Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 février 2018
Ma vocation, amener le plus de bites de nègres possible en Europe
La soif de destruction des putes à nègres revêt des formes très précises aux conséquences absolument catastrophiques.
Après l’enfer en Libye bientôt une nouvelle vie en France pour une centaine de réfugiés. Pour la deuxième fois depuis novembre, des agents de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), en partenariat avec le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés ont auditionné 84 réfugiés à Niamey, la capitale du Niger, dont 26 rapatriés de Libye, où ils ont vécu des atrocités. Ils sont pour la plupart originaires de la corne de l’Afrique (Somalie, Erythrée, Ethiopie).
Le local du Haut-Commissariat aux réfugiés de Niamey, ressemble à une salle de classe. Sur les bancs bleus, une vingtaine d’hommes et de femmes aux foulards multicolores et quelques enfants. « Comme vous le savez, nous sommes des agents de l’Ofpra. On est venus depuis la France vous rencontrer », annonce Sylvie Bergier-Diallo, la chef de la mission au Niger. L’agent de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), explique comment va se dérouler la journée et tente de rassurer ses interlocuteurs. « Nous allons évoquer avec vous aujourd’hui les moments très difficiles de votre parcours. Si c’est dur pour vous d’en parler, faites comme vous pouvez ».
Emmanuel Macron a promis que près de 3 000 réfugiés en provenance d’Afrique seront accueillis en France d’ici 2019. Loin des besoins annoncés par l’ONU. Le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations unies estime que plus de 277 000 personnes sur la route de la Méditerranée ont besoin d’être accueillies et protégées. La France prend sa part, se défend Sylvie Bergier Diallo. « La France a été leader sur le terrain, insiste l’officier de protection. Si l’Ofpra ne se déplaçait pas ici pour entendre ces réfugiés, ils prendraient la route, souligne Sylvie Bergier-Diallo. La traversée du désert, la détention en Libye, la traversée de la Méditerranée, ce sont les premières missions. Et bien sûr, on aimerait faire toujours plus. Mais on espère que mission après mission, le nombre va augmenter », poursuit-elle.
Si tout se passe bien et après d’autres évaluations sécuritaires, ces réfugiés seront rapatriés sur le territoire français prochainement. Une maman nous montre sur ses mollets les brûlures de cigarettes infligées par ses geôliers en Libye. Elle s’interroge : « Est-ce qu’enfin, je vais retrouver cette liberté que je cherche depuis si longtemps ». La réfugiée somalienne a hâte de suivre son premier cours de français, de trouver un travail, un logement, et de commencer une nouvelle vie.
Oui une nouvelle vie, grâce à Sylvie.
Cette pute à nègre a choisi avec soin sa résidence : à Montreuil, au milieu des nègres. Elle soutient aussi un machin à bamboulas pour leur faire avoir des papiers plus vite. Le tout financé par l’état.
Il y a même un genre de maghrébin septuagénaire qui sera bientôt l’heureux bénéficiaire d’une belle retraite avec la CMU qui va avec.
Souleymane, docteur en biologie moléculaire veut se lancer dans la vie active
Sur sa page Facebook, cette pute à nègres est obsédée par deux choses : les nègres et les pédales.
L’état du gouvernement français en 2018.