Leutnant
Démocratie Participative
07 juin 2022
Dans une société multiculturelle, il faut apprendre à vivre avec les piqûres de Pfizer et des arabes.
Il y a des Toulonnais partout en France. Ils ressemblent beaucoup aux Anglais.
L’enquête avance à Toulon après la soirée mouvementée de vendredi, lors de l’enregistrement de « la Chanson de l’Année », émission diffusée ce samedi soir sur TF1. 14 personnes ont porté plainte après, selon elles, avoir reçu des piqûres dans le public.
Au commissariat de Toulon, 11 victimes ont porté plainte et trois autres au commissariat d’Hyères. D’autres plaintes n’ont pas encore été formalisées. Une personne a été hospitalisée, un agent de sécurité qui travaillait sur le concert ce vendredi soir. Des prélèvements sont en cours afin de savoir si un produit ou de la drogue leur a été injecté.
Une personne est en garde à vue depuis vendredi. D’après les explications du procureur, il s’agit d’un Toulonnais de 20 ans, mis en cause par trois victimes. Tout d’abord, par l’agent de sécurité qui a été hospitalisé et qui assure avoir vu cet homme le piquer avec une seringue avant ensuite de faire un malaise. Pour l’instant, on ne connaît pas la cause de son malaise : est-ce la piqûre ? Est-ce la chaleur ?
En tout cas deux jeunes femmes expliquent également l’avoir vu avec une seringue et tenté de les piquer au cours de la soirée, mais elles ont réussi à l’empêcher de le faire. Le Toulonnais a ensuite été arrêté par la police. Ce jeune homme conteste les faits. D’après le procureur, il a été mis en examen ce dimanche pour « violences aggravées par deux circonstances, arme et préméditation », et placé en détention provisoire.
Au total après cette soirée, 20 personnes disent avoir été victimes de piqûres. Des prélèvements sanguins, urinaires et capillaires sont en cours. Les résultats seront connus dans les prochains jours, mais les premiers examens ont relevé des traces susceptibles d’être assimilées à des traces de piqûres « sans certitude absolue », d’après le parquet.
Le Figaro en a dit un peu plus à propos du « Toulonnais ».
À Toulon, à la fin du week-end, le parquet avait enregistré vingt et un signalements. À ces derniers s’ajoutent deux personnes – une jeune femme et une adolescente – qui, lors d’une altercation avec l’individu, l’ont formellement vu portant une seringue. Fait non négligeable, la quasi-totalité des victimes sont des femmes. Le mis en cause, âgé de 20 ans, d’origine tunisienne, sans titre de séjour, sans emploi connu de la justice, est en état de récidive légale.
Heureusement, ce père d’un futur Français ne peut pas être expulsé.
Il a déjà été condamné, en 2020 pour violences conjugales sur sa compagne, qui aurait été entendue ce week-end. Père d’un enfant, il est difficilement expulsable. L’individu continue de nier vigoureusement les faits, malgré les dires de deux témoins.
Soupir de soulagement, le pire est évité.