Captain Harlock
Démocratie Participative
02 juillet 2021
Vous ne pensiez tout de même pas « retrouver votre vie d’avant » avec deux injections de poison (((Pfizer))), si ?
Une nouvelle étude suggère que le variant Epsilon, repéré pour la première fois aux États-Unis, résiste aux anticorps produits par l’organisme après un vaccin à ARN messager.
Faudra-t-il une troisième injection d’un vaccin à ARNm à l’automne pour empêcher la propagation du variant californien Epsilon en France ? La question pourrait rapidement se poser après la publication d’une étude dans la revue scientifique Science, ce 1er juillet.
Epsilon est un variant du coronavirus qui a été repéré pour la première fois en mars 2020 aux États-Unis et qui est classé depuis mars 2021 comme « variant à suivre » par l’Organisation mondiale de la Santé. S’il n’existe pas encore de preuves d’un quelconque impact épidémiologique ou clinique, les mutations du variant Epsilon inquiètent la communauté scientifique.
Une équipe de l’Université de Washington (Seattle, États-Unis) a travaillé sur ce variant. Les chercheurs ont analysé 57 échantillons d’Epsilon. Pour cela, ils ont prélevé le plasma de 33 personnes vaccinées avec deux doses du vaccin Pfizer-BioNtech, de 15 personnes vaccinées avec deux doses de Moderna et de 9 personnes qui ont été infectées par le coronavirus (SARS-Cov-2).
Ils ont observé trois mutations qui le rendent résistant aux anticorps qui se trouvent sur la protéine Spike, la griffe que le virus utilise pour entrer dans les cellules. Les données indiquent qu’avec ses trois mutations, le variant Epsilon est résistant à la fois aux anticorps produits par les vaccins à ARN messager et à ceux produits par le coronavirus.
Pour l’instant, sept cas de contamination au variant Epsilon ont été comptabilisés en France, selon les données de la GISAID (Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data).
C’est comme Cell dans Dragon Ball.
Le Covid19 est certainement un programme militaire de l’armée du Ruban Rouge.
Si ce n’est pas ce variant résistant qui se répandra, ce sera un autre.
S’il ne surgit pas organiquement, les laboratoires se chargeront d’en introduire eux-mêmes dans la nature pour que ce nouveau système de contrôle des populations soit en vigueur perpétuellement.
Les gens qui acceptent de se faire vacciner actuellement pensent qu’ils retrouveront une vie normale. Ce n’est pas l’objectif du système. Le système a besoin d’un ennemi imaginaire pour maintenir les masses en état de peur permanente, justifiant toutes les mesures d’urgence qu’il estime devoir prendre pour atteindre ses buts.
Actuellement, c’est la menace sanitaire. Demain, ce sera la menace climatique.
Aucun vaccin ne permettra de retourner à la situation qui prévalait avant. La seule qui pourrait le permettre est une révolution.