La Rédaction
Démocratie Participative
23 octobre 2024
Finalement, la situation budgétaire de la France n’est pas si terrible.
Les contribuables offrent généreusement du matériel hors de prix à l’armée juive grâce aux nombreuses associations du CRIF.
Un média français a révélé en début de semaine que des associations caritatives françaises lançaient illégalement des appels aux dons défiscalisés pour financer des équipements militaires destinés aux soldats israéliens.
Dans une enquête publiée mardi, intitulée « Comment nos impôts financent les drones de l’armée israélienne », Le Media explique comment des associations communautaires enfreignent la législation fiscale qui permet aux organisations caritatives de bénéficier de dons défiscalisés afin d’aider l’armée d’Israël, qui mène une guerre dévastatrice à Gaza et au Liban depuis 12 mois.
En France, les dons aux associations « d’intérêt général » sont déductibles de l’impôt sur le revenu à hauteur de 66 %. Cela signifie qu’un don de 100 euros permet au donateur de réduire ses impôts de 66 euros et de ne payer que 34 euros.
Ce mécanisme fiscal vise à encourager la philanthropie pour des causes humanitaires, sociales ou culturelles. Cependant, certaines organisations semblent en abuser.
Le Media a concentré son enquête sur Tipat Mazal, une organisation créée en 2020 en région parisienne pour œuvrer « bénévolement en faveur des personnes âgées, des orphelins et des femmes seules avec enfants » de la région.
Cependant, depuis plusieurs mois, Tipat Mazal oriente les dons qu’elle reçoit vers l’achat d’équipements militaires pour les soldats israéliens, selon Le Media.
Il s’agit notamment de casques, de gilets tactiques et de dizaines de drones thermiques de dernière génération utilisés pour la reconnaissance sur le terrain et actuellement déployés au Sud-Liban.
Le Media souligne le rôle clé joué dans ce processus par un franco-israélien de 49 ans, Yohan Sabatier, actif depuis le 7 octobre 2023 dans l’assistance aux soldats israéliens sur le terrain, en particulier aux réservistes qu’il considère comme mal équipés.
Dans une interview donnée en mai sur une chaîne communautaire de YouTube, Yohan Sabatier explique que les dons collectés par les associations caritatives françaises sont destinés à l’achat d’équipements pour les soldats israéliens. Il admet que cette aide est également illégale en Israël et explique que pour contourner les lois douanières, les donateurs doivent prétendre que ces fonds sont destinés à des civils.
Oui, tout est là.
Les services fiscaux français le savent, mais comme ces services sont contrôlés par les juifs, rien ne se passe.
Tipat Mazal fait de la publicité pour ses collectes de fonds, dont les objectifs ne sont pas clairement définis, sur ses plateformes de médias sociaux et sur une chaîne Telegram totalisant plus de 49 000 abonnés. Présentée comme un groupe d’information sur la sécurité d’Israël, la chaîne est alimentée par des annonces destinées à aider les entreprises et l’armée israéliennes.
Les donateurs sont assurés de recevoir un certificat fiscal leur permettant de déduire leurs dons. Cependant, le certificat ne mentionne aucun achat militaire et justifie les dons comme étant destinés à des « familles démunies », a vérifié Le Media.
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des soldats israéliens remerciant M. Sabatier et les donateurs français pour l’équipement militaire qu’ils ont pu acquérir grâce à la collecte de fonds.
Selon Le Média, 50 drones d’une valeur de 7 000 euros chacun ont été fournis aux soldats israéliens pour un total de 350 000 euros. En appliquant l’exonération fiscale de 66 %, les contribuables français contribuent donc à hauteur de 231 000 euros, selon le média.
Suite à son enquête, les vidéos de remerciement des soldats ont été supprimées et les collectes de fonds clôturées.
Le ministère français des finances et la préfecture locale n’ont pas répondu aux demandes de commentaires de Le Media.
Ce n’est pas la première fois que des organisations françaises à but non lucratif sont accusées de telles pratiques.
Le ministère n’a pas fourni de détails sur les mesures prises pour sanctionner ces organisations, au nom du « secret fiscal ». Il n’a pas non plus précisé le nombre de contrôles fiscaux effectués pour vérifier que les associations caritatives respectent la loi.
En France, le statut « d’intérêt général », qui permet des réductions d’impôts pour les dons, est auto-attribué par les organisations. Il n’y a pas de contrôle a priori et les contrôles fiscaux a posteriori sont occasionnels.
« Face à l’absence de contrôle et de répression, cette pratique s’est développée au point de franchir un seuil. Non seulement les associations communautaires continuent à défiscaliser ces dons qui aident l’armée israélienne, mais en plus […] l’objectif de certains de ces dons est désormais de fournir des outils à des fins militaires et tactiques », écrit Le Media.
Alma Dufour, députée du parti de gauche La France insoumise, a dénoncé ces pratiques illégales qui permettent l’achat « d’armes pour une armée coloniale et génocidaire ».
« Le gouvernement français supprime 4 000 postes d’enseignants et réduit le budget de la santé, de l’écologie et de la justice. Laisser l’argent des contribuables financer la mort est donc un double scandale », a-t-elle écrit sur X.
C’est de l’altruisme intéressé.
La chroniqueuse de RMC Sarah Saldmann explique tranquillement comment apporter un soutien à l’armée israélienne qui commet des massacres à Gaza. pic.twitter.com/sQrYz4NO98
— Oumma.com (@oumma) November 12, 2023
Il n’y aura pas d’enquête. Les juifs vont simplement créer de nouvelles associations, moins visibles, pour continuer leur escroquerie généralisée et piller les goyim.
C’est la raison d’être de la république.
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