Capitaine Harlock
Démocratie Participative
04 avril 2017
D’une certaine manière, les arabo-maghrébins sont globalement inoffensifs au plan artistique. Les crouilles sont incapables de produire de la musique et sont inaptes, pour ainsi dire, à toute forme de littérature. Les dommages qu’ils causent sont davantage politiques, avec l’islam comme principal levier de leur prédation.
Les nègres pour leur part sont trop stupides pour s’aventurer sur le terrain politique ou ne serait-ce que d’y songer. Lorsque certains d’entre eux le font, ce n’est que pour vomir leur tribalisme haineux et enfiévré. En revanche, ils n’ont jamais cessé chez nous de faire ce qu’ils font dans leur jungle : du tamtam. Du tamtam aux mille facettes, s’insinuant partout.
Si vous voulez savoir qui a fait entrer la sauvagerie nègre dans l’art européen, n’allez pas chercher plus loin que Paris ou New-York. Avec cette musique obscène qu’est le jazz, largement consommé dès les années 20 en France.
Ce chancre avait trouvé là un terrain de prédilection pour se développer à son aise. La passion du nègre en France tient lieu de religion. Au final, détester les musulmans est à peu près admis un peu partout, même au sein de la bourgeoisie pédérastique.
Mais le nègre est un dieu vivant. L’alpha et l’omega de la sous-culture marxiste dont la France est la fille aînée.
La culture française puis, avec la victoire américaine de 1945, la culture occidentale en son entier, n’ont eu de cesse de se négrifier à une vitesse stupéfiante. Après les années 60, les ravages du shit, ont encore amplifié la négrification de la psychée occidentale.
La négrification de la culture aboutit chez les Européens de l’Ouest à une profonde rupture de leur identité, les faisant glisser de l’Europe Occidentale vers l’Afrique, tandis que celle-ci remonte vers l’Europe démographiquement.
Voici un exemple illustrant dramatiquement cette bâtardisation infâme des arts. Vous allez voir comment des négresses, 400 ans après avoir été extirpées d’Afrique, en sont toujours au même point culturel.
Voici ce qu’est la culture européenne par contraste avec une performance des danseuses du Bolshoï.
La différence est la suivante : la race blanche, lorsqu’elle exprime sa sensibilité, recherche l’élévation et la poésie. Y compris physiquement. Se jouer de la pesanteur pour atteindre une grâce qui, a priori, n’est pas accessible à l’homme. En somme, défier nos limites pour atteindre le Beau.
La négraille, comme vous l’avez vu, ne sait que mettre en scène sa soif animale de copulation. Il n’élève pas, il s’effondre vers ses instincts les plus archaïques.
Cette négrification passe par divers styles musicaux et, dans une autre mesure, par l’esthétisation de la figure du nègre par le cinéma juif.
De toutes les productions nègres, le rap est probablement ce qu’il y a de plus nègre. Auparavant, ils empruntaient quelques éléments de musique blanche, par porosité.
Il faut par évidence dénégrifier l’Europe et d’abord au plan culturel.