Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juillet 2021
Tout se déroule comme prévu.
La vaccination est programmée pour dégénérer en d’innombrables variants au terme d’une sélection inversée.
Delfraissy, l’agent de Fauci en France, était sur BFM Drahi pour annoncer la bonne nouvelle à la plèbe vaccinée.
Pour Jean-François Delfraissy, le retour à la normale sera « peut-être en 2022 ou 2023 », « nous aurons probablement un autre variant dans le courant de l’hiver » pic.twitter.com/HQPSdR85Lk
— BFMTV (@BFMTV) July 23, 2021
Peut-être en 2023, ou en 2028. Voire en 2032.
Delfraissy évite toutefois d’expliquer que ce futur variant sera le résultat de la vaccination à grande échelle au beau milieu d’une pandémie.
Ce que l’on appelle des variants d’échappement immunitaire.
En pleine pandémie, un virus est largement répandu. Si on cherche à le détruire en vaccinant des milliards de personnes simultanément, le virus tente d’échapper à la destruction en mutant. Tout spécialement en sélectionnant des mutations qui lui permettent d’infecter beaucoup plus efficacement. Chaque porteur du virus vacciné devient un laboratoire d’essai pour une mutation.
Plus la masse de ces porteurs vaccinés est large, plus les possibilités de mutation augmentent.
Les souches virales faibles sont éradiquées par le vaccin, ce qui permet aux souches les plus résistantes et efficaces de remplir rapidement le vide laissé par leurs cousines. Cette pression de sélection génère des variants toujours plus efficaces en terme de transmission.
Ce processus est identique à celui de la résistance des bactéries aux antibiotiques.
Une mise à jour du vaccin actuel (Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Johnson & Johnson) ne sera d’aucune utilité car il ne fera que produire davantage d’anticorps spécifiques S adaptés à la première édition du virus avec laquelle une personne aura été en contact.
Il sera inefficace contre les variants hybrides résultant de la fusion entre un variant X et un variant Y présents simultanément dans le corps d’un hôte.
La résistance croissante est déjà observable sur les variants actuels comme le variant Epsilon.
On l’a d’abord appelé le variant Californien, parce qu’il a été identifié pour la première fois en Californie. Baptisé B.1.427/B.1.429 ou CAL.20C par les scientifiques, le variant Epsilon, du nom de la 5ᵉ lettre de l’alphabet grec, commence à inquiéter. Il est considéré par l’OMS comme devant faire l’objet d’une surveillance renforcée. Parce qu’il est 20% plus contagieux que le virus souche et qu’il est déjà présent dans 34 pays, si l’on en croit une étude de la revue Science. L’étude effectuée sur les trois mutations de ce variant, montre que l’efficacité des vaccins à ARNm est de 2 à 3,5 fois moins importante face au variant Epsilon.
Ainsi que sur le variant Lambda.
Slate.fr :
Les résultats semblent indiquer que ces virus sont environ 2,3 plus résistants à la neutralisation par le sérum de patients vaccinés par le vaccin à ARN de Moderna, 3 fois plus résistants à la neutralisation par le sérum de patients vaccinés par le vaccin à ARN de Pfizer, et 3,3 fois plus résistants à la neutralisation par le sérum de patients qui avaient eu le Covid-19 avant l’émergence de Lambda.
Les jeunes qui étaient jusqu’ici protégés par leur système immunitaire naturel sont à la merci de ces variants puisque leur réponse immunitaire a été reprogrammée par le vaccin à ARN messager pour produire des anticorps en voie de péremption rapide.
Seuls les juifs pouvaient inventer les vaccins à obsolescence programmée.
Même en étant vacciné, Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, continue de porter le masque en ville pic.twitter.com/h0qbyHtNjc
— BFMTV (@BFMTV) July 23, 2021
Retour à la vidavant annulé.
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