Dans une société féministe, les hommes blancs ne doivent jamais défendre les femmes blanches agressées par la diversité

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 octobre 2021

 

Cette affaire se déroule aux Etats-Unis, mais la presse hexagonale estime qu’elle est suffisamment pertinente pour faire passer un message en France.

Et puis cela permet aussi de casser la routine des articles sur le mari justement assassiné par sa femme car « il le méritait bien » même si par ailleurs – double-pensée oblige – nous fêtons les 40-ans-de-l-abolition-de-la-peine-de-mort de Saint Badinter.

Il est question de viol.

Ouest-France :

Une femme a été victime d’un viol mercredi 13 octobre 2021 à bord d’un train circulant à proximité de Philadelphie (États-Unis). Des passagers ont assisté sans réagir ni intervenir à l’attaque qui a duré environ huit minutes, détaille le New York Times. Les autorités ont en effet indiqué que les services de secours n’avaient reçu aucune alerte venant de témoins directs du viol.

L’agresseur a tout d’abord « essayé d’imposer des attouchements à plusieurs reprises » à sa victime, a indiqué un porte-parole de l’Autorité des Transports de la Pennsylvanie du Sud (SEPTA). La femme l’a repoussé puis a tenté de l’arrêter. L’individu lui a alors arraché ses vêtements. Un employé travaillant dans le train a finalement appelé le 911.

« Une douzaine de personnes » se trouvaient dans le wagon où a eu lieu le viol, a précisé Timothy Bernhardt, responsable de la police locale. Il s’est dit « révolté par ceux qui n’ont rien fait pour aider cette femme ». Le policier a estimé que « toute personne présente dans ce train doit se regarder dans la glace et se demander pourquoi elle n’est pas intervenue ».

J’ai un début de réponse à cette question.

Ce gentleman noir s’appelle Fiston Ngoy (littéralement)

Ce noir se trouvait dans une rame remplie de noirs. Les noirs présents n’ont pas réagi car ils n’ont rien remarqué d’anormal, le viol étant quelque chose de tout à fait banal chez eux. Dans ce cas d’espèce, c’est donc le facteur racial qui explique pourquoi ces noirs ont fraternellement laissé ce gentilhomme faire ce que font les noirs depuis des millénaires.

Ce qui est intéressant, c’est la motivation de la presse française derrière cette histoire. Le message implicite des journalistes (au féminin) est clair :

il n’y a pas qu’aux USA que personne ne bouge quand une femme se fait agresser sexuellement dans le métro ou dans la rue, EN FRANCE AUSSI. Qu’est-ce que VOUS FAITES?!

Nous savons tous qui agresse sexuellement les femmes en France, il s’agit des mêmes populations que cette même presse protège le reste du temps dans ses colonnes en insultant les petits Blancs qui remarquent de qui il s’agit.

Au point où, en ces temps de diversité systématique, on retrouve sur ce thème des spots étrangement blancs.

Quant aux victimes dans l’imaginaire de la communication officielle, elles sont inversement très marron.

C’est une contradiction interne typique de cette nouvelle société intersectionnelle qui doit concilier l’impératif du racisme antiblanc avec la défense de l’hypergamie féminine au nom de l’impératif féministe.

Le système vaginocratique fait face à une dissonance cognitive de plus en plus forte entre d’un côté un ennemi désigné inexistant en pratique (l’homme blanc) et de l’autre côté des mâles de couleur très agressifs sexuellement qu’il ne peut pas désigner en tant que tels, antiracisme oblige. C’est ce qui donne ces campagnes de communication complètement schizos où l’homme blanc incarne la racaille et la femme blanche harcelée devient une mulâtresse.

La lecture antiraciste et féministe est sauve, au détriment de la vérité.

Le viol, c’est-à-dire l’impossibilité pour la femme de choisir son pari reproductif, étant la peur primitive des femmes par excellence, plus le temps passe et plus cette frustration face au harcèlement sexuel grandit. Dans une société vaginocratique comme l’est la société française contemporaine, les femmes doivent pouvoir naviguer sexuellement à leur guise et choisir les hommes quand bon leur semble. Toute la législation a été bouleversée dans ce but. Sous l’effet de l’immigration non-blanche, le harcèlement sexuel est l’expression physique d’un nouveau barrage masculin contre cette mobilité sexuelle. La femme redevient exclusivement l’objet mis en vente sur le marché sexuel et cesse d’être la consommatrice qui dispose. Or, la femme veut toujours gagner sur tous les tableaux. Elle veut céder le moins et obtenir le plus.

D’une certaine manière, les noirs et les arabes ramènent ainsi les femmes blanches à leur statut pré-féministe où l’homme fixe les règles du marché.

Cette situation fait sérieusement rager les pétasses urbaines blanches. Toute concession aux racistes blancs sur la dimension raciale du harcèlement sexuel revient à reconnaître la légitimité des hommes blancs à administrer souverainement leur territoire pour le protéger, donc de réguler l’hypergamie des femmes qui y vivent. C’est-à-dire réguler le marché sexuel à leur avantage.

Or, comme vous le savez, l’ouverture des frontières aux mâles du monde entier est un point non-négociable de l’impératif féminin parce qu’il fait structurellement augmenter les prix de l’offre (la valeur unitaire d’une femme) à cause de l’augmentation de la demande (le nombre de bites). L’ouverture des frontières, le démantèlement de la famille et l’avortement sont les moyens par lesquels les femmes blanches ont pris le contrôle du marché afin qu’il soit totalement modelé sur leur hypergamie.

C’est précisément là qu’intervient cette nouvelle accusation médiatique contre les hommes (blancs) qui ne « réagissent pas » dans les transports quand une femme (blanche) se fait agresser par des arabes ou des noirs, c’est-à-dire quand les hommes (de couleur) régulent à nouveau le marché sexuel.

Vous ne devez rien à des Blanches qui refusent de vous donner ce qui vous revient de droit

Tant que l’ordre féministe est en place, cette attitude de non-ingérence est la seule possible pour les mecs blancs comme je l’ai souvent expliqué ici.

L’homme est génétiquement programmé pour protéger les femmes (les ovules sont rares, les spermatozoïdes non) afin d’assurer la survie de l’espèce. Cependant, ce mécanisme anthropologique n’a de sens que dans un dispositif tribal homogène où les femmes sont effectivement les femmes ou futures femmes des hommes concernés. Ils ont un intéressement génétique à le faire.

Dans une société féministe et multiraciale où les femmes blanches peuvent légalement devenir la gonzesse de n’importe quel mâle étranger, les hommes blancs ont intériorisé que ces femmes ne sont plus leurs femmes. Cette abolition du droit de propriété est un point central de la rééducation féministe de ces 60 dernières années. Dès le plus jeune âge, les femmes blanches de l’Education Nationale impriment dans le cerveau des garçons blancs qu’ils ne doivent jamais essayer d’être les propriétaires des filles pour qu’ils ne limitent pas leur hypergamie future.

L’indifférence des mecs blancs face à ces agressions sexuelles est le résultat direct de ce processus de rééducation.

Ce qui m’amène à vous poser la question suivante : est-ce que vous risqueriez votre vie pour sauver le chien de votre voisin arabe qui essaie de vous mordre tous les jours ?

La réponse est non.

On risque sa vie quand on a un intérêt auquel on s’identifie personnellement.

Toute la discussion autour du harcèlement de rue tourne autour de la résolution de cette quadrature du cercle propre à la vaginocratie sans-frontiériste occidentale : les femmes blanches veulent pouvoir coucher potentiellement avec les mâles dominants du monde entier sans voir leur hypergamie limitée par les mâles dominants du monde entier.

C’est là que l’homme blanc est convoqué comme un banal gardien de la paix pour assurer la sécu dans les transports, ce qui invalide d’ailleurs de le mythe la femme forte et indépendante qui s’avère être faible et dépendante des hommes pour sa protection.

Quand le boulot de sécurité a été assuré, bien loin de dire merci au chevalier blanc assez stupide pour avoir risqué sa vie, la traînée rappelle qu’elle a déjà choisi son camp dans la guerre raciale et ce n’est pas le camp de l’homme blanc.

Les femmes savent comment pirater l’instinct protecteur des hommes pour le détourner de sa fonction originelle.

Tuez le chevalier blanc qui est en vous avant qu’il ne vous tue

Ces femmes blanches doivent assumer la totalité du paradigme féministe, c’est-à-dire son corolaire invariable qu’est le viol par des envahisseurs. Si cette perspective ne leur va pas, faute de débouchés sociaux, alors c’est la soumission à l’homme blanc.

C’est l’un ou l’autre.

Ces succubes veulent les deux.

Il n’y aura pas de société durable où ces femmes blanches pourront s’éclater avec des arabes et des noirs tout en appelant à l’aide les mecs blancs à chaque embrouille. Ce que nous vivons actuellement est un stade transitoire entre la société patriarcale civilisée d’avant Mai 68 et l’anarchie raciale du 21e siècle dans laquelle les femmes ne seront que du butin de guerre, comme de toute éternité.

Tant que cette société féministe tient debout, elle implique pour les hommes blancs de ne jamais s’exposer pour aider cette impasse génétique qu’est une traînée qui déclarera une fois sauvée que « ça n’a rien à voir avec la couleur de peau » (les femmes sont incapables de comprendre la race autrement qu’au niveau de l’épiderme). C’est risquer sa vie et son potentiel de transmission génétique pour de la barbaque frelatée.

Le deal est clair : sécurité contre soumission

Exactement comme au Moyen-Âge quand les paysans se soumettaient à leur seigneur en échange de l’accès au château fort, le deal est sécurité contre soumission.

Vous n’êtes pas différent d’un seigneur médiéval de ce point de vue.

Si les paysans prétendent se passer de votre protection, laissez-les négocier avec les sarrasins une position sociale enviable quand les arabes décident de se mettre à tout razzier. Vous verrez qui survivra et qui reviendra vers vous pour rediscuter d’un accord.

En attendant, les seules femmes que vous devez protéger sont celles de votre famille ou avec lesquelles vous êtes engagé officiellement, à la condition claire qu’elles acceptent votre tutelle.

Encore une fois : protection contre soumission et pas de shit test.

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