Captain Harlock
Démocratie Participative
31 août 2018
Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine sénégalaise du parasite. Son séquençage complet, dont les résultats sont disponibles depuis le mois d’août sur le site de prépublication en ligne bioRxiv, a révélé quelques surprises. Le ver est un hybride: son ADN présente 25% de gènes provenant d’une forme du parasite touchant uniquement le bétail. «Nous avons été surpris qu’un parasite aussi hybridé soit effectivement capable d’infecter l’homme», raconte Jérôme Boissier, professeur à l’Université de Perpignan Via Domitia. «En laboratoire, il semble même plus virulent et agressif qu’un ver classique, mais il faut rester prudent: la vérité du laboratoire n’est pas toujours celle du milieu naturel.»
Il faut ainsi attendre cinq années sans cas avéré de contamination pour déclarer un foyer éteint. «Un foyer avait émergé au Portugal comme ça en 1925 et il a mis 50 ans à s’éteindre», rappelle Jérôme Boissier.
En filigrane, une crainte: que le réchauffement du climat ne contribue à offrir à ce type de parasite des conditions de plus en plus favorables à leur implantation en Europe. Les migrations et le tourisme de masse constituant dans ce contexte les étincelles pouvant déclencher des flambées d’épidémies nouvelles.
Les Corses peuvent désormais goûter aux joies de la diversité.
Et les Corses vont pouvoir compter sur leur leader Gilles Siméoni, de mère juive polonaise, pour leur faire bénéficier d’une richesse ethnique toujours plus vivifiante.
Manque de vivres, mauvaises conditions météo, et port espagnol trop éloigné : face à l’urgence, le Conseil exécutif de Corse propose à @SOSMedFrance d’accueillir l’#Aquarius dans un port #Corse
— Gilles Simeoni (@Gilles_Simeoni) 12 juin 2018
Gilles Simeoni, président du conseil exécutif de Corse : « C’était naturel de proposer à l’Aquarius le port de Bastia » dans #Punchline pic.twitter.com/Nrc1r3zQQG
— CNEWS (@CNEWS) 12 juin 2018
Siméoni s’était bruyamment félicité de la légalisation par le juif Fabius de l’action des passeurs marxistes qui, à la suite de Cédric Herrou, s’activent en faveur de la pouillerie clandestine.
Celles et ceux qui, en conscience, en #Corse et partout en #France et en #Europe, ont estimé que le devoir de secours et de fraternité, en cas d’urgence, l’emporte sur les autres considérations, ne se sont donc pas tout à fait trompés… #Aquarius https://t.co/mQOTFGr7k0
— Gilles Simeoni (@Gilles_Simeoni) 6 juillet 2018
Le projet de cet indépendantiste semble être de vouloir transformer l’île en porte-avion à nègres géant.
Du coup, je ne vois pas trop l’intérêt de séparer la Corse de la France, vu que le peuplement négro-maure sera bientôt identique sur les deux rives.