Corée du Sud : les migrants musulmans de l’amour ne comprennent pas pourquoi on ne les laisse pas coloniser le pays

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 juin 2018

« On a bousillé notre pays, donc on vient maintenant bousiller le tien, kouffar »

La Corée du Sud fonctionnait un peu trop bien jusqu’à présent. Il est donc temps de commencer à y injecter de l’enrichissement culturel islamique avec l’aide de la gauche médiatique occidentale pour laquelle chaque mètre carré de cette terre doit devenir un taudis mahométan.

RFI :

En Corée du Sud, 561 migrants yéménites, qui ont fui la guerre dans leur Yémen natal, ont trouvé refuge depuis le début de cette année dans l’île sud-coréenne de Jeju, profitant d’une politique d’exemption de visas destinée à faciliter le tourisme. Il s’agit d’une situation inédite pour ce pays asiatique qui n’accorde l’asile politique qu’à un nombre infime de réfugiés chaque année. Ces migrants yéménites coincés à Jeju suscitent des réactions très diverses parmi une société peu habituée au problème… et provoquent notamment une intense vague de rejet et de xénophobie.

Sur les réseaux sociaux, ces 500 Yéménites sont accusés d’être de « faux réfugiés », venus en Corée pour « propager l’islam » et « s’emparer des emplois peu qualifiés ». Certains les qualifient de « terroristes ». Une pétition s’opposant à leur présence a été signée par plus d’un demi-million de personnes.

Mais ces migrants reçoivent aussi beaucoup d’aide d’associations locales. Adnan, 29 ans, formateur en sécurité, a fui la guerre au Yémen il y a trois ans. Il part d’abord en Malaisie, puis arrive à Jeju en mai. Il vient de trouver un emploi dans un restaurant de l’île. «C’est très triste de lire que certains médias disent que nous sommes dangereux. Mais les gens à qui nous parlons savent que c’est n’importe quoi. Un Coréen âgé m’a dit qu’il nous comprenait, que la guerre du Yémen lui rappelait la guerre de Corée et ses flux de réfugiés dans les années 50. Les générations plus âgées se montrent plus compréhensives. Moi je veux remercier le gouvernement sud-coréen de nous autoriser à travailler. C’est la première fois [qu’il accorde des permis de travail à des migrants dès leur arrivée]. Nous apprécions et espérons qu’il nous donnera la permission rester».

La Corée du Sud est signataire de la Convention de l’ONU sur les réfugiés (et a des lois plutôt avancées en matière d’aide aux migrants). Mais elle n’accepte en moyenne que 4,1% des demandes d’asile.

Quand je prends une mappemonde, je ne vois aucune frontière commune entre ce trou à rats qu’est le Yémen et la Corée du Sud.

« Yo, Kim, nous sommes venus permettre à ton pays de conquérir l’espace »

Mais on nous explique, sans broncher, que cette lie y est parfaitement légitime et que s’étonner de ce bourgeonnement de métèques musulmans en pleine Corée relève du crime contre l’humanité.

Plutôt que de se projeter dans l’avenir, il est grand temps que la Corée du Sud se mette à étudier le coran.

Si vous voulez bâtir un système politique global, vous devez, à tout prix, détruire les frontières. Non seulement étatiques, mais encore raciales, religieuses, linguistiques.

Et nous connaissons bien ceux qui, en dernière analyse, sont si demandeurs d’un tel système.

Ces zombies musulmans ne sont que les troupes de choc de la juiverie internationale qui entend bien enserrer dans ses griffes chaque état économiquement rentable de la planète.