Creuse : Le maire communiste fait enlever la croix du cimetière pour répondre aux demandes de l’état islamique

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 décembre 2017

 

« Installez-vous confortablement, le frigo est plein. Je vais dormir dans le garage. »

France 3 Nouvelle Aquitaine :

Des insultes sur le site internet de la mairie de Saint-Sulpice-le-Guérétois en Creuse ou par le biais des réseaux sociaux. La polémique enfle après l’annonce du maire d’enlever la croix du portail du cimetière. Celui-ci doit être restauré et selon, Claude Guerrier, maire de la commune, ce portail est hors la loi car construit entre les années 1930 et 1960 et donc installé après 1905. Donc hors la loi aux yeux de la dîte loi.

Mais cette affaire prend une telle ampleur que l’édile ne souhaite plus en parler. Selon lui, il s’agit juste de restaurer un portail vieillissant et ainsi le mettre en conformité avec la loi. Pour lui, cette affaire est montée en « épingle » et il ne souhaite pas s’exprimer devant les caméras de France 3 Limousin.

Enlever la croix du portail du cimetière de Saint-Sulpice-le-Guérétois semble porter atteinte à certaines personnes, y compris à des personnes domiciliées à l’extérieur de la Creuse. Certains revendiquent pour la France le droit sur les réseaux sociaux de conserver toutes les croix car la France est à l’origine un pays chrétien. D’autres se sentent menacés par la montée de l’Islam.

Loin de toutes ces préoccupations, Claude Guerrier, le maire de Saint-Sulpice-le-Guérétois, souhaite simplement être en accord avec la loi de 1905.

Objectif : éviter qu’une plainte ne soit déposée à l’encontre de la commune pour manquement au principe de laïcité.

Les textes de la loi sont très clairs. Il est désormais interdit d’édifier des signes religieux sur des biens communaux. Les calvaires ruraux, eux, ne devront pas être enlevés, car installés avant 1905.

Pour le maire, la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat doit être appliquée totalement. C’est une question de principe, rien à voir avec la religion. « On n’est pas sur le terrain des croyances mais sur celui de la légalité » nous a expliqué par téléphone le secrétaire général de la mairie de Saint-Sulpice-le-Guérétois.

D’ailleurs le maire ne se positionne pas du tout contre la religion chrétienne ou catholique. La mairie étant propriétaire de l’Eglise, l’édile compte bien réaliser prochainement les travaux nécesaires pour conserver au mieux cet édifice religieux.

Non, le maire ne se positionne pas « du tout » contre le catholicisme ou l’identité française.

D’ailleurs, il n’est qu’accidentellement membre du Parti Communiste et ancien prof.

D’une manière générale, cette histoire de « laïcité » est devenue le masque employé par les faibles ou les lâches pour maquiller leur projet respectif. Soit contenir l’invasion musulmane sans l’assumer – et encore, sur des points de détails -, soit éradiquer ce qu’il reste de français en France pour y substituer la religion d’allah.

Laïcité islamique

Pour ceux qui ignorent encore ce qu’est la laïcité communiste, voilà un rapide cours de rattrapage.

Comme toujours avec la subversion communiste, on prend un mot et on en inverse le sens. En résumé, la laïcité communiste consiste à poser les jalons de la victoire du califat.

Conséquence de l’agitation superstitieuse de ce grigri issu des loges de la Troisième République, nous sommes à présent en plein simulacre. Les bouffeurs de curés de jadis sont devenus des apôtres zélés du monothéisme mahométan auquel ils n’ont de cesse de trouver des mérites et des vertus. Déférence qu’ils justifient précisément au nom d’une « laïcité bien comprise ».

Chez nous, on voit la rhétorique du Grand Orient reprise, revue et corrigée, pour contenir les déprédations des djihadistes, à l’instar de Riposte Laïque qui s’évertue à mesurer la longueur des hijabs algériens.

Car il est absolument clair qu’un pays peuplé de bougnoules et de nègres musulmans n’aura rien d’islamique si les femmes  qui vous servent au guichet de la Poste ont des voiles qui laissent leurs oreilles apparentes.

Plus généralement, cette fameuse « laïcité » n’est plus qu’un énorme euphémisme visant à parler, à mots couverts, de la conquête islamique et des moyens de s’y adapter. Tantôt en la contenant à la marge, tantôt en l’encourageant absolument. Ce qui explique précisément le revival laïcard contre les croix de cimetière, les statues ou les crèches de la part d’organisations comme la LDH. Organisations qui, parallèlement, défendent la burqa de plage, grâce aux subsides du youpin Soros.

Pour ma part, je ne vois pas comment le régime républicain qui nous a mené au fond du trou pourrait nous fournir les armes censées nous en faire sortir.

Le débat autour de la laïcité intégralement lié à la conquête islamique

Le problème ne relève pas la séparation de l’église et de l’état : le catholicisme a pour ainsi dire disparu et les curés sont devenus des espèces d’animateurs culturels trotskistes septuagénaires.  Seul un membre du Grand Orient peut encore discerner, dans l’épiscopat français, l’ombre d’un rassemblement de Croisés.

Agiter le spectre du retour à l’Ancien Régime n’est qu’un subterfuge utilisé par la gauche rouge et maçonne pour créer une fausse équivalence entre la menace islamique et le christianisme qu’elle associe évidemment à ses ennemis politiques. Mélenchon use et abuse de cette ficelle, en toute occasion. Ce qui explique d’ailleurs son attaque contre les obsèques de Johnny Hallyday.

L’immense majorité des gens n’ont qu’une idée très approximative des vérités élémentaires de la religion chrétienne et l’anticléricalisme n’a plus guère le vent en poupe. En revanche, ils perçoivent correctement l’entreprise de destruction de l’identité française menée par la coalition des Sans-culottes et des mahométans afin anéantir définitivement la France.

A ce titre, j’appelle toujours à défendre la croix quand elle est ciblée par cette vermine.

Nous allons assister, de la part de la gauche, à un double mouvement, de plus en plus intense. Le premier, un appel systématique à « respecter la laïcité », ce qui en pratique signifie de répondre à toutes les revendications religieuses de la bougnoulerie. Le second, à scruter la moindre manifestation de religiosité chrétienne, perçue comme identitaire et réactionnaire, afin de mitiger les accusations de collusion avec l’islamisme.

Ce qui est en jeu n’est donc pas un principe constitutionnel, mais le choix de son camp : la France historique ou l’invasion afro-bougnoulique.