La Rédaction
Démocratie Participative
01 octobre 2024
Imaginez croire au mythe de « l’égalité hommes-femmes ».
Les couples où la femme contribue plus fortement au revenu commun que son partenaire masculin encourent «un risque plus élevé» de séparation, d’après une étude présentée lundi par l’Institut national d’études démographiques (Ined).
«Les couples dans lesquels la part de revenu apporté par la femme est supérieure à 55% sont plus instables que les autres couples, de manière significative», avec un «risque de séparation» supérieur de 11% à 40% par rapport aux couples aux revenus égaux, d’après cette étude menée pour la première fois en France et parue en juin dans la revue European Journal of Population. «Et le risque de séparation augmente avec la part de la femme dans le revenu total» du couple, précise-t-elle.
Les femmes sont vénales.
Je suis sous le choc.
Selon l’étude menée à partir d’un échantillon regroupant des données de près d’un million de couples, représentatifs de la population française, entre janvier 2011 et janvier 2017, ce «risque accru» de séparation s’observe aussi bien chez les couples mariés que pacsés où simplement vivant ensemble et est plus importante parmi les revenus les plus faibles. L’équilibre entre les revenus n’a toutefois pas la même influence selon le type de couple : dans le mariage, l’apport prépondérant de l’homme est «stabilisateur», tandis que l’égalité entre les revenus remplit ce rôle chez les couples «en cohabitation». L’influence du revenu est moins importante chez les couples pacsés.
Parmi les couples étudiés, le revenu le plus important demeure apporté par l’homme dans 49,3% des cas, 20,5% ont des revenus égaux et dans 13,7% la femme est la principale contributrice. Les revenus du couple sont assurés entièrement par la femme dans deux couples sur 100 et par l’homme dans 14,5% des cas. L’étude pointe «l’émergence d’un nouvel équilibre égalitaire» vers lequel évolue «le profil du “couple stable”», même si le risque de séparation demeure «toujours plus bas chez les couples» où l’homme est le principal pourvoyeur de revenu.
Les auteurs estiment «néanmoins, (que) le plus fort taux de séparation qui se maintient chez les couples où la femme est la principale pourvoyeuse de revenu indique clairement que dévier des normes est difficile à accepter même dans des pays comme la France où l’emploi féminin est élevé et soutenu par des politiques familiales», concluent les auteurs.
C’est comme si la génétique après des dizaines de millénaires d’évolution ne changeait pas.
L’homme chasse, la femme dispose du gibier.
Les femmes jugent le monde sur une base empirique pour laquelle leur cerveau a été programmé et « l’égalité » ne fait pas partie de ses paramètres.
L’égalité entre les hommes et les femmes n’existe pas naturellement. Il faut la créer artificiellement par la coercition d’un état omnipotent comme le fait l’état féministe contemporain.
Cette égalité anti-naturelle, mensongère par définition, n’en est pas une puisqu’elle revient à truquer le système en faveur des femmes grâce à un mécanisme de handicaps.
Une société régie par le mythe de l’égalité homme-femme est comme une course féminine avec des transexuels, mais en négatif.
L’absence d’égalité entre l’homme et la femme est au coeur de leur stratégie sexuelle respective. Pour que la stratégie de l’un soit un succès, l’autre doit abandonner la sienne ou faire des compromis. La société féministe contemporaine est construite sur des compromis exclusivement masculins.
La confrontation entre ces deux forces fondamentales s’est inversée avec la révolution industrielle et l’avènement de la société de consommation. Le salariat féminin qu’elles ont engendré et qui libère la femme de sa dépendance matérielle à l’homme, crée pour la femme une contradiction entre ses impératifs instinctifs dictés par sa génétique et ses nouvelles conditions de vie.
Dans cette nouvelle société où l’homme devient relativement superflu car il ne garantit plus la survie immédiate de la femme, l’homme doit justifier de son utilité en offrant à la femme un style de vie en tant que pourvoyeur complémentaire.
Le développement de l’état-providence féministe a offert à chaque femme un mari de substitution contre lequel l’homme ne peut pas gagner. Aucun homme de la classe moyenne n’est véritablement « marié » à une femme. Au terme d’un contrat, il vit en réalité avec une maîtresse qui peut se débarrasser de lui du jour au lendemain si elle estime qu’elle ne lui offre pas le style de vie auquel elle estime avoir droit.
Les femmes qui gagnent davantage que leurs mecs ont le sentiment d’avoir très mal rentabilisé leur sexualité de 16 à 30 ans.
Qu’à cela ne tienne, grâce aux nouvelles lois de la société féministe elles peuvent corriger leur mauvais choix reproductif et divorcer en attendant de trouver un meilleur pourvoyeur complémentaire.
Si les revenus sont équivalents, une femme peut partiellement rationaliser en regardant les qualités biologiques de l’homme avec lequel elle vit, à savoir son physique et son aura sociale. Elle peut toujours accéder à quelque chose qui n’est pas quantifiable de la même manière qu’un revenu, mais qui influence et améliore son style de vie. Dans son environnement quotidien, ces qualités peuvent faire la différence avec les autres hommes qui par ailleurs n’ont pas des revenus significativement plus élevés.
Un homme avec un revenu plus faible sera inévitablement identifié avec un style de vie obéré. Plus le temps passe, plus la femme en conçoit une frustration, cherchant le pourvoyeur complémentaire qui lui offrira ce style de vie qui, à l’ère du matriarcat, lui revient de droit par défaut.
Les femmes ne se feront pas « culpabiliser » par la rhétorique égalitaire.
S’apitoyer sur les losers est viscéralement étranger à leur nature sexuelle qui les pousse à trouver un partenaire plus fort qu’elles.
Mauvaise nouvelle donc pour les hommes féministes : dans cette société vaginocentrique, inégalitaire et contre-nature, l’argent est encore plus indispensable pour accéder aux femmes que durant l’ère patriarcale.
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