Danser tout l’été sur de la musique nègre

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 juin 2017

 

Un point qui m’a toujours frappé, c’est le matraquage absolument inouï auquel se livrent les radios françaises, 365 jours par an. Variété infâme, chanteurs à texte pédalisés et bien sûr, les nègres et arabes survirilisés qui sont censés être en décalage avec les deux premiers genres.

Chaque été, ces radios grand public utilisent un processus de suggestion inconsciente pour remplir les tronches d’un seul message : avaler du nègre.

Au programme, cette année, les « chansons que vous allez entendre partout » :

BFMTV et son patron Patrick Drahi ne font de l’art divinatoire : ils annoncent simplement le programme.

L’association d’idées est simple : été = soleil = plage = Brésil = nègres = métissage. Le tout en rigolant, avec des danses lascives comme seuls les nègres en font.

Ce procédé a été surtout popularisé par la « lambada ». Là encore, le concept était simple : été = soleil = plage = Brésil = nègres = métissage. Le tout en rigolant, avec des danses lascives comme seuls les nègres en font.

Les élites dégénérées qui gouvernent la France rêvent du Brésil, matin, midi et soir. C’est pour eux l’idéal de société à atteindre. Même si ce pays de 100 millions de nègres et métis totalise chaque année 50 000 meurtres.

Pour ces élites et pour une large part des masses, tout ce qui est au sud est par nature beau et bon. Tout ce qui est au Nord ou à l’Est est lugubre, angoissant et étranger. En somme, elles ne sont jamais sortis du rousseauisme et du mythe du bon sauvage.

Si vous vous rappelez, il fut un temps où nous devions subir les assauts de Rachid Taha, Faudel, Cheb Mami ou Khaled. Ainsi que ceux de l’autre espagnol rouge camé jusqu’aux yeux Manu Chao qui véhiculait une image festive et bienveillante de la révolution marxiste cubaine.

Et bien sûr « Nique Ta Mère ».

Tout ce qui se produit aujourd’hui existait déjà dans les années 80-90.

Connaissez-vous une seule radio française d’envergure nationale qui diffuse du métal ? Il n’y en a pas.

Et bien sûr, la « nuit du ramadan ».