Condamné à un an de prison ferme pour avoir douté des chambres à air d’Adolf Hitler, l’essayiste Alain Soral voit sa peine spectaculairement réduite à 5,000 euros d’amende

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 Juin 2020

Après la légalisation par l’UE du boycott de la colonie juive de Palestine et la censure de la loi Taïeb-Avia par le Conseil Constitutionnel sous la pression populaire, c’est une nouvelle défaite spectaculaire pour la juiverie.

Le Monde :

L’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné en appel, jeudi 25 juin, à 5 000 euros d’amende, avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement, pour contestation de l’existence de la Shoah, une peine considérablement allégée.

Alain Soral, de son vrai nom Alain Bonnet, 61 ans, est condamné pour avoir publié sur son site Internet les conclusions litigieuses de son avocat dans une autre affaire. Le 15 avril 2019, le tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné à un an de prison ferme pour négationnisme, en assortissant cette peine d’un mandat d’arrêt, et avait condamné son avocat, Damien Viguier, à 5 000 euros d’amende pour complicité, en raison du contenu des conclusions. Ils avaient fait appel.

Passer d’une condamnation à un an de prison ferme à seulement 5,000 euros d’amende est une véritable débâcle pour la juiverie écumante.

A l’évidence, c’est le seul moyen qu’a trouvé le tribunal pour donner raisons à Alain Soral sans devoir l’admettre publiquement.

Le parquet avait cependant décidé de ne pas exécuter ce mandat d’arrêt et d’en faire appel, estimant que le tribunal ne pouvait pas délivrer un tel mandat pour une condamnation au titre de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.

A l’origine de cette décision de justice, la publication sur le site Internet de l’association d’extrême droite Egalité et réconciliation, en novembre 2017, de la plaidoirie de l’avocat d’Alain Soral, Damien Viguier – également condamné, lundi, à 5 000 euros d’amende pour complicité –, dans une autre affaire datant d’avril 2016. L’essayiste d’extrême droite avait alors mis en ligne sur son site un dessin représentant une fausse « une » titrée « Chutzpah Hebdo » et illustrée par le visage de Charlie Chaplin posant une question, dans une bulle, « Shoah où t’es ? », en référence à la « une » polémique de Charlie Hebdo après les attentats de Bruxelles, « Papa où t’es ? ». En toile de fond, une étoile de David, une chaussure, une perruque, une lampe et un savon.

C’était très réussi.

L’abat-jour, génial.

Pour cette publication jugée négationniste, Alain Soral a été définitivement condamné le 26 mars, après le rejet de son pourvoi en cassation, à payer une amende de 10 000 euros avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement.

« Chaussure et cheveux font référence aux lieux de mémoire organisés comme des lieux de pèlerinage. On y met en scène des amoncellements de ces objets, afin de frapper les imaginations », avait plaidé Me Viguier en 2017. « La coupe des cheveux se pratique dans tous les lieux de concentration et s’explique par l’hygiène », avait-il ajouté avant de citer le négationniste Robert Faurisson. L’avocat avait par ailleurs soutenu que les savons faits à partir de graisse humaine par les nazis ou les abat-jour en peau humaine n’étaient que « propagande de guerre ».

Lol.

C’est littéralement reconnu par Wikipédia.

Jeudi, la cour d’appel de Paris a jugé que M. Soral était bien coupable de négationnisme, pour avoir publié ces conclusions, mais a rappelé qu’à l’époque des faits l’essayiste maintes fois condamné ne l’était encore qu’à des amendes. Elle l’a donc condamné à cent jours-amendes à 50 euros, soit 5 000 euros d’amende, qui, s’ils ne sont pas payés, se transformeront en emprisonnement. En l’absence de peine de prison, elle n’a pas tranché la question du mandat d’arrêt.

Elle a, en revanche, relaxé son avocat, Damien Viguier, estimant, contrairement aux associations parties civiles, qu’il n’était « pas prouvé avec la certitude nécessaire » qu’il ait donné son accord à la publication de ses conclusions.

Les juifs sont sonnés.

Certes, ce n’est pas encore une relaxe. Mais c’est un net recul des magistrats qui sentent que le fanatisme juif est en train de les entraîner vers l’abîme. L’ambiance actuelle n’arrange rien pour ces hébreux, avec ces dizaines de milliers de nègres antisionistes prêts à fondre sur la Cité Judiciaire de Paris au moindre mot de travers.

C’est le début de la fin.

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