Complot : le communisme sanitaire international tente d’empêcher Ebola chan de nous sauver des nègres

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 mai 2018

Ebola chan vient nous sauver des nègres

La bonne nouvelle, c’est que la Nature a décidé de lancer une nouvelle entreprise de régulation du principal fléau du 21ème siècle : la surnatalité nègre.

Africa News :

L‘épidémie du virus Ebola continue de faire des victimes en République démocratique du Congo. Dix-neuf personnes sont décédées dans le nord-ouest du pays selon un nouveau bilan diffusé par l’OMS.

C’est la neuvième fois que le virus Ebola est enregistré en RDC. En 2017, l‘épidémie avait fait au moins quatre décès et plus de cinq cent quatre-vingt autres personnes ont été recensées et surveillées de près après avoir été en contact avec le virus. À l‘époque, on reprochait à l’Organisation mondiale de la santé d’avoir été trop lente à réagir.

La mauvaise nouvelle, c’est que la pathologie marxiste internationale entend bien s’exprimer une nouvelle fois pour sauver cette fameuse espèce en voie de disparition : le cannibale du Congo.

RFI :

Trois niveaux de réponse sont à interroger. Les experts contactés sont catégoriques, la réponse politique de l’OMS a été très rapide. L’épidémie a été déclarée le 8 mai par Kinshasa et la première équipe de l’OMS, de MSF et de la Division provinciale de la santé s’est rendue ce jour-là, le 8, à Bikoro.

La mobilisation financière est de taille : le système ONU-OMS mobilise 3,6 millions de dollars. La fondation Wellcome Trust a provisionné plus de 2 millions d’euros pour la recherche et l’Italie en a promis 300 000. Les besoins sont évalués à 25 millions d’euros pour les 3 prochains mois.

Le deuxième niveau est la communication. Avant l’arrivée du directeur général de l’OMS en RDC – déplacement très symbolique – cette petite phrase médiatique : « on se prépare au pire des scénarios ». En clair, l’OMS se bat.

Enfin le niveau stratégique : 4 000 vaccins sont en route vers la RDC. Mais quand et qui vacciner en priorité ? La décision politique ne doit pas perturber la réponse médicale, qui doit être coordonnée entre tous les acteurs scientifiques.

Il faut vite agir avant que les nègres ne disparaissent. Le monde ne supporterait pas la perte de 10 ou 20,000 d’entre eux.

Il faut connaître ses priorités.

Ces nègres seront plus de 2 milliards en 2050 et personne ne sait exactement ce que cela va entraîner, concrètement, en termes sanitaires, écologiques, géopolitiques, etc.

La vénération du nègre est si forte qu’il faut absolument les sauver, surtout quand ils se portent parfaitement bien. Combien de Blanches atteintes d’altruisme pathologique n’avons nous pas à se précipiter pour sauver une négraille plus prolifique que jamais ?

Car soyons sérieux, ces nègres peuvent encaisser une pandémie qui ferait 200 ou 300 millions de morts. Ils passeraient de 800 millions de cafres à 500 ou 600 millions, ne ralentissant que très modérément l’accroissement infini de cette masse informe.

Ce déchaînement fanatique contre la régulation naturelle d’une surpopulation apocalyptique doit être stoppé immédiatement. Et la seule façon d’y parvenir et de voir apparaître une forme d’Ebola inédite qui boufferait l’organisme sans qu’aucun vaccin n’y puisse rien.

Bref, il faut que la Nature nous envoie Ebola chan.