La rédaction
Démocratie Participative
18 juin 2023
Gilles Simeoni, leader autonomiste de Corse, a un projet pour l’île.
Il ne diffère pas fondamentalement de celui du Marais, à Paris.
Première « marche des fiertés » en Corse. Des témoignages émouvants, qui disent les souffrances au quotidien, notamment pour les jeunes. Et une demande légitime : pouvoir vivre heureux, dans une société respectueuse de la liberté et des droits de chacun. https://t.co/4hz1ikXhDG
— Gilles Simeoni (@Gilles_Simeoni) June 18, 2023
Il existe deux sortes de Corses : les Corses des montages et les autres. Les autres sont composés d’un peu tout ce qui a bien voulu s’échouer sur les côtes de l’île ces derniers siècles dont une bonne louchée de juifs.
La mère de Gilles, Lucie, est une femme corse très pratiquante.
La presse locale nous faisait état lors d’un papier émouvant.
Fête majeure du judaïsme, Yom Kippour – appelée aussi « Jour du grand pardon »- a été célébrée pour la première fois (officiellement) cette année par la communauté juive de Bastia, qui aura réuni quelque 200 pratiquants dans l’édifice de la rue du Castagnu. Une journée de jeûne consacrée exclusivement à la prière et à la repentance, quelques jours seulement après le nouvel an juif, Rosh Hashana, et l’avènement de la 5778e année du calendrier hébraïque. Pour réunir tous les pratiquants sous le même toit, aussi, avant d’honorer un repas de sortie de jeûne associant la communauté après le crépuscule.
Parmi eux, Lucie Simeoni, pratiquante de longue date dont les origines familiales se puisent dans la communauté israélite de Pologne, a pris naturellement les chemins du repentir et du pardon « pour honorer, dit-elle, cette fête incontournable et cet instant de recueillement ».
La Corse polonaise.
Les juifs, lorsqu’ils ne se sentent pas totalement en situation, sont très timides. Ils judaïsent en secret, de peur d’éveiller la méfiance du goy. C’est donc le soir, dans la pénombre, qu’ils se réunissent pour célébrer les sanglants massacres de goyim que glorifie la Torah, l’Ancien Testament des Chrétiens.
Bien sûr le génocide des Cananéens, mais aussi celui des nationalistes perses par l’action d’Esther, une putain juive.
Aujourd’hui, ils déversent à grands flots le poison du sémitisme par tous les canaux à leurs dispositions. Y compris en Corse comme on le voit.
Le cortège de la première marche des fiertés débute sur le boulevard Paoli à #Bastia. #LGBTQIA#corsehttps://t.co/mhTf1o99z5 pic.twitter.com/ZeHYR52EjK
— France 3 Corse (@FTViaStella) June 17, 2023
La Corse mérite mieux que de finir en porcherie juive.
Reste à savoir si les Corses des montagnes partagent cet avis.