Captain Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2019
Incroyable.
Je n’ai pas les mots.
Ces traînées sont des succubes mandatées par Satan en personne.
La première femme choquée par ces photos est une quadragénaire havraise, catholique pratiquante. Au début des années 2000, ses enfants fréquentent le même établissement privé que ceux de Luc Lemonnier. Elise (son prénom a été modifié) et son compagnon sympathisent avec le couple Lemonnier. Le futur maire du Havre est même invité au mariage d’Elise en 2005. Six ans plus tard, un soir de 2011, Elise reçoit quatre clichés pornographiques sur son téléphone portable. On peut y voir Luc Lemonnier dans des positions très suggestives. « Je n’ai pas compris pourquoi il m’envoyait ces photos dégoûtantes, raconte Elise. Il m’a dit qu’il voulait me montrer qu’il était ouvert pour toutes propositions. »
Moi.
Des photos de bite à une grenouille de bénitier ?
Six ans après ?
La quadragénaire est sous le choc, elle affirme qu’il n’y a eu aucun jeu de séduction avec Luc Lemonnier, aucune ambiguïté possible. « Voir le sexe d’un homme en gros plan… Je me suis sentie salie, souillée. » Lorsqu’il envoie ces clichés, Luc Lemonnier est déjà élu dans la majorité municipale d’Edouard Philippe. « Je suis peut-être naïve, dit aujourd’hui Elise, mais, pour moi, un homme politique qui a une certaine notoriété doit avoir une ligne de conduite. Ça m’a vraiment dégoûtée ! »
En 2014, quand ils s’aperçoivent que Luc Lemonnier est en bonne place sur la liste d’Edouard Philippe aux municipales, Elise et son mari décident de transmettre ces clichés pornographiques à des colistiers de Luc Lemonnier pour les mettre en garde. L’une des élues destinataires des photos écrit alors au procureur. Le couple aurait alors été convoqué par le parquet du Havre, sans qu’il y ait de suites judiciaires pour autant.
« Je n’étais pas dans un jeu de séduction ».
« Jeu de séduction ».
« Jeu »
« séduction »
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Résumons : cette gonzesse reçoit quelques photos de bite. On ignore tout du contexte, on a que les dires de cette nana. On ne sait rien de rien si ce n’est qu’elle possède quelques photos de Lemonnier nu.
Son réflexe consiste, 3 ANS APRES LES FAITS, à donner ces photos à une FEMME de la même liste que Lemonnier et cette nana décide que cela mérite d’atterrir sur le bureau d’un procureur.
Juste avant les élections municipales de 2014.
Ce n’est même pas la victime alléguée qui dépose plainte.
Je suppose que cette rombière ne devait pas du tout songer à monter de quelques crans dans ladite liste.
Je veux bien croire qu’un politicien soit couvert par les juges. En fait, c’est la norme. Notamment quand il se fait pincer à enculer des gosses. Mais ce n’est pas pour autant que les traînées n’existent pas ni ne cherchent, une fois découvertes par leur mari en train de chauffer des mecs, à inventer des histoires délirantes pour se justifier.
Une fois gaulée, vous n’imaginez pas les mensonges qu’une femme est capable d’inventer pour s’en sortir et sauver son image vis-à-vis de son mari, de ses gosses, de sa famille, de ses collègues, de ses voisins. Et surtout éviter un divorce qui signifie, ipso facto, une chute brutale du niveau de vie.
Tu sais bien que je n’aime que toi chéri, je ne le referai plus, je peux revenir ?
Bref, matériellement, on ne sait qu’une chose : Lemonnier a envoyé des photos de lui à poil. C’est tout ce que l’on sait.
L’histoire se répète ensuite.
C’est sensiblement la même histoire qui se répète quelques années plus tard. Sophie* (son prénom a été modifié), une mère de famille havraise engagée en politique, reçoit sur son téléphone une photo de l’actuel maire.
« engagée en politique »
Un « selfie » où l’on voit Luc Lemonnier, le sexe en érection. « Pour moi, ça a été un viol !, explique Sophie. Je suis mariée depuis plus de 20 ans, j’ai des enfants, je suis épanouie dans ma vie de couple, on se connaissait depuis longtemps (avec Luc Lemonnier, NDLR), j’ai été choquée. » La Havraise prétend qu’elle a demandé à l’élu, à plusieurs reprises, d’arrêter de lui envoyer de telles photos. Elle aurait tout de même reçu une dizaines de clichés.
L’AFP donne quelques détails supplémentaires sur ce cas précis.
«J’avais l’impression d’être seule, que personne ne voulait m’entendre et pour moi, ça a été un viol en fait», a-t-elle affirmé au micro de la radio, souhaitant garder l’anonymat.
Un viol par téléphone.
«Ça a été compliqué, j’ai fait une tentative de suicide. Je suis mariée depuis plus de 20 ans, j’ai des enfants, je suis épanouie dans ma vie de couple, je n’étais pas du tout dans un jeu de séduction», explique-t-elle, ajoutant avoir voulu porter plainte mais que cela avait été «compliqué».
Uh ?
Compliqué de quoi ?
Imaginez : vous êtes une gonzesse, le maire de votre commune chope votre téléphone et, trois jours après, vous recevez des photos de sa bite.
Vous faites quoi ?
Vous le dites à votre mec, vous allez au commissariat. Le procureur, qui est un copain de loge du maire, contacte le maire pour qu’il cesse ses conneries et télécharge Tinder. Si le proc’ est une gonzesse, une enquête est immédiatement lancée, maire ou pas.
Là, « c’est compliqué ».
Qu’est-ce qui est compliqué ?
Tout le roman qu’elle ajoute devient franchement louche. « Je suis mariée depuis 20 ans » [traduction : « je ne suis pas une traînée, je vous jure, je sais que j’ai l’air d’une traînée mais je ne suis pas une traînée »], « je suis épanouie dans vie de couple, j’ai deux enfants » [traduction : « mais puisque je vous jure que je ne suis pas une chienne en chasse, la preuve, j’ai deux gosses et mon mari me baise toujours ! »],
Parce que les gosses sont une garantie, c’est connu.
Mais le truc qui me fait dire que c’est franchement bidon, c’est ce drama autour de la « tentative de suicide ». « Au secours, j’ai reçu une photo de bite, j’ai été violée par téléphone, je me suis suicideée ! ».
La version la plus probable, c’est que cette traînée ne pouvait pas déposer plainte parce qu’elle ne voulait pas déposer plainte.
Cette gonzesse impliquée en politique ne voulait pas déposer plainte parce que le maire commencerait à détailler sa version des faits et que très vite, on découvrirait que tout est effectivement « compliqué ».
Très « compliqué ».
Du genre, « je te suce mais je veux une délégation ».
En 2018, Sophie décide à son tour d’envoyer ces clichés à des élus de la majorité municipale. Cette fois, c’est le maire, Luc Lemonnier, qui dépose plainte le 31 mai pour avoir diffusé ces clichés intimes sans autorisation. A l’issue d’une enquête préliminaire menée par le SRPJ de Rouen, Sophie a écopé, le 18 mars 2019, d’un rappel à la loi par le procureur du Havre.
Mais bordel.
Dans ces deux dossiers, les gonzesses refusent systématiquement d’aller porter plainte. En lieu et place, elles se déchaînent pour s’en servir comme moyen de pression politique à l’intérieur de la majorité.
Notez bien : elles ne diffusent pas les photos sur un blog lambda pour que tout le monde les voit. Elles les envoient secrètement aux conseillers municipaux de Lemonnier.
Si vous êtes harcelées par un détraqué, pourquoi diable iriez-vous monter des combines à base de courriers anonymes distribués à quelques élus ?
Et surtout, pourquoi le maire irait porter plainte par la suite ?
Et Lemonnier n’a même pas été protégé : la traînée et son mec ont reçu un simple avertissement. Du genre, « c’est pas bien de diffuser les photos perso que vous recevez du maire, lol ».
Foutre !
Il y a zéro chance pour que quelqu’un qui refuse de porter plainte se mette ensuite à diffuser partout des photos du maire « anonymement ».
Parce que ce n’est pas anonyme : par définition, le maire sait à qui il envoie ses photos. Et meme si c’est en apparence « anonyme », les flics remontent très vite la source. Ce qui s’est passé ici puisque le couple a été identifié comme l’indique le document.
Communiqué du procureur du … by on Scribd
Et toutes mes premières impressions sont confirmées par la suite avec le dernier cas. Accrochez-vous, c’est probablement le coup le plus tordu de ces journalistes.
Nous avons également rencontré Mikaëla (son prénom a été modifié) qui nous a raconté, comment, elle aussi, avait reçu des « selfies » nus de Luc Lemonnier.
Cette mère de famille est entrée en contact avec le maire du Havre fin juin 2018. À l’époque, elle venait de perdre son fils, mort des suites d’une longue maladie, et se trouvait dans une situation financière précaire.
Ok, moi aussi, en lisant ça, je me suis, « ce type doit vraiment être une ordure ».
Mais attendez la suite.
Elle le sollicite, via sa messagerie Facebook, en raison de problèmes avec le bailleur social de la ville. L’élu et la jeune femme vont alors échanger quelques messages. Le 13 juillet, en pleine nuit, elle le contacte.
« Bonsoir Monsieur le Maire, je sais qu’il est 3 heures du matin, mais j’ai envie de parler avec vous. J’ai besoin d’argent. »
Le maire, qui est indubitablement un baiseur, comprend bien évidemment le deal.
Alors qu’elle lui explique qu’elle recherche un emploi, l’élu lui répond : « je vais voir si je peux faire quelque chose », en ajoutant, « appelez-moi Luc ». Après quelques échanges, et avoir expliqué qu’il était au lit, Luc Lemonnier envoie une série de selfies de lui, nu. La conversation prend alors un tour érotique. Mikaëla ne s’en offusque pas ce soir-là, et ses réponses, que nous avons lues, semblent montrer qu’elle était consentante. Mais la conversation s’interrompt brutalement. Mikaëla raconte : « j’étais sous antidépresseurs, je sortais de l’hôpital, en fait, je me suis laissée faire. J’ai marché dans son plan, puis je me suis sentie très mal. Moi je voulais de l’aide, pas des photos de nu. J’ai pris ça comme un coup de couteau.«
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SALE PUTE !!!
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Cette traînée allume le maire du Havre, lui demande une planque, le chauffe à fond.
Après, elle le laisse en plan et va voir la presse, sur les conseils évidents des ennemis de Lemonnier au sein de sa majorité, pour l’accuser de « coup de couteau » dans le dos.
C’est exorbitant de putasserie.
Un état normalement constitué foutrait cette traînée dans une vierge de fer.
NOUS VOULONS LE RETOUR DES VIERGES DE FER
Sous couvert d’anonymat, de nombreux élus normands nous ont confié qu’ils savaient depuis longtemps que ces clichés pornographiques avait été envoyés à des femmes par le maire du Havre. « C’était un secret de polichinelle », nous dit un élu de premier plan à la Région Normandie.
Il était chaud de la bite, en effet.
Rien ne nous dit d’ailleurs que ces « nombreux élus » n’en font pas autant.
Une ancienne élue de la mairie raconte : « j’ai coupé nos relations pourtant très fortes il y a plusieurs mois, quand j’ai été informée du phénomène. Je n’ai pas été destinataire des photos mais je me suis rendue compte qu’elles avaient été envoyées à plusieurs dizaines de femmes. »
« Je le connais depuis toujours, nous avons de très fortes relations, je ne savais rien mais depuis que j’ai vu que ça allait virer au carnage féministe, je l’ai abandonné. Aimez-moi, je suis quelqu’un de bien. »
La pétasse élue de base
En revanche, tous les actuels adjoints ou conseillers de la majorité que nous avons contactés nous ont adressé une fin de non-recevoir, parfois en termes assez brutaux. « Certaines élues ont reçu les photos mais ont préféré se taire, explique sous couvert d’anonymat une employée de la mairie. Certaines par peur de perdre leur fonction, d’autres parce qu’elles l’avaient caché à leurs proches… D’autres encore par peur de représailles et parce que dans des situations fragiles. » Une ancienne salariée nous a expliqué avoir quitté son emploi notamment en raison « de l’ambiance hyper-sexualisée » qui régnait à l’hôtel de ville.
Dans ce contexte, quel pouvait être le niveau de connaissance qu’avait Edouard Philippe des agissements de l’homme qui lui a succédé dans le fauteuil de maire en mai 2017 ? « Je n’ignore rien de ce qui se passe au Havre », disait en février le Premier ministre à la presse locale. Une chose est certaine, la démission de Luc Lemonnier a probablement été la conséquence d’un discret voyage d’Edouard Philippe dans son ancienne mairie, jeudi matin. Matignon confirme que les deux hommes se sont vus et ont évoqué l’affaire qui menaçait d’éclater au grand jour.
D’après nos informations Edouard Philippe a expliqué à son successeur que la situation n’était plus tenable. Quelques heures plus tard, Luc Lemonnier démissionnait. Dans un communiqué diffusé dans la soirée, Edouard Philippe expliquait « prendre acte » de la démission de Luc Lemonnier. Avec pour seul commentaire : « c’est une décision responsable ».
Lemonnier est effectivement un con pour avoir mélanger son goût de la chatte avec la politique.
Dans l’absolu, ce qui lui arrive est justifié car cet idiot n’a a aucun moment compris à quel point ces femelles infiltrées en politique sont prêtes à tout pour mettre en place leur tyrannie.
Après, ce type n’a fait que répondre à l’hypergamie de ces traînées.
Un homme de pouvoir attire à lui un nombre de femmes absolument sidérant. Elles arrivent de partout, de tous âges, de toutes conditions, prêtes à coucher avec le mâle dominant de la ville du moment.
Et selon que le mâle en question est porté sur le sexe ou pas, il va répondre positivement ou non à ces traînées.
Mais le niveau de fiel de ce coup monté de la presse est hallucinant.
Un homme est peut-être idiot avec sa bite.
Mais ces femmes sont assoiffées de destruction.
Il n’y a aucun argument rationnel contre la Charia Blanche. Aucun.