La rédaction
Démocratie Participative
17 décembre 2022
Cette infâme gueule de sang-mêlé, c’est irréel
Faute de surveiller les millions d’Afro-maghrébins qui sèment le chaos dans les rues françaises depuis 50 ans, deux cent jeunes Blancs seront étroitement pistés par l’héroïque police française pour la finale Afrique – Argentine.
L’ultradroite tentera-t-elle de gâcher la fête ce week-end ? Après avoir causé des incidents dans plusieurs villes après la demi-finale du Mondial opposant la France au Maroc, les membres des groupuscules seront dans le viseur des autorités, comme l’a souligné ce vendredi matin le ministre de l’Intérieur. Il s’agira, selon Gérald Darmanin, « de les suivre et les interpeller en cas de réunion ou de réunification de ligue (…), car certaines ont été dissoutes, comme Génération Identitaire ». Si le nombre de ces militants n’est que de « quelques dizaines » dans toute la France, « ces personnes sont dangereuses et seront suivies par le ministère de l’Intérieur », a assuré le locataire de la place Beauvau qui a réuni, jeudi soir, les patrons de la police, de la gendarmerie, de la préfecture de police de Paris et de la sécurité intérieure pour évoquer le sujet.
On appelle ça un leurre pour ne pas évoquer les violences interethniques de Montpellier, entre Gitans et Maghrébins.
Et ça marche.
Mercredi soir, à Paris, un groupe de 40 personnes proches de l’ultradroite, qui s’apprêtaient à rejoindre les Champs-Élysées, a été interpellé lors d’un contrôle dans le 17e arrondissement. Ce vendredi, 26 d’entre elles étaient toujours en garde à vue, essentiellement pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences » et certaines pour port d’arme, a indiqué le parquet de Paris. Sept procédures ont été classées sans suite, a-t-il ajouté. Parmi les gardés à vue, Marc de Cacqueray-Valmenier, le leader du groupuscule « les Zouaves », dissous début janvier. « Ils étaient venus faire le coup de poing », a expliqué Gérald Darmanin, soulignant que plusieurs étaient recherchés par les services de police.
On peut dissoudre un groupe, pas une idée.
C’est le problème de Darmanin.
A Lyon, peu après la fin de la demi-finale, « un groupe de jeunes d’extrême droite s’est rapproché des supporters rassemblés sur la place Bellecour. Il y a eu une rixe et la police est rapidement intervenue pour repousser le groupe et le suivre », a indiqué à l’AFP une source préfectorale, qui a fait état de six interpellations, dont deux parmi les militants d’extrême droite. A Montpellier, des supporters marocains ont été invectivés par des membres de la mouvance ultradroite occitane entonnant « On est chez nous ». Même scène à Nice, où des hommes encagoulés ont crié « Dehors les Arabes » et « On est chez nous » en poursuivant des supporters marocains, rapporte Le Figaro.
Pour le politologue spécialiste de l’extrême droite et directeur de l’Observatoire des radicalités politiques Jean-Yves Camus, ces groupuscules ont profité « d’un effet d’opportunité ». « L’ultradroite fait une fixation sur l’immigration, les pays du Maghreb, l’Algérie, le Maroc aussi. A chaque fois qu’elle peut sortir du bois à l’occasion d’une confrontation sportive avec un pays du Maghreb, elle tente sa chance », explique-t-il à 20 Minutes. « D’un côté, il y avait des supporters marocains, dont certains avaient déjà commis quelques dégradations. Parmi eux figurent des Franco-Marocains qui ont clairement choisi de soutenir l’une de leurs deux patries plutôt que l’autre, ce qui est leur droit. De l’autre, l’ultradroite s’agitait déjà depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux, en expliquant qu’elle ne voulait pas laisser ces supporters insulter la France. »
Camus est un rongeur puant converti au judaïsme.
Lui aussi a choisi sa patrie.
Comme de juste, les empoisonneurs juifs poussent toujours à la haine de l’autochtone qui tente de se défendre face à l’invasion afro-islamique.
Espérons que l’Argentine l’emporte contre le gang de Noirs de Macron.
Evita 4ever