pondération très arbitraire : un élève dont la mère est enseignante et le père ingénieur se voit gratifié d’un généreux 179 alors qu’un autre, dont le père n’a pas souhaité renseigner sa profession et la mère est sans emploi récolte difficilement un 37. Cela signifie-t-il que l’un a cinq fois plus de chances de réussir ses études que l’autre ? Ou gagner cinq fois plus ? Ou rencontrer cinq fois moins de difficultés ? Nul ne peut répondre à ces questions, surtout pas ses commanditaires, mais maintenant que le grand public connaît l’existence de cet indice, Pap Ndiaye tient à montrer sa détermination : aucune inégalité ne résistera à son règne ! À défaut de pouvoir améliorer le sort de tous, il pointe du doigt les écoles qui échappent encore à la catastrophe et s’échinera à détruire méthodiquement tout ce qui leur permet de tirer leur épingle du jeu. Il avait promis d’agir en janvier. L’actualité sociale et politique en a décidé autrement. Le printemps a réveillé ses ardeurs socialistes.
Mais comment obliger la fille d’un couple d’avocats d’affaires, passionnée de harpe et d’équitation à fréquenter une école de ZEP ? Comment l’empêcher de s’inscrire dans une école privée que ses parents lui offriront, très souvent d’ailleurs pour échapper à la sectorisation scolaire ? Comment permettre à des familles modestes d’accéder aux meilleures écoles ? Comme il n’est pas encore question de contraindre par corps les individus à se rendre là où ils ne souhaitent pas aller, Pap Ndiaye n’a d’autre possibilité que de menacer les établissements privés qui ne montreraient pas leur bonne volonté de ne plus leur verser tout ou partie des subsides qu’ils reçoivent au titre de l’accord Lang-Cloupet de 1992.
La bourgeoisie française se foutait royalement du désastre racial tant qu’il touchait le prolétariat blanc. D’ailleurs, elle a toujours soutenu la droite juive qui a voté le regroupement familial et l’avortement de masse. Elle vote à présent pour Macron.
Maintenant que l’inondation marron se rapproche des plus beaux quartiers et que la masse de crépus est suffisamment énorme, les commissaires politiques de la démocratie mélanisée déclenchent la seconde révolution haïtienne.
Ndiaye sait que ces bourgeois blancs ne peuvent que pleurnicher, incapables d’utiliser leur influence pour défendre leur précarré racial, contrairement aux juifs.
Il peut décréter ce qu’il veut, ils obéiront.
«Il ne doit pas s’agir d’un vague engagement mais d’un engagement avec pourcentages (…) Il y aura bien des objectifs chiffrés progressifs. Ce protocole est pratiquement prêt». Des pourcentages de pauvres ? d’illettrés ? de minorités visibles ? de gens de petite taille ? de bouddhistes ? Les écoles catholiques, puisque ce sont elles dont on parle, accueillent déjà des enfants d’autres confessions et ont leur lot de personnes handicapées ou d’enfants en échec scolaire. L’IPS révèle du reste que dans certaines régions ou certains quartiers, ce sont elles qui accueillent majoritairement les élèves dits «défavorisés».
Le ministre sait que ces mesures sont attentatoires à la liberté. Cela ne le dérange visiblement pas. Rien n’arrête l’égalitarisme. En revanche, a-t-il réalisé qu’il faisait le jeu des écoles hors contrat qui, elles, échappent totalement à ces contraintes ? Autrefois inaccessibles pour des raisons financières, elles sont en pleine expansion et se démocratisent grâce à des fondations, des mécènes et une saine gestion de leurs finances. A-t-il prévu de les interdire comme son prédécesseur l’a fait pour l’instruction en famille, soumise à tant de contraintes qu’elle en est devenue quasiment impraticable ? Ce serait lui prêter de mauvaises intentions d’autant qu’il scolarise ses enfants à l’École alsacienne, école libre qui, à ce titre, ne sera pas assujettie à cette politique de quotas. On aurait pu d’ailleurs espérer qu’il entreprenne des réformes pour ces 80% de Français qui souhaiteraient avoir le choix du public ou du privé, du meilleur pour chacun de leurs enfants.
Ce mulâtre woke va truffer ces écoles privées de racailles afro-maghrébines à une telle vitesse que les bateaux de SOS Méditerranée ne débarqueront pas assez vite pour fournir les têtes crépues nécessaires à ses quotas.
Effectivement il ne reste que le hors-contrat et tout aussi effectivement le régime va l’interdire.
C’est très facile, au nom des « valeurs républicains » il suffira de dire qu’il s’agit de lutter contre « les dérives sectaires » et le « séparatisme islamique », mais aussi, un peu, contre « l’intégrisme catholique ». On montra un scandale avec l’aide des médias afin de préparer l’opinion et ce sera réglé.
Quand ce régime en aura fini, un gosse blanc ne pourra plus échapper à la diversité enrichissante islamo-groïde. Plus d’école à la maison, plus d’écoles hors-contrat, plus d’écoles privées blanches.
Tout sera marron, intégralement, et les bouègres seront partout.
Tant que cet état central tenu par les juifs de Paris pourra avancer d’un centimètre, il négrifiera à outrance.