Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 mai 2017
C’est une découverte scientifique majeure qui va faire s’effondrer la théorie absurde de l’origine « africaine » de l’humanité. Théorie qui a été utilisée jusqu’à saturation par l’université communiste française pour proclamer l’inanité du racisme.
La divergence dans l’évolution entre les grands singes et les humains se serait produite plus tôt qu’estimé sur le continent européen et non pas en Afrique, selon une nouvelle analyse de deux fossiles d’hominidés datant de 7,2 millions d’années mis au jour dans les Balkans.
Cette découverte, objet de deux études publiées lundi dans la revue américaine PLOS One, vient étayer davantage la théorie selon laquelle la lignée humaine s’est séparée de celle des chimpanzés dans l’est du bassin méditerranéen, et non pas sur le continent africain comme on le pense généralement.
Les chimpanzés sont les cousins vivants les plus proches des humains, dont ils partagent plus de 95% des gènes.
Retrouver dans l’évolution le dernier ancêtre commun aux deux espèces est la question centrale et la plus débattue en paléoanthropologie.
Les scientifiques avançaient jusqu’alors l’hypothèse selon laquelle les deux lignées ont divergé dans une période remontant de cinq à sept millions d’années et que le premier pré-humain est apparu en Afrique.
Mais de nouvelles analyses avec des technologies sophistiquées de ces deux fossiles connus depuis plusieurs décennies d’hominidés Graecopithèque freybergi – la partie inférieure d’une mâchoire trouvée en Grèce et une prémolaire supérieure mise au jour en Bulgarie ont conduit les chercheurs à conclure qu’ils appartiendraient à une espèce d’hominidé pré-humain.
Recourant à la tomographie informatisée, une nouvelle technique d’imagerie, cette équipe internationale de recherche a pu visualiser les structures internes des deux fossiles et démontré que les racines des prémolaires étaient en partie fusionnées.
«Alors que chez les grands singes les deux ou trois racines des molaires sont nettement séparées ou divergent, chez le Graecopithèque elles convergent et sont partiellement fusionnées, une caractéristique typique chez les humains modernes et anciens et plusieurs hominidés pré-humains, dont l’Ardipithèque et l’Australopithèque», explique Madelaine Böhme, professeur au Centre Senckenberg sur l’évolution humaine à l’Université de Tübingen en Allemagne, une des principales auteures de ces recherches.
«Nous avons été surpris de ces résultats alors que les hominidés pré-humains connus jusqu’alors avaient été trouvés seulement en Afrique sub-saharienne», relève Jochen Fuss, un chercheur à l’Université de Tübingen qui a mené une partie de l’étude.
De plus, le Graecopithèque est plus ancien de plusieurs centaines de milliers d’années que le plus vieux des autres hominidés potentiellement pré-humains découvert au Tchad, le Sahelanthropus datant de six à sept millions d’années au plus.
Les chercheurs ont daté les sédiments des sites en Grèce et en Bulgarie où ont été mis au jour les deux fossiles du Graecopithèque à 7,24 et 7,17 millions d’années respectivement.
«Cette datation nous permet de situer la séparation entre les humains et les chimpanzés dans la région de la Méditerranée», relève David Begun, professeur de paléoanthropologie à l’Université de Toronto, un des principaux co-auteur de ces travaux.
La théorie « africaine », martelée sans cesse, visait à créer un amas confus d’idées, mélangeant hominidés, hommes archaïques et, évidemment, nègres. En résumé : puisque nous « venions » tous d’Afrique – il y a des millions d’années – nous étions tous, par procuration, des nègres. Mieux, des migrants nègres.
Dès lors s’opposer à l’immigration était censé n’avoir aucun fondement scientifique.
Tout vient donc de se renverser.
En réalité, les scientifiques sont parfaitement incapables de tracer avec certitude le fil de l’évolution humaine dans l’espace. Il manque beaucoup trop d’informations.
Mais c’est un coup très dur porté aux tenants du communisme racial.