Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Février 2020
Le tribunal rabbinique a enfin libéré Patrick Balkany. Cette victime de l’antisémitisme aura bien passé 4 mois en prison pour une peine de 5 ans.
Actu17 :
Le maire LR de Levallois-Perret va sortir de prison. La cour d’appel a ordonné ce mercredi sa remise en liberté.
Patrick Balkany va retrouver la liberté sous contrôle judiciaire. Il a l’interdiction de quitter la France et a l’obligation de pointer deux fois par mois à la gendarmerie près de sa résidence dans l’Eure.
L’horreur, quasiment Auschwitz.
La cour d’appel de l’instruction a constaté que l’état de santé du maire de Levallois-Perret n’était pas compatible avec la détention. Elle a par ailleurs supprimé la caution qui était établie à 500.000 euros, et levé l’interdiction de circuler en Île-de-France. Patrick Balkany peut donc désormais se rendre à Levallois-Perret.
Un rapport d’expertise médicale rendu ce mardi, qui a motivé la décision de la cour d’appel, a montré que Patrick Balkany souffrait de maladies digestives, cardiovasculaires, et ostéoarticulaires. Le compte rendu évoque un état de santé très dégradé.
Patrick Balkany, régulièrement hospitalisé depuis mi-décembre, est « porteur de maladies sérieuses », notamment un « infarctus mésentérique », selon cet examen.
L’édile a été condamné en première instance à cinq ans de prison pour blanchiment aggravé, avec incarcération immédiate. Son épouse Isabelle a écopé d’une peine de quatre ans d’emprisonnement mais sans mandat de dépôt, au vu de son état de santé.
En appel ce mardi, cinq ans de prison, dont un an avec sursis ont été requis contre Patrick Balkany et quatre ans de prison, dont deux avec sursis, contre son épouse.
Le couple a également été condamné a des peines de prison ferme pour fraude fiscale et prise illégale d’intérêt, quatre ans pour lui et trois ans pour elle.
Un nouveau miracle biblique.
Les portes des prisons françaises s’ouvrent comme la Mer Rouge devant Moïse.
Pour les goyim en prison, être malade ou mourant n’empêche pas l’exécution entière de la peine.
Ils sont parfois transférés dans des UHSI (Unité Hospitalière Sécurisée Interrégionale).
Ou plus simplement laissés agonisants dans leur cellule.