Paradis communiste nord-coréen : Se nourrissant des excréments de ses dirigeants, la population est rongée par des vers

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
29 novembre 2017

Un soldat a déserté l’armée nord-coréenne, survivant aux balles des gardes rouges.

La résistance à l’empire suppose de connaître ses priorités et grâce à cette défection, c’est un peu plus évident.

Le Figaro :

C’est un drame qui en dit long sur les conditions de vie et la santé des Nord-Coréens. Lundi, un déserteur de l’armée nord-coréenne a traversé la zone démilitarisée dans le secteur de Panmunjom pour rejoindre la Corée du Sud. Blessé par des tirs des soldats nord-coréens, le déserteur parvient tout de même à traverser la frontière et à s’abriter près d’un bâtiment avant d’être récupéré par trois militaires sud-coréens.

L’homme est alors soigné par les médecins qui découvrent dans ses intestins une «quantité énorme» de vers, rapporte la BBC . Le plus long mesure 27 cm. «Je n’ai jamais rien vu de tel en vingt ans de carrière en tant que médecin» a déclaré à la presse Lee Cook-Jong, le médecin sud-coréen qui a pris en charge le blessé, dont l’état est aujourd’hui stabilisé.

Ces parasites sont transmis à l’homme par de la nourriture contaminée, par des morsures ou piqûres d’animaux ou d’insectes. Ils peuvent également passer directement par la peau.

Dans le cas de ce soldat, les médecins privilégient la première hypothèse. Selon la BBC, la Corée du Nord utilise encore des excréments humains comme engrais. Si ces excréments ne sont pas traités et sont utilisés sur des légumes destinés à être consommés crus, les parasites peuvent alors pénétrer les organismes.

En substance, dans le paradis populaire nord-coréen, les gens mangent la merde de leurs dirigeants, au sens le plus littéral.

Après, vous me direz, que pour défier l’empire tout en conservant le PIB de Haïti, et ainsi préserver Kim Jong Un, il faut choisir entre l’arme nucléaire et le vermifuge. Et comme celui qui opère ces choix est précisément Kim Jong Un, c’est vite vu.

Cependant, il ne faut pas céder aux sirènes de la propagande capitaliste. Alain Soral nous avait offert un point de vue objectif et neutre sur la Corée du Nord, dans la suite de celui qu’il portait déjà sur le Venezuela bolivarien de Maduro.

Rappelons aussi qu’il faut se défier des mensonges anticommunistes de gens qui n’y connaissent rien et n’y ont même jamais été.

Rappelons que la juste société socialiste nord-coréenne ne saurait être prise en défaut dans son impitoyable lutte pour l’émancipation du peuple coréen.