Captain Harlock
Démocratie Participative
19 avril 2019
La France post-raciale de Lilian Thuram
Vous connaissez tous Lilian Thuram, ce nègre des Antilles né en Guadeloupe qui démontre, de par son exaltation permanente de la race négroïde associée à son agressivité antiblanche, que des siècles de cohabitation n’effaceront jamais les déterminismes raciaux.
C’est aussi et surtout une marionnette des juifs.
Carton rouge au #racisme ! Lilian Thuram, qui le combat avec sa Fondation, en parle avec @Knobel7 : https://t.co/XmM70WESpC #antisemitisme
— CRIF (@Le_CRIF) 22 janvier 2016
Ce nègre, abondamment relayé par la presse cosmopolite, fait depuis des mois le tour de divers établissements scolaires où ils culpabilisent la jeunesse de souche française pour lui faire admettre la nécessité de sa propre disparition.
Au nom du salut de la boue du tiers-monde qui nous inonde.
Après l’incendie de Notre-Dame, Thuram a jugé utile de déverser sa haine tribale contre les Français témoignant d’une mémoire raciale propre.
L’Equipe :
Lors d’un point-presse organisé à l’issue de rencontres avec des collégiens et lycéens à Sartène, Propriano et Ajaccio, en Corse, mardi, mercredi et jeudi, pour lutter contre les préjugés et stéréotypes, Lilian Thuram s’est dit « interpellé » par la vague immense de solidarité suscitée par l’incendie de Notre-Dame de Paris.
« Nous sommes des êtres d’émotion, c’est normal que nous soyons touchés, a expliqué le champion du monde 1998. Moi, je suis Parisien, donc c’est normal qu’effectivement, devant une catastrophe comme ça, vous soyez touché, ému. Mais on a l’impression que, parfois, il y a des hiérarchies qui s’installent dans l’émotion. Il y a des gens qui meurent en voulant traverser la Méditerranée et en fait, le monde n’est pas ému comme ça ? »
Bien sûr Thuram se cache derrière le mensonge de l’égalitarisme pour délégitimer le sentiment d’appartenance qu’expriment les Français de souche dont les ancêtres ont édifié Notre-Dame.
C’est leur histoire et cette cathédrale rappelle à Thuram que ses ancêtres, au moment où elle était édifiée, empilaient de la bouse séchée sur un mètre de hauteur pour leurs huttes.
Cet attachement exprimé par les Français de race blanche, déterminée par l’appartenance raciale héréditaire commune, gène ce squatteur des Caraïbes.
C’est pour cela qu’il parle de « hiérarchisation » sur le ton de l’accusation : parce qu’il ne se sent pas chez lui et estime que c’est de votre faute. C’est de votre faute s’il squatte chez vous et vous devez vous excuser de ne pas laisser davantage de nègres comme Thuram squatter chez vous.
C’est exactement ce qu’il vous dit.
Mais ce nègre, évidemment, hiérarchise lui-même infiniment plus ses propres élans émotionnels sur une base exclusivement raciale et ethnocentrée.
Il ne faut jamais prêter une quelconque once de sincérité à un nègre ou un sémite qui vous prend de haut pour vous réprimander : il est occupé à essayer de vous tuer au ralenti.
La seule manifestation par des Blancs d’une préférence naturelle pour leur propre groupe ethnique excite instantanément la haine de ce nègre qui passe ses journées à promouvoir cette même préférence pour la race nègre.
C’est l’hypocrisie accusatrice haineuse des races inférieures qui tentent de culpabiliser les races supérieures qu’elles veulent abattre.
Et ce n’est vraiment qu’à notre générosité naturelle qu’elles doivent d’avoir pu le faire si longtemps chez nous, abusant de notre hospitalité et de notre bienveillance pour essayer de nous nuire par tous les moyens.
Vous pouvez faire tout ce que voulez : ces races ne veulent pas que vous viviez. Elles veulent proliférer sur vos terres et vous dérober non seulement vos biens matériels mais encore vous éradiquer.
Mais surtout, elles veulent que le processus soit le plus long et le plus douloureux possible pour vous rabaisser et assouvir leur soif sadique de destruction de tout ce qui se dresse au dessus de leur médiocrité.
Ils ne seront satisfaits que le jour où vous et votre lignée seront en état de mort clinique.
Le seul fait que vous, autochtones, exprimiez une mémoire collective excite la haine de Thuram parce que cela témoigne d’un souffle de vie qui va à l’encontre de l’intérêt expansionniste de sa propre race.
C’est pourquoi il établit instantanément le lien entre les manifestations mémorielles des Français de souche autour de Notre-Dame et l’invasion de l’Europe qu’il veut voir se poursuivre.
« Il y a des gens qui veulent faire des murs pour qu’il y ait des personnes qui ne viennent pas, mais en fait, ils sont capables d’envoyer des tweets pour dire : »est-ce que vous avez besoin d’aide pour éteindre le feu ? », comme l’a fait Donald Trump. C’est bizarre », a souligné l’ancien défenseur de la Juve, aujourd’hui très actif dans la lutte contre le racisme via sa fondation, qui porte son nom.
Il y a des gens qui parlent de politique monétaire africaine pour rompre avec l’influence française, mais en fait, ils sont capables de dire : « pourquoi vous les Français vous n’accueillez pas les migrants clandestins d’Afrique ? ».
BBC Afrique – Lilian Thuram sur le CFA: « serait-il normal que l’euro soit fabriqué en Chine » https://t.co/jFMgfKXbpa
— Marie-Louise ABIA (@marielouiseango) 8 octobre 2017
Ce n’est pas bizarre.
C’est l’expression même de l’hypocrisie raciale de ces nègres qui exigent des Blancs ce qu’ils promeuvent systématiquement pour eux-mêmes : l’affirmation raciale, la préférence raciale.
Ils la veulent pour eux, ils veulent l’interdire pour vous. Chez vous.
Ce que Thuram hait, c’est de voir Trump faire de discrimination positive sur la base de sa propre empathie ethno-culturelle. C’est de voir des Blancs qui n’ont pas honte d’être blancs et qui s’affirment.
Ce nègre hait ça d’instinct car en réalité, c’est lui qui est rongé par la haine antiblanche.
Cette haine dont il accuse les Blancs, chez eux.
Aux élèves qu’il a rencontrés dans les différents établissements corses, il a d’abord demandé qu’ils lui racontent des blagues racistes dans le but de pouvoir les analyser ensemble. « J’ai été étonné que la plupart des blagues » racontées soient « sur les Arabes », a-t-il indiqué.
« Je trouve qu’il y a un mépris énorme. Je ne connais pas l’histoire corse, mais je pense qu’il faut questionner l’histoire corse pour comprendre », a-t-il ajouté, estimant qu’en général, « les gens n’ont pas conscience de la profondeur historique du racisme ».
« On ne se rend pas compte comment, à travers les blagues, on banalise le racisme, on l’entretient comme si c’était quelque chose de normal », a-t-il également estimé.
Appelant à ce que les élèves « s’interrogent, se questionnent » notamment sur les « injustices » et les « hiérarchies »construites entre les sexes, les couleurs de peau ou les religions, il a également livré sa recette du succès : « Si vous voulez réussir, ce qui fait la différence très souvent, c’est la capacité à se concentrer. »
Ce nègre a décidément du mal avec le principe hiérarchique.
Quant au fiel de Thuram au sujet sur la Corse, on peut y répondre immédiatement : avec 30% de crouilles sur l’île, les autochtones manifestent une certaine fatigue psychologique.
Il est vraiment, vraiment temps de rafraîcher l’esprit de toute cette faune indésirable.