Compiègne : un boomer est jeté en prison pour avoir tiré dans la porte de ses nouveaux voisins afghans qui traduisaient trop bruyamment

Leutnant
Démocratie Participative
28 octobre 2022

La justice n’est pas inactive, elle est très expéditive avec les Français qui n’acceptent pas de vivre à Kaboul.

Actu.fr :

Vivre dans un immeuble n’est pas souvent facile, surtout quand l’un de vos voisins répare un meuble à 6 heures du matin ou regarde un film avec une enceinte après minuit. Un habitant de Compiègne (Oise) a pété les plombs dans la nuit de lundi 24 à mardi 25 octobre contre ses voisins d’immeuble dans le quartier du Clos-des-Roses, vers une heure du matin.

L’homme de 66 ans a tiré à quatre reprises sur la porte d’un appartement attenant, avec un fusil. À l’intérieur, deux nouveaux arrivants d’Afghanistan ont été blessés par des munitions grenailles, des petites granules de plomb.

Rapidement, la police, la brigade anticriminalité de Compiègne et de Creil se sont rendus sur place et ont interpellé l’auteur des coups de feu.

Placé en garde à vue, il a expliqué avoir été excédé par le bruit de ses voisins. Arrivés depuis quelques mois, ces habitants de nationalité afghane ne parlent pas couramment français. « Le dialogue était rompu », explique la police.

L’un des deux blessés a été opéré, alors que des éclats ont été observés dans son corps.

Jeudi 27 octobre, l’homme de 66 ans a été présenté à un juge en comparution immédiate au tribunal de Compiègne. Les quatre Afghans assis sur le banc des parties civiles ne parlant pas français, l’affaire a été renvoyée à « une audience ultérieure ».

Une expertise psychiatrique de l’auteur va être réalisée. L’homme a été maintenu en détention provisoire.

Le problème avec les dizaines de milliers de traducteurs afghans amenés en France par Emmanuel Macron, c’est qu’ils ne parlent pas le français.

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