De peur d’être emporté, l’assassin du Christ Attali appelle à la création d’un nationalisme sous étroit contrôle juif

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 juillet 2018

 

Il y a encore peu de temps, les juifs prophétisaient la disparition des peuples blancs dans un océan café-au-lait sous direction juive.

Ces prophéties faites sur le ton de l’évidence n’ont jamais été autre chose que des déclarations de foi hébraïque. Elles n’ont jamais été inéluctables, contrairement à ce qu’aiment à suggérer les juifs, forts de leur c’houtzpah.

Avec le torrent national-populiste qui déferle partout, les juifs se retrouvent dans une situation qu’ils connaissent d’expérience : le réveil brutal des goyim après un long cauchemar sémitique dans lequel ils étaient plongés.

Attali est donc devenu, en quelques semaines, un ardent nationaliste français.

Les conclusions du juif Attali  sont simples : la lèpre juive qui ronge le goy est devenue si virulente qu’il est sur le point de basculer dans le nationalisme pur et dur en Europe afin de procéder au traitement de choc qu s’impose. Ce qui ne peut se traduire que par une flambée antisémite à terme.

Il faudrait donc, nous dit Attali, consentir à une forme de nationalisme, mais sous stricte surveillance juive. Ce que ce juif puant appelle « se réapproprier le nationalisme ». Les juifs aiment beaucoup s’approprier les choses d’autrui.

Il va sans dire qu’Attali n’a nullement l’intention de développer une quelconque forme de nationalisme mais bien plutôt de faire miroiter aux goyim de France quelque chose qui puisse y ressembler tout en garantissant, en pratique, le strict maintien du statu quo.

Cet appel désespéré de la juiverie à imaginer un subterfuge pour conjurer la montée en puissance du sentiment d’autodéfense anti-cosmopolite est révélateur de l’état dans lequel se trouve le système d’occupation juif en Occident.

Comme toujours, c’est au moment où le juif pense avoir définitivement solidifier son pouvoir que celui-ci s’écroule.

La différence entre une prophétie hébraïque et une prophétie aryenne tient dans le fait que la seconde est toujours suivie d’effet.

Il est une illusion dont il faut se défaire rapidement : ce serait que la destruction de l’UE nous délivre de la prédation financière juive.

Sans une thérapie de choc antisémite doublée de l’ablation de la pourriture raciale qui prolifère sur le continent, nous continuerons à subir les menées de l’ennemi de l’humanité.

Certes, la chute de la machine juive qu’est l’UE nous permettrait d’avancer dans la bonne direction. Mais le juif continuerait d’être solidement établi au coeur de la république française qui est sa supplétive principale sur le continent avec l’Allemagne occupée.

Sans chasser les juifs de France et du continent, nous ne serons pas libérés de nos malheurs.