Confirmation : Les deux tiers des cafards turcs vivant en France sont des adorateurs du djihad

Gandalf Le Blanc
Démocratie Participative
18 avril 2017

Les Turcs de France ont exprimé sans ambages leur adhésion pleine et entière aux valeurs de la république islamiste de Turquie.

La Libre Belgique :

Alors que le camp du « oui » semble l’emporter à 51,2% en Turquie même, il obtient en Belgique 77,1%. Seul le Liban, avec 93,9% de « oui », enregistre un score plus élevé. En Belgique, quelque 44.500 bulletins avaient été dépouillés vers 22h00. Plus de trois quarts des voix se sont exprimées pour les modifications constitutionnelles que le président turc Recept Tayyip Erdogan veut mener.

Le « oui » a enregistré des score élevés dans d’autres pays d’Europe: en Autriche (73,2%) et aux Pays-Bas (70,3%), puis en France (65,2%), en Allemagne (63%) et au Danemark (60,6%).

En substance, les deux tiers des parasites turcs qui colonisent la France sont des soutiens du sultan Erdogan. Celui qui a armé et financé l’Etat Islamique ainsi que Al Qaeda et qui menace « les Croisés » d’une « guerre de religion » en Europe. Quand il n’envoie pas directement ses djihadistes massacrer nos populations dans nos villes.

Ce chiffre est sensiblement différent aux USA et en Grande-Bretagne :

Le camp du « non » l’a emporté ailleurs, notamment en Espagne (86,7%) et au Royaume-Uni (79,1%). L’opposition semble aussi forte aux États-Unis et au Canada. Sur 28.000 bulletins dépouillés aux États-Unis, plus de 23.000 étaient négatifs (82,9%), et trois quarts des bulletins au Canada exprimaient un « non ». Des chiffres comparables étaient remarqués en Russie (2.400 votes) et en Chine (900 votes).

Cet écart s’explique probablement par le fait que les migrants turcs établis en France, en Belgique ou en Allemagne sont déjà de facto en terre musulmane et que la rupture culturelle est somme toute quasi inexistante.

Et Erdogan est un de ces barbares mahométans qui tient parole. Si vous vous rappelez, il avait indiqué qu’il soulèverait « les musulmans » et les « étrangers » établis en Europe contre nous.

C’est ce qu’il a commencé à faire en France.

Anadolu :

Sakir Colak, président de la formation politique française «Parti Egalité Justice» (PEJ), estime qu’il était «inévitable» de créer un nouveau parti politique pour répondre aux attentes des jeunes issus de l’immigration.

C’est d’autant plus nécessaire que le «système politique actuel [en France, NDLR] n’accepte plus la différence»,a poursuivi le président du PEJ.

Alors que les partis des extrêmes prennent de plus en plus de place dans le paysage politique, le PEJ est l’un des nouveaux partis conduits par des jeunes issus de l’immigration qui tentent de se frayer un chemin dans la vie politique en Europe à l’instar de la formation «Denk» aux Pays-Bas.

Rappelons qu’aujourd’hui, des centaines, voire des milliers de jeunes issus de l’immigration, sont membres aussi bien du PEJ que d’autres partis politiques.

Pour Colak, « ce n’est pas en les marginalisant, ou en les stigmatisant, qu’on fera avancer les choses”. “Il faut passer au delà des origines et parler du progrès social, de la lutte contre les inégalités et les injustices», a-t-il conclu.

Le PEJ a été crée en 2015 par des jeunes citoyens essentiellement issus de l’immigration. Le PEJ a, officiellement, lancé le week-end écoulé, sa campagne électorale pour les prochaines législatives (juin 2017) dans la ville de Strasbourg (Est), lors d’une réunion de formation des cadres du parti.

Le PEJ compte présenter 51 candidats aux prochaines législatives en juin prochain, essentiellement dans les grandes villes.

L’offensive ottomane a commencé.