La Rédaction
Démocratie Participative
17 novembre 2024
La gauche, c’est l’histoire d’une révolte perpétuelle contre la loi de Paretto.
Récréation équitable : vers un partage de l’espace entre les filles et les garçons à Strasbourg pic.twitter.com/KcsNfTbcNt
— BFMTV (@BFMTV) November 17, 2024
Il faut non seulement décoder ce reportage d’inspiration féministe, mais aussi l’opération de rééducation des petits garçons pour qu’ils acceptent de devenir des mâles beta dès leur plus tendre enfance.
Le message sous-jacent est que les garçons contraignent les filles dans l’espace comme dans leur attitude. Selon la sacro-sainte règle démocratique du 50/50, les petits garçons sont en tort en utilisant 80% de l’espace de la cour de récréation.
Pour les normies démocrates ou carrément communistes, la seule citation de ce chiffre conforte le présupposé féministe selon lequel les garçons doivent être rééduqués pour se contenter de l’espace qui leur revient afin de répondre aux attentes légitimes des filles sous un vernis « d’égalité ». En l’occurrence, une répartition scientifique de l’espace à 50%, jusqu’à utiliser des GPS.
C’est la logique de la mixité qui a toujours inspiré par le féminisme.
Quand on creuse, derrière la démagogie démocratique, égalitaire et féministe, on découvre une réalité empirique très différente.
Le foot, par exemple, nécessite des zones ouvertes. Les enfants qui choisissent ces activités, quasi exclusivement des garçons, se regroupent dans les parties centrales ou les plus vastes de la cour, ce qui explique une occupation dominante de l’espace disponible. Les filles ne choisissent jamais le foot, non pas parce qu’elles y sont contraintes, mais parce qu’elles n’aiment pas ça.
Les enfants se répartissent spontanément la cour selon leurs besoins et préférences. Ceux qui jouent à des jeux plus physiques utilisent plus de place, tandis que d’autres, les filles, jouant à des activités plus calmes, occupent des zones plus réduites.
Ces réflexes innés démentent par l’absurde l’idée du rôle de la culture dans les comportements sociaux.
Pourtant, de Mary Wollstonecraft à John Stuart Mill en passant Simone de Beauvoir, c’est le discours féministe qui s’est installé depuis deux siècles, sans aucune espèce de rapport avec la réalité. Il est massivement diffusé par les médias d’état aux mains des militantes féministes – à commencer par la quasi intégralité du réseau de radios et des titres de la presse régionale.
Cela ne peut fonctionner qu’avec des parents d’élèves soumis, généralement des Blancs du secteur tertiaire. Les jeunes Afro-maghrébins sont incapables de s’imaginer partager quoi que ce soit avec qui que ce soit sans un rapport de force physique préalable.
Castrer les petits garçons (blancs) est la seule méthode des sorcières féministes pour mettre en coupes réglées la société et faire d’un pays entier l’équivalent de cette cour de récréation expérimentale.
Soyez un père de famille digne de ce nom et assurez les droits de vos enfants, garçons et filles, en faisant respecter la loi de Paretto dans la cour de récréation.
Et si on ne vous comprend pas, commencez à citer le prophète de l’islam et à vous dire sous surveillance psychiatrique. Cela peut aider les institutrices à davantage de compréhension, dialogue intercutlurel oblige.
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