Coronavirus : la ministre juive de la Santé Agnès Buzyn organise l’introduction de la grippe chinoise pour faire un maximum de cash avec Big Pharma

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Janvier 2020

L’oeil torve de l’empoisonneuse juive à la tête du ministère de la Santé

Allez les goyim, c’est l’heure de trembler.

Le Pharisien nous en dit plus.

Le Parisien :

Les portes de Wuhan se sont fermées derrière eux. Ce jeudi, vers 16h30, avec plusieurs minutes d’avance, le dernier vol Air France en provenance de la ville chinoise où est apparu le coronavirus, a atterri à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle. À bord de l’avion, des Français soulagés d’avoir quitté une mégalopole désormais verrouillée et des Chinois qui ont eux aussi quitté la zone. Les autorités ont placé la ville sous quarantaine, depuis 10 heures (heures locales), impossible pour ses habitants d’en sortir.

« C’était cet avion ou rien. » Pierre traverse le hall du terminal 2 E, bagage en main, le pas pressé. Il vient de passer une semaine à Wuhan pour un déplacement professionnel. « Nous aurions dû rester trois semaines, mais la société a fait en sorte de nous rapatrier », raconte-t-il, le masque chirurgical tout juste retiré de la bouche. Il travaille dans le secteur des semi-conducteurs et devait se rendre dans l’entreprise chinoise Huawei. « Là-bas c’est la guerre, quand nous sommes partis, des militaires arrivaient à l’aéroport », confie cet homme de 62 ans originaire de Seine-et-Marne, les traits tirés mais soulagé.

En Chine, l’épidémie de coronavirus a fait 18 morts. À Wuhan, ville de 11 millions d’habitants, selon les autorités, 500 cas ont déjà été identifiés. Dans l’espoir d’endiguer le mal, le gouvernement a pris une mesure radicale et interdit tout départ en train, avion ou autocar depuis Wuhan. Les habitants se retrouvent prisonniers de leur cité à la veille du long congé du Nouvel An chinois.

Si Pierre est heureux de fouler le sol français, il est inquiet pour sa santé et celle de ses proches. « On n’a eu aucun contrôle, c’est un peu léger, déplore-t-il. Je n’ai aucun symptôme mais je ne vais pas attendre d’en avoir pour appeler le 15, explique ce futur grand-père. J’ai des petits enfants, ma fille est enceinte, je ne veux prendre aucun risque. »

Derrière lui, une dizaine de passagers chinois cachés derrière leurs masques défilent et refusent les sollicitations des journalistes, venus nombreux. Hormis l’agitation médiatique, seules des petites affiches de prévention évoquent le coronavirus à l’aéroport. Elles recommandent notamment aux voyageurs en provenance de Wuhan de porter un masque chirurgical, d’utiliser des mouchoirs jetables et de contacter le Samu en cas de symptômes.

L’absence de contrôle ne surprendra que les gogos.

Le juif implore Yahvé en secret pour qu’apparaisse le premier cas de contamination, laissant grandes ouvertes les portes des aéroports français à dessein.

Ce n’est pas aux juifs que l’on va apprendre à empoisonner les puits des goyim.

La juive Agnès Buzyn, ministre de la Santé, n’est pas une novice dans ce type de pratiques.

Mariée au juif Yves Lévy, elle conspirait avec lui en sa qualité de directeur de l’Inserm pour rendre obligatoires 11 vaccins pour les nourrissons, générant autant de profits pour les laboratoires pour lesquels elle a travaillé pendant 14 ans comme « commerciale ».

Voici donc que s’annonce une nouvelle opportunité.

Cette affaire de « grippe chinoise ».

Mais ne précipitons pas les choses.

Agnès Buzyn est occupée à faire la promotion de son père, un énième survivant des chambres à gaz miraculeuses d’Adolf Hitler.

Ce yid est partout, absolument partout.

Mais pendant ce temps-là, la machinerie juive se prépare.

Discrètement.

Par touche.

Pour les plus jeunes, voici comme les vampires juifs opèrent.

Tout d’abord, ils organisent la panique grâce à leurs médias. Jour après jour, on attend le premier « infecté » de l’Hexagone. Quitte à empêcher toute mesure de prévention et de détection, comme ici.

Des journalistes sont envoyés par leurs rédactions juives faire le pied-de-grue à Roissy, interrogeant les braves Français pour susciter l’angoisse à coups de questions inquiétantes.

La panique s’étend, les juifs du ministère de la Santé commencent à mettre des petits panneaux à l’entrée des urgences à propos des « symptômes ».

L’OMS, tenue par les cartels bancaires et pharmaceutiques (((internationaux))), publie des « rapports » abondamment commentés par la presse yid.

On continue de faire monter la sauce.

Les goyim, sidérés, veulent un remède miracle. Surtout les femmes, toujours totalement irrationnelles.

« Les laboratoires cherchent, ils approchent d’un vaccin, patience ! » proclame la juiverie médiatique.

Intervient finalement la juive du ministère qui assure une formidable commande de vaccins « révoluzionnaires » qui ne serviront à rien.

De temps en temps, on change de grippe. H1N1, H5N1, etc..

Vous n’allez pas tarder à voir le juif Michel Cymes – un autre descendant de juif gazé – venir « lutter contre le complotisme anti-vaccin » sur les ondes juives et assurer la défense de la vaillante Agnès Buzyn.

Bilan : des centaines de millions d’euros qui tombent entre les mains des juifs de Big Pharma, comme aux Etats-Unis où la famille juive Sackler cause des centaines de milliers de morts chaque année en les droguant aux opioides, générant des milliards et des milliards de dollars.

« Nous veillons sur ta santé, goy. Fais-nous confiance. »

Sachez que c’est une arnaque médiatique juive, de bout en bout.

La grippe saisonnière est autrement plus mortelle en France : des millions de personnes contaminées pour 10,000 à 15,000 Français tués annuellement.

Et il est notoire que le vaccin anti-grippe ne sert à rien.

Apprendre à lire le juif permet de voir tous ses coups à l’avance. Plus aucune ficelle ne tient du secret. Cette affaire de coronavirus est massivement amplifiée par les hébreux qui salivent à l’idée de puiser à pleines mains dans les coffres des gouvernements occidentaux grâce à une énième arnaque médiatique.

Exactement comme la taxe carbone.

Mais cette fois-ci, la taxe coronavirus.