Covidisme total : l’Australie instaure une application de contrôle par géolocalisation et reconnaissance faciale pour surveiller chaque mouvement de la population

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 septembre 2021

 

Si vous voulez savoir jusqu’où la reprise en main des sociétés occidentales par l’oligarchie globaliste ira, il faut regarder la situation de l’Australie.

Depuis quelques temps déjà, l’armée patrouille dans les rues pour s’assurer que la population est bien assignée à résidence.

Mais ce n’est qu’un des nombreux volets de la mise en place d’un système de surveillance et de contrôle total.

Depuis des années l’oligarchie se plaint des paysans qui protestent sur internet sans pouvoir être identifiés, arrêtés et socialement éradiqués voire jetés dans des camps de concentration. C’est sur le point d’être réglé.

« Le gouvernement fédéral australien prévoit de désanonymiser l’internet afin d’introduire un système de crédit social pour lutter contre les « abus en ligne ». La police aura accès aux comptes de médias sociaux des individus, qui seront liés à leurs passeports. »

Mais il y a mieux.

La police va pouvoir éditer le contenu de ce que postent les gens en ligne.

IFLScience :

En 24 heures seulement, le gouvernement australien a fait adopter par le Parlement un projet de loi autorisant la police à pirater les appareils de toute personne impliquée dans une enquête en cours. Grâce à cette nouvelle loi, la police pourra modifier ou supprimer des données, prendre le contrôle de comptes de médias sociaux et recueillir l’activité du réseau dans la mesure où elle le juge nécessaire pour faire avancer ses enquêtes. Pour ce faire, il suffit de créer l’un des trois mandats, qui, selon les critiques, sont beaucoup trop faciles à obtenir.

Intitulée « Surveillance Legislation Amendment (Identify and Disrupt) Bill 2021 » (un titre déjà assez inquiétant), la législation accorde à la police le pouvoir d’obtenir trois nouveaux mandats :

1. Les mandats de perturbation des données : ils permettent à la police de modifier ou de supprimer entièrement les données d’un suspect ;
2. 2. mandats relatifs à l’activité du réseau : la police peut obtenir des informations stockées dans les ordinateurs d’un suspect, ainsi que tout réseau criminel présumé et les utilisateurs liés à l’individu ;
3. Mandats de prise de contrôle de comptes : la police peut prendre le contrôle des médias sociaux et des comptes en ligne d’un suspect.

Pour obtenir ces mandats, il n’est pas nécessaire que la police demande l’autorisation d’un juge. Au lieu de cela, elle doit simplement les demander au tribunal d’appel administratif, un organe de révision au sein du gouvernement qui examine de manière indépendante les décisions prises par les fonctionnaires, mais qui n’est compétent que lorsque la loi le prévoit expressément. Il sera ainsi beaucoup plus facile d’obtenir des mandats pour la collecte ou la modification de données sans avoir à se justifier auprès d’un juge.

Le gouvernement s’est arrogé en 24 heures le droit de prendre le contrôle de l’internet d’une personne pour effacer tout ou partie du contenu qu’elle a mis en ligne ou d’en ajouter. La police pourra non seulement censurer le contenu qu’elle juge politiquement déviant mais également poster un contenu illégal sur les comptes de personnes ciblées et s’en servir de prétexte pour les arrêter.

C’est du niveau de la Stasi.

Quand je parle de camps de concentration, j’en parle au sens littéral. L’Australie vient de lancer la construction officielle de son premier camp d’internement des réfractaires à l’Etat covidiste. Comme dans la vidéo ci-dessous qui se passe dans l’état du Queensland où vous pouvez voir ce qui sert de premier ministre à cet état annoncer le lancement de la construction d’un camp avec les engins de chantier en arrière-plan.

La police covidiste a déjà recours à des unités antiterroristes pour cibler et repérer les réfractaires.

Si vous voulez voir un truc flippant, c’est par ici :

Si vous éternuez, vous aurez le SWAT à votre porte dans ce pays.

De nouveaux outils sont déployés pour surveiller en temps réel la population et contrôler tous ses mouvements.

Le dernier en date a été présenté dans la presse américaine.

The Atlantic :

Les déplacements à l’intérieur de l’Australie sont également sévèrement limités. Et le gouvernement d’Australie-Méridionale, l’un des six États du pays, a mis au point et teste actuellement une application aussi orwellienne que n’importe quelle autre du monde libre pour faire appliquer ses règles de quarantaine.

Les habitants de l’Australie-Méridionale seront obligés de télécharger une application qui combine reconnaissance faciale et géolocalisation. L’État leur enverra des SMS à des heures aléatoires, après quoi ils auront 15 minutes pour prendre une photo de leur visage à l’endroit où ils sont censés se trouver. S’ils échouent, le service de police local sera envoyé pour effectuer un suivi en personne.

« Nous ne leur disons pas à quelle fréquence ou à quel moment, sur une base aléatoire, ils doivent répondre dans les 15 minutes », a expliqué le premier ministre Steven Marshall. « Je pense que chaque Australien du Sud devrait se sentir assez fier que nous soyons le pilote national de l’application de quarantaine à domicile ».

Comme planifié, le Cohen19 a servi d’excuse pour lancer une campagne de guerre psychologique systématique contre la population avant de mettre en place un brutal régime de surveillance et de contrôle qui ne sera jamais aboli tant que la caste oligarchique sera au pouvoir.

Vous vous dites, « les Australiens n’ont qu’à quitter le pays ». C’est impossible : le gouvernement a interdit indéfiniment à la population de quitter le territoire. L’Australie étant une île, il est impossible pour la population de sortir d’un pays qui est revenu à sa fonction originelle : être un pénitencier à ciel ouvert.

Reste à savoir combien de temps avant que le gouvernement en France fasse exactement la même chose.

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