Face à l’agitation raciale anti-police : comprendre et agir

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 octobre 2017

 

 

Parmi les manifestations de l’intensification de la guerre raciale que nous connaissons, il y a l’organisation de plus en plus fréquente de campagnes anti-police par des groupes de nègres. Vous me direz que les arabes sont également de ce genre d’initiatives, mais vous aurez observé que l’extrême-gauche et la presse rouge n’aiment guère les utiliser à cette fin.

Ces dernières savent que le capital sympathie à l’égard de l’arabo-musulman est trop faible pour pouvoir être exploité à des fins de guerre psychologique. Le nègre en revanche, de par l’image d’enfant stupide que lui associe l’opinion publique française, représente un levier beaucoup plus intéressant.

Il m’est souvenir, une fois, d’avoir demandé à un ami pourquoi il aimait a priori les nègres. Ce à quoi il m’avait répondu le plus naturellement du monde : « ils sont marrants, avec leurs dents blanches ».

N’allez pas chercher plus loin la raison de la négrophilie ambiante : le nègre fainéant, violeur, brutal et stupide est devancé dans l’inconscient des masses par le nègre de l’Équipe de France, l’acteur sénégalais inoffensif et le nourrisson somalien famélique de l’UNICEF.

Bien sûr, ces millions de Français ne connaissent rien du cannibalisme ou des seigneurs de guerre du Congo. Ils pensent à Omar Sy, la marionnette des juifs, dont ils ne manquent aucun film.

Pour en revenir au point de départ de cet article, l’insurrection raciale généralisée se focalise d’abord et avant tout sur les piliers de l’État Français. Nous savons bien sûr que cette république maçonnique n’a rien de raciste, mais de par le poids de l’histoire, ces structures sont encadrées par des Français autochtones et perçues à ce titre comme devant être détruites.

Ce qui importe, ce n’est pas la réalité objective de la police républicaine mais la manière dont elle est perçue par l’ennemi afro-musulman. Et elle est universellement vue comme l’outil de défense des Blancs et du statu quo racial.

Le Front Raciste et la police

Notre rapport à la police me paraît, en règle générale, bien trop passionné. Il est évident que notre révolution s’appuiera sur une police et des services de renseignement, c’est-à-dire sur une police politique. Nous ne nourrissons aucun idéal anarchiste, notre objectif consiste à créer un ordre de choses nouveau et cet ordre aura ses policiers, ses matons.

Sous notre direction, cette police sera un véritable instrument de terreur pour les ennemis de notre communauté populaire.

Cette police se ralliera tôt ou tard à notre révolution, à l’exception des éléments les plus corrompus liés au régime actuel. La situation objective mènera inéluctablement cette police à un état de désespoir tel que la résistance de ses hauts cadres ne parviendra plus à contenir l’aspiration de la base à une rupture radicale. La police n’est bien sûr pas révolutionnaire – elle est par définition contre-révolutionnaire – mais sait en revanche quand il faut effectivement suivre une révolution. C’est-à-dire au dernier moment.

La police est composée d’une part significative de simples fonctionnaires serviles, notamment au sein du personnel féminin ou de la bureaucratie, qui ne nourrissent aucun idéal, étant en cela à l’image de cette société dégénérée. Les syndicats, quant à eux, sont autant de filtres aux mains du régime qui veillent à maintenir le statu quo politique.

Cet état républicain criminel, accompagnant toujours plus le délitement social en cours, repeuple au surplus chacune de ses institutions avec des nègres ou des musulmans afin de désamorcer – du moins le croit-il –  la soif de revanche sourde qu’ils nourrissent contre lui.

Mais une part de ces effectifs, la plus proche du terrain, connait la sinistre réalité qui nous attend et n’entend pas risquer indéfiniment sa vie ou celle de sa famille pour les rentes de quelques encravatés. Ils attendent désespérément des ordres, des moyens et un soutien qui ne viendront évidemment jamais sous le régime présent.

Quoique minoritaire, cette part de la police n’est pas négligeable.

Que la police nous réprime sur ordre du gouvernement est dans l’ordre des choses. Nous le savons tous. Hormis l’officier affilié à une loge se disant proche de la gauche par choix idéologique, nous savons faire la part des choses. Pour une bonne raison : une fois le pouvoir conquis, elle aura pour ordre d’agir de la même façon contre nos ennemis. La seule différence étant que nous n’hésiterons pas à nous en servir, une fois le parlementarisme abattu, avec la dernière énergie.

Une différence de taille cependant : l’émergence progressive de milices populaires acquises à notre idée à mesure que l’état implosera et abandonnera les populations.

La police en première ligne dans la guerre raciale et religieuse

L’intensification du discours anti-police ne va pas cesser, bien au contraire. Avec l’infiltration au sein du parlement d’éléments raciaux indésirables, notamment islamistes – à l’instar d’Obono – cette haine va se professionnaliser et s’institutionnaliser. Des renseignements vont progressivement filtrer afin d’aider les insurgés à désarmer légalement les policiers blancs, à les détruire judiciairement et, évidemment, à les tuer lors d’embuscades. Les insurgés étant ensuite dépeints en « combattants de la liberté ».

Une autre réalité est celle des djihadistes qui désignent les policiers comme des cibles privilégiées, allant jusqu’à les égorger chez eux devant leurs enfants, comme à Magnanville. Nous parlons, en 2017, de près de 19,000 activistes du djihad sur le territoire français. D’ici quelques temps, ils seront 25,000 puis 30,000, etc. Il n’est plus une ville grande ou moyenne qui n’ait pas sa cellule de l’État Islamique.

Il m’apparaît donc comme essentiel de prêter la plus grande attention à ce que font ces groupes d’agitateurs nègres, leurs soutiens communistes et islamistes en plus, bien sûr, de la presse juive qui s’en sert pour ses propres fins.

Vous n’avez pas manqué de voir que toute la tribu Luhaka est désormais tenue comme un référent moral aux yeux de cette presse, à l’instar de la bande Traoré. Ceci malgré le passif délirant qui est le leur. C’est ce qui doit précisément frapper : la moralité n’a pas sa place dans ces manœuvres, seul le but politique compte pour l’ennemi.

Nous devons notamment suivre les pages de ces groupes qui s’organisent sur les réseaux sociaux. Comme la sœur de Luhaka :

Pour nous, il ne s’agit pas de défendre la police comme institution mais de lutter pour quelque chose de beaucoup plus important : les vies blanches, c’est-à-dire celles de notre peuple.

Nous devons donc utiliser ces nègres comme les anarcho-communistes et la presse juive s’en servent.

Notre avantage principal réside dans la stupidité sans borne de ces primates. Les nègres, par eux-mêmes, n’arrivent à rien au plan de la superstructure intellectuelle collective que sont les médias. Pour cela, ils ont besoin des communistes, des islamistes ou des juifs pour transformer leur énergie et la subordonner à un but politique.

Le nègre est et sera toujours l’esclave de quelqu’un. Il n’a que le choix de ses maîtres.

Notre police ᛋᛋ

Nous devons résolument militer pour le contrôle au faciès des métèques ainsi que défendre systématiquement tout policier qui abat un allogène. Il doit devenir pour le peuple, un héros.

La seule présence de ces nègres et des ces crouilles en Europe suffit à légitimer leur liquidation par les forces de sécurité européennes. Cela n’appelle aucune discussion. Si d’aventure cette vermine veut échapper à ce sort, sa seule option de fuir vers l’Afrique ou l’un des cinquante états musulmans de cette planète.

Nous devons résolument véhiculer l’idée que la violence ne sera pas toujours l’apanage de ces sous-hommes et que tout nègre, arabe ou anarchiste abattu n’est que l’annonce de ce qui va suivre, une fois la conquête du pouvoir achevée.

Pour que cette idée soit largement connue de notre peuple comme de l’ennemi, nous allons devoir le lui faire savoir et lancer l’assaut sur ses positions.