Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Février 2020
Je me sens tout à fait prêt à vivre plusieurs millénaires. Ou plus.
J’ai des tas de projets qu’une seule vie ne peut suffire à réaliser parmi lesquels : effacer les nègres et les juifs de la page du temps, apprendre le latin et voyager dans l’espace.
Et de plus en plus d’avancées génétiques me laissent penser que c’est possible.
L’inflammation chronique, qui se produit lorsque la vieillesse, le stress ou les toxines environnementales maintiennent le système immunitaire de l’organisme dans un état de surcharge, peut contribuer à l’apparition de diverses maladies dévastatrices, d’Alzheimer et de Parkinson au diabète et au cancer.
Des scientifiques de l’université de Californie, à Berkeley, ont maintenant identifié un « interrupteur » moléculaire qui contrôle la machinerie immunitaire responsable de l’inflammation chronique dans le corps. Cette découverte, qui a été publiée en ligne le 6 février dans la revue Cell Metabolism, pourrait conduire à de nouveaux moyens de stopper ou même de renverser nombre de ces maladies liées à l’âge.
« Mon laboratoire est très intéressé par la compréhension de la réversibilité du vieillissement« , a déclaré l’auteur principal Danica Chen, professeur associé de biologie métabolique, de sciences nutritionnelles et de toxicologie à l’université de Berkeley. « Dans le passé, nous avons montré que les cellules souches âgées peuvent être rajeunies. Maintenant, nous nous demandons : dans quelle mesure le vieillissement peut-il être inversé ? Et nous le faisons en examinant les conditions physiologiques, comme l’inflammation et la résistance à l’insuline, qui ont été associées à la dégénérescence et aux maladies liées au vieillissement ».
Dans l’étude, Chen et son équipe montrent qu’un ensemble volumineux de protéines immunitaires appelé l’inflammasome NLRP3 – responsable de la détection des menaces potentielles pour l’organisme et du lancement d’une réponse inflammatoire – peut être essentiellement éteint en éliminant un petit morceau de matière moléculaire dans un processus appelé désacétylation.
La suractivation de l’inflammasome NLRP3 a été liée à diverses maladies chroniques, dont la sclérose en plaques, le cancer, le diabète et la démence. Les résultats de Chen suggèrent que les médicaments visant à désacétyler, ou à désactiver, cet inflammasome NLRP3 pourraient aider à prévenir ou à traiter ces affections et peut-être la dégénérescence liée à l’âge en général.
Ce n’est qu’un des nombreux projets de recherche en cours mais il donne un aperçu de ce qui va inévitablement arriver au 21ème et 22ème siècle : la fin du vieillissement.
Nous sommes au tout début de l’âge de l’humanité.
Quand nous chanterons l’épopée de la Grande Guerre de la terre du Milieu, d’ici trois millénaires, ce sera l’occasion de nous rappeler l’époque héroïque où l’homme mortel était assailli par les races des ténèbres pour l’empêcher de bâtir un monde de lumière.
La science elfique est donc bientôt à portée de main et la mort un soucis du passé.
Nous aurons d’autres choses beaucoup plus cruciales à réaliser.
« Cette acétylation peut servir d’interrupteur », a déclaré M. Chen. « Donc, quand il est acétylé, cet inflammasome est activé. Lorsqu’il est désacétylé, l’inflammasome est éteint.«
En étudiant des souris et des cellules immunitaires appelées macrophages, l’équipe a découvert qu’une protéine appelée SIRT2 est responsable de la désacétylation de l’inflammasome NLRP3. Les souris élevées avec une mutation génétique qui les empêchait de produire SIRT2 présentaient plus de signes d’inflammation à l’âge avancé de deux ans que leurs homologues normales. Ces souris présentaient également une plus grande résistance à l’insuline, une condition associée au diabète de type 2 et au syndrome métabolique.
L’équipe a également étudié des souris plus âgées dont le système immunitaire avait été détruit par les radiations puis reconstitué avec des cellules souches sanguines qui produisaient soit la version désacétylée soit la version acétylée de l’inflammasome NLRP3. Les sujets qui ont reçu la version désacétylée ou « off » de l’inflammasome ont vu leur résistance à l’insuline s’améliorer après six semaines, ce qui indique que l’arrêt de ce mécanisme immunitaire pourrait en fait inverser le cours de la maladie métabolique.
« Je pense que cette découverte a des implications très importantes dans le traitement des principales maladies chroniques humaines », a déclaré M. Chen. « C’est également une question qui tombe à point nommé, car au cours de l’année dernière, de nombreux essais prometteurs sur la maladie d’Alzheimer se sont soldés par un échec. Une explication possible est que le traitement commence trop tard, et qu’il est allé jusqu’au point de non-retour. Je pense donc qu’il est plus urgent que jamais de comprendre la réversibilité des maladies liées au vieillissement et d’utiliser ces connaissances pour aider au développement d’un médicament pour les maladies liées au vieillissement ».
La combinaison des super ordinateurs quantiques et des biotechnologies nous feront progresser à un rythme de plus en plus rapide.
La première rupture devrait intervenir dans les 30 ans avec le recours aux nanotechnologies en médecine. Des nanorobots pourront intervenir soit pour une opération ponctuelle soit en permanence, comme un bouclier immunitaire au pouvoir démultiplié.
Ces nanorobots pourront continuer d’oxygéner le corps en cas d’arrêt cardiaque.
Ces arrêts cardiaques deviendront de plus en plus rares d’ici quelques décennies car l’état du coeur sera analysé en temps réel, permettant ainsi de détecter les premiers signes d’une défaillance future. De même pour tous les organes.
Ces nanorobots pourraient même être utilisées dans le domaine militaire en créant des surhommes capables de courir sans jamais sentir de fatigue, entre autres choses.
L’homme 2.0
En attendant que le contrôle des télomères qui régissent le vieillissement soit acquis, le corps pourra être tout simplement réparé par remplacement d’organes grâce à des copies réalisées à partir de nos propres cellules.
Des méthodes révolutionnaires de cartographie organique permettent déjà d’entrevoir l’impression d’organes humains durant ce siècle, sinon au suivant.
L’impression d’organes en milieu soumis à la micropesanteur dans l’espace
Nous pourrons peut-être même, d’ici 100 ou 200 ans, copier Adolf Hitler pour diriger le nouvel empire aryen techno-scientifique.
Je vous accorde que ressusciter Adolf Hitler ne sera pas facile mais le Messie reviendra bel et bien
La compréhension du fonctionnement complet du corps permettra à l’homme de devenir le maître de sa destinée dans des termes encore inaccessibles aujourd’hui.
Il suffit d’y penser : si demain l’espérance de vie médiane n’est plus de 80 ans mais de 8,000 ans – c’est-à-dire virtuellement pour l’éternité -, une révolution anthropologique s’en suivra. Notre mode de vie actuel sera aussi archaïque pour l’homme de demain que l’est pour nous le mode de vie de l’Antiquité. Nos préoccupations changeront de dimension temporelle.
Quelqu’un qui peut vivre 10,000 ans voudra inévitablement partir à la conquête de l’espace.
C’est pourquoi il est d’autant plus cruciale de remporter la guerre raciale défensive en Europe et dans le monde blanc : pour que le germen aryen parvienne à se saisir de cet Excalibur technologique, cadeau des dieux à tous les jeunes paladins décidant de s’aventurer sur le chemin dangereux et exaltant de la quête du Graal qu’est la victoire de l’Aryen sur la mort.
Dans ce monde futur, les races archaïques déjà inadaptées aujourd’hui deviendront une nuisance toujours plus intolérable.
Tout particulièrement celles placées sous l’empire de l’islam ou de l’évangélisme négrifiant. Sentant leur obsolescence arriver, ces sous-races feront tout pour saturer l’espace de références au seul paradis fictif d’Allah et de son Bédouin alors que l’Aryen aura les yeux rivés sur la voûte céleste.
Les cyborgs devenant accessibles en grand nombre d’ici la fin du 21ème siècle, tous ces hommes-singes idiots auront atteint leur date de péremption. D’ici là, la Providence veillera peut-être à frapper ces races obsolètes en les foudroyant par des épidémies dévastatrices. Après tout, la nature sait se réguler.
Quant à ceux qui refuseraient ce saut technologique, comme par le passé, ils disparaîtront. Si comme des Témoins de Jéhovah qui refusent les transfusions sanguines ils refusent de franchir le pas, ils mourront à 70 ou 80 ans tandis que les autres vivront d’abord des siècles puis des millénaires.
Les rares peureux qui préféreront mourir mourront, les autres vivront.
Cette question est donc déjà réglée.
Toute l’énergie blanche pourra alors se concentrer sur la création d’un nouvel ordre bio-technologique, spirituel et artistique.
Le Second Âge de l’Homme
Ne laisse pas l’illusion de l’angoisse étreindre ton coeur jeune compagnon, l’Ennemi dispose de nombreux subterfuges pour essayer de te détourner de ta destinée.